Alexandrine Delaval, dite aussi Alexandrine de Laval, est une artiste peintre française née à Paris le et morte à Nice le . Elle expose des portraits, des peintures d'histoire et des scènes de genre au Salon de 1808 à 1837. Elle est aujourd'hui surtout connue pour son tableau Malvina. Chant de douleur sur la perte de son cher Oscar, acquis par le musée d'Arts de Nantes en 2012.
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Alexandrine Delaval
Alexandrine Delaval, Malvina. Chant de douleur sur la perte de son cher Oscar, 1810, Nantes, musée d'arts de Nantes
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Née à Paris le , Louise Alexandrine Ursule Delaval est la fille de Louis Alexandre Delaval et de Marie Ursule Faure[1].
Elle meurt à l'âge de 73 ans le à Nice, à l'hôtel de l'Univers[note 1], situé place Saint-Dominique (actuelle place du Palais de Justice)[1],[2].
Œuvres
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Portrait en pied d’une femme, Salon de 1808 (no156)[3];
Malvina — Chant de douleur sur la perte de son cher Oscar (Poésies d’Ossian), Salon de 1810, (no215)[4], huile sur toile, 92 × 114 cm, musée d'Arts de Nantes[5];
Jeune fille conduisant sa mère aveugle, Salon de 1812 (no258)[6], présenté de nouveau au Salon de 1814 (no274)[7];
Claudine ou l’abandon, sujet tiré de Florian, Salon de 1836 (no506)[21];
Les deux chasseresses, ou la mélancolie, Salon de 1837 (no503)[22];
Bibliographie
Saskia Hanselaar, «Un tableau inédit d’Alexandrine Delaval acquis par le musée des Beaux-arts de Nantes», La Revue des musées de France. Revue du Louvre, no1, , p.58-66 (lire en ligne).
Notes et références
Notes
Au moment de son décès, elle demeurait à Paris au no37, rue de Miromesnil.
Explication du tableau dans le livret du Salon: «Avant de quitter le Béarn, ce prince visita sa nourrice, et lui faisant ses adieux, écrivit sur une pierre à la porte de la maison, ces mots en béarnais: Asiont Enric quei estat néourrit; ici Henri a été nourri.»
Explication du tableau dans le livret du Salon: «Il fait répéter aux dames de sa suite, et devant Oriane, la romance plaintive chantée sur la Roche Pauvre par Amadis, qui avait pris le nom du Beau Ténébreux. Aussi touchée de la constance de son amant que du récit des maux qu’il éprouve, Oriane tombe évanouie dans les bras de Mabile, son amie. (Amadis des Gaules)»
Explication du tableau dans le livret du Salon: «Il vient de célébrer la beauté de Daphné qu’il aime sans le lui dire; il s’aperçoit que son secret est découvert; Daphné et Chloé, sa compagne, écoutaient ses chants. / (Idylles de Gessner)»
Explication du tableau dans le livret du Salon: «Cette bonne princesse avait fait venir dans sa maison de Montreuil une jeune paysanne de Fribourg pour soigner ses vaches et en distribuer le lait aux orphelins. S'apercevant un jour que la petite Suissesse était triste, elle voulut connaître le motif de son chagrin, et elle apprit qu'elle aimait lorsqu'on la fit partir pour la France. Madame Elisabeth fit alors venir l'amant de sa jeune laitière, qui se nommait Jacques, les garda tous les deux à son service, et les maria. / La jeune fille est représentée chantant la romance de pauvre Jacques, etc.»
Références
Archives de Paris, Actes de Décès, 1861, 8e arrondissement, Transcription no1476 au 8e arrondissement de Paris le 02/10/1861 de l'acte de décès, provenant du Consul de Nice, États Sardes, vue 28 / 31.
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