En 2009, il expose à la galerie Racim où l'exposition est organisée par l'Union nationale des arts culturels (UNAC) dont le l'objet est une journée de solidarité avec le peuple palestinien, plusieurs artistes dont Abdeslam diront «il faut que l'artiste s'engage et prenne position. Car la vraie bataille aujourd'hui est celle de l'image. Pour nous, c'est aussi une manière de résister et de combattre avec nos toiles»[2].
En 2010, Abdeslam Amraoui présente sa série dont le titre est Le Monde berbère à Bordj Bou Arreridj. l'exposition a été organisée par le Haut-commissariat à l'amazighité (HCA), duranr la célébration de Yennayer[3].
En 2010, il expose à la salle d'El Mougar à Alger dans le cadre du Festival culturel local des arts et cultures populaires, dont sa source d'inspiration est le patrimoine matériel et immatériel de la région des Aurès[4].
Notes et références
Mansour Abrous, Dictionnaire des artistes algériens: 1900-2010, Paris, L’Harmattan, (lire en ligne), p.62.
Siham Ammour, «Le pinceau et la palette pour exprimer la révolte et la tristesse. Journée de solidarité avec Ghaza à la galerie Racim», La Tribune (Algérie), (lire en ligne).
«Yennayer. Plusieurs activités prévues par le HCA», Le Soir d'Algérie, (lire en ligne).
«Semaine culturelle . Batna s'invite à Alger», Info Soir, (lire en ligne).
Annexes
Bibliographie
Mansour Abrous, Dictionnaire des artistes algériens: 1900-2010, Paris, L’Harmattan, (lire en ligne), p.62.
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