Alfred Pellan (né Alfred Pelland, à Québec, le [3] - mort à Laval, le [3]) est un peintre, un muraliste, un illustrateur et un costumier québécois, domicilié à Auteuil (Laval) pendant près de quarante ans. Il est le premier peintre québécois à s'être illustré sur la scène française (plus précisément en 1935). Vingt ans plus tard, à la suite d'une exposition à Paris, son œuvre est reconnue au Québec et au Canada[4].
Alfred Pellan
Monument Alfred-Pellan, par Aslan, jardin de Saint-Roch
* Van Gogh et les fauves (pour leur palette colorée),* les cubistes Picasso et Braque (pour la structure dans leurs œuvres) et* les surréalistes (pour leur imaginaire débridé)
Distinctions
1926: Boursier du Québec, pour se perfectionner à Paris et à Venise
1928: Premier prix de peinture, de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris
1935: Premier prix de l'exposition d'art mural, à Paris
1956: Premier prix du concours de murales, City Centre Building, Montréal
1958: National Painting Prize, Université de l'Alberta
1965: médaille du Conseil des arts du Canada
1965: membre du jury à la Quatrième Biennale de Paris
1967: Compagnon de l'ordre du Canada
1969: doctorat honorifique, de l'Université d'Ottawa
1971: associé de l’Académie royale des arts du Canada (RCA)
1971: doctorat honorifique de l'Université Laval
1971: doctorat honorifique de l'Université Concordia
1972: prix Louis-Philippe-Hébert
1972: prix Molson, du Conseil des arts du Canada
1974: doctorat honorifique de l'Université de Montréal
1978: déclaré «Montréalais le plus remarquable des vingt dernières années»
1983: prix d'excellence de l'IRAC
1984: prix Paul-Émile-Borduas
1985: officier de l'Ordre national du Québec ___
1998: Médaille de l'Académie royale des arts du Canada
Alfred Pellan naît à Québec, le . Sa mère, Régina Damphousse, meurt lorsqu’il est en bas âge, et son père Alfred Pelland, mécanicien de locomotive[5], élève les trois enfants. Lorsqu’il est à l’école, il couvre de dessins les marges de ses cahiers et réussit très bien ses cours d’arts plastiques, alors que les autres matières l'ennuient. En 1920, Alfred Pelland s'inscrit à l'École des beaux-arts de Québec. Il y obtient les premiers prix de cours supérieurs et y décroche des médailles en peinture, dessin, sculpture, croquis, anatomie et publicité. Il vend sa première toile à l’âge de dix-sept ans à la Galerie nationale du Canada[1] (aujourd’hui le Musée des beaux-arts du Canada, à Ottawa). Puis, il obtient en 1926 la première bourse d'études en arts du Québec, ce qui lui permet de demeurer plusieurs années à Paris et de séjourner à Venise, notamment. Il poursuit des études à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (1926-1930)[6], où il obtient en 1928 «un Premier prix de peinture» (atelier Lucien Simon)[5]. Après l'expiration de sa bourse, il prolonge son séjour à Paris, avec l'aide de son père[5], jusqu'en 1940, travaillant souvent seul tout en fréquentant les académies de la Grande Chaumière, Colarossi et Ranson. Il gagne le premier prix à l'exposition d'art mural de 1935 à Paris. Il côtoie plusieurs des artistes les plus connus de l'époque (dont: Picasso, Matisse, Derain, Dali…) et, en parcourant l'Europe, «s'imprègne des grands courants de l'art du temps[5]». Venu faire un bond à Québec, en 1936, dans le but d'être nommé professeur à l'École des Beaux-Arts de sa ville natale, il avait été refusé par le jury, qui l'avait trouvé trop «moderne»[5].
Quand arrive la Seconde Guerre mondiale, il s'empresse de retourner au Québec (1940) et s'installe dans la métropole, Montréal. Il rapporte des œuvres qui sont louangées dans des expositions à Québec et à Montréal. Les œuvres cubistes ou surréalistes qu'il ramène avec lui sont, cependant, alors considérées comme trop avant-gardistes: la plupart ne trouvent pas preneur. De 1943 à 1952, pour survivre, il enseigne à l'École des beaux-arts de Montréal. Son opposition active aux fondements théoriques du directeur de l'École pousse ce dernier (Charles Maillard) à démissionner en 1944. L'école devient dès lors plus libérale dans son approche. En effet, Pellan est ouvertement contre l'académisme et s'engage pour un art indépendant, davantage ouvert à l'universalité et à l'évolution.
Pendant les années 1940, il illustre des recueils de poésie et conçoit des costumes et des décors pour le théâtre[7]. Son style prend de la maturité, se développe encore, pendant cette période. Le surréalisme l'attire de plus en plus: son imagerie devient plus érotique et ses peintures, aux couleurs toujours saisissantes, deviennent plus grandes, plus complexes et plus texturées. Ne croyant pas aux écoles d'art, il est cosignataire, au début de 1948, de «Prisme d'yeux», un manifeste rédigé par Jacques de Tonnancour prônant la liberté d’expression dans l’art[1], un regroupement qui réclame un art libre de toute idéologie. Plus tard, cette même année, un autre groupe se forme, plus radical, qui signe le manifeste «Refus global» alors proposé par Borduas, reléguant dans l'ombre le premier manifeste, comme si les deux manifestes étaient totalement opposés et incompatibles l'un avec l'autre.
En 1952, Alfred Pelland reçoit une bourse de la Société royale du Canada et retourne à Paris jusqu'en 1955, avec celle qu'il avait épousée en 1949. Pendant ce séjour et sous le patronage des gouvernements de France et du Canada, le musée national d'Art moderne de la Ville de Paris accueille une exposition de 181 de ses œuvres. Il devient le premier Canadien à présenter une telle exposition individuelle à Paris[5].
Revenu au Québec depuis deux ans, il reprend ses cours de peinture en 1957 comme professeur au Centre d'art de Sainte-Adèle tout en vivant dans sa maison d'Auteuil à Laval, où il avait élu domicile en 1950. Sa réputation ne cesse ensuite de s'étendre auprès des experts canadiens: il se fait connaître dans différentes expositions, solo ou collectives, et reçoit des commandes de murales, qui établissent sa renommée dans l'ensemble du pays.
Plusieurs monographies et documentaires lui sont consacrés, de son vivant déjà, et il reçoit une cascade de récompenses et d'honneurs.
À partir de 1978, Alfred Pellan combat une leucémie, et il ne produit que cinq œuvres durant sa dernière période de dix ans[6]. Domicilié à Auteuil (Laval), il meurt à Laval, le (à 82 ans). Il est inhumé au Parc du Souvenir à Auteuil.
Son épouse (depuis 1949, quand elle avait 23 ans, et lui, 43[8]), Maddalena Poliseno, ou Madeleine Pelland, qu'il a connue quand elle était étudiante à l'École des beaux-arts de Montréal, lui survit jusqu'au [9].
Le fonds d'archives d'Alfred Pellan est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec[10].
1983 - Le paysage canadien, Exposition itinérante, Londres, Madrid, Paris
1985 - Six manières un langage, musée du Québec, Québec
1988 - Borduas and Other Rebels, Dresdnere Gallery, Toronto
Exposition posthume (pour chacun des peintres)
1989 - Pellan, Fortin, Gagnon, Maison des arts de Laval
Œuvres
Peintures
Jeune Fille au col blanc, 1934?, huile sur toile, 91,7 x 73,2cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[12].
Fruits au compotier, 1934?, huile sur contreplaqué, 80 x 119,8cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[13].
Nu de femme, 1935?, huile sur carton, 24,6 x 20cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[14].
La Spirale, 1938?, huile sur toile, 73 x 54cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[15].
Vénus et le taureau, 1938?, huile sur toile, 73,5 x 50cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[16].
Fleurs et dominos, 1940 ou peu avant, huile sur toile, 116 x 89,4cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[17].
Homme et femme, 1943-1947, huile sur toile marouflée sur contreplaqué, 167 x 208cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[18].
Citrons ultra-violets, 1948, huile, feuille d'or et peinture fluorescente sur toile, 208 x 167,3cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[19].
S'abstenir, 1958, huile et gouache sur toile, 60,6 x 93,7cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[20].
Et le soleil continue, 1959 (1ere version, vers 1938), huile, silice et tabac sur toile, 40,6 x 55,8cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[21].
Slurch, 1970, huile et silice sur toile, 63,3 x 91,5cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[22].
Série noire - C, 1971, huile sur toile marouflée sur bois, 36,8 x 68,5cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[23].
Bestiaire 24e, 1981, huile et silice sur contreplaqué, 122 x 122cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[24].
Bestiaire 26e, 1984, huile et pastel à l'huile sur toile, 121,9 x 121,9cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[25].
Masques
Masque 60, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[26].
Feste, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[27].
Olivia, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[28].
Valentin, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[29].
Malvolio, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[30].
Prêtre, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[31].
Sire André, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[32].
Maria, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[33].
Sculptures
Pour coups de pied au cul, 1974, soulier en cuir, tiges de métal effilées, plâtre, contreplaqué et peinture, 11 x 34,4 x 15cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[34].
Pour marcher au plafond, 1974, soulier en cuir, ventouses en caoutchouc, plâtre, contreplaqué et peinture, 11 x 29,8 x 15,1cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[35].
Le Casse-pieds, 1974, soulier en cuir, fer à repasser, plâtre, contreplaqué et peinture, 18,5 x 29 x 15,2cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[36].
L'Exhibitionniste, 1974, soulier en cuir vernis, plâtre, contreplaqué, encre et peinture, 15 x 32,5 x 15,4cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[37].
Ivrognerie, 1977, crâne, ciment, verre et bouteilles cassées et acrylique, 27 x 24 x 18cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[38].
Le Cendrier, 1977, dessus de crâne, maxillaire, ciment et pipe, 9 x 13,8 x 16cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[39].
Good Luck, 1982, patin de hockey en cuir et en textile, plâtre, métal, bois et peinture, 38,2 x 29 x 10cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[40].
Arts graphiques
Prisme d'Yeux, 1948, encre, mine de plomb et aquarelle sur papier, 12,4 x 20,2cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[41].
L'Homme A grave, 1948, gouache et encre sur papier, 29,8 x 22,8cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[42].
Voltige d'automne - A, 1973, encre de couleur et encre de Chine sur papier velours, 25,4 x 33,2cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[43].
Hollywood, 1974, encre de couleur et encre de Chine sur papier velours, 25,4 x 33,2cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[44].
Bestiaire d'après «Arrivée de l'Amirauté, Territoires-du-Nord-Ouest», 1984, encre sur offset couleur sur papier collé sur carton, 20,4 x 23,6cm (papier); 18,4 x 22,3cm (image); 24,2 x 28cm (carton), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[45].
La Mine de charbon 1984, encre sur offset sur papier collé sur carton, 15,6 x 19cm (papier); 13,8 x 18cm (image); 18,2 x 25,4cm (carton), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[46].
Bestiaire d'après «Aiglefeu» de Léon Bellefleur, 1984, encre sur offset couleur sur papier collé sur carton, 28 x 37,4cm (papier); 30,5 x 39,5cm (carton), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[47].
Café-Tabac, 1984, sérigraphie, épreuve d'essai, 66,6 x 48cm (papier); 32,5 x 25,3cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[48].
Fées d'eau, 1984, sérigraphie, épreuve d'essai, 90,5 x 66cm (papier); 71,3 x 50,7cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[49].
Au clair de lune, 1984, sérigraphie, épreuve d'essai, 98,5 x 66,2cm (papier); 73,6 x 44cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[50].
Beau Port de mer, du livre d'artiste «Septuor maritime», 1984, sérigraphie, H.C. II/XXX sur 68, 56 x 66cm (papier); 45,6 x 55,7cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[51].
Montage sur Borduas, vers 1984, gouache et encre sur offset sur papier collé sur carton, 40,5 x 32,6cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[52].
Peinture internationale, vers 1984, gouache et encre sur cartons découpés (2) et encre sur offset sur papier collé sur carton, 40,5 x 32,6cm (chacun), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[53].
Acceptation globale, 1984, encre sur offset sur papier collé sur carton, 40,5 x 32,6cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[54].
Oiseau, 1985, encre sur papier de couleur découpé, 6,5 x 5cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[55].
Les Tulipes, 1994, sérigraphie d'interprétation, E.A. II/XV, 61,3 x 50,5cm (papier); 45,4 x 38cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[56].
Le Chat Roi, 1999, sérigraphie d'interprétation, E.A. 25/25, 76 x 76,3cm (papier); 61 x 61cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec[57].
Honneurs
1926 - Boursier du Québec, pour études à Venise et à Paris
1928 - Prix de l'École des Beaux-Arts de Paris (atelier Lucien Simon)[58],[5]
1935 - Premier prix de l'exposition de murales de Paris
1948 - Soixante-cinquième exposition du printemps, Musée des beaux-arts de Montréal
1951- Troisième prix du Concours artistiques de la province de Québec
1956 - Premier prix du concours de murales, City Centre Building, Montréal
1957 - Murale pour le City Centre Building, Montréal
1958 - Bourse spéciale du Conseil des arts du Canada
1958 - National Painting Prize, Université de l'Alberta
1965 - Médaille du Conseil des arts du Canada
1965 - Membre du jury à la Quatrième Biennale de Paris
1967 - Compagnon de l'ordre du Canada
1967 - Médaille du Centenaire de la Confédération canadienne
1969 - Doctorat honorifique, de l'Université d'Ottawa
1971 - Associé de l’Académie royale des arts du Canada (RCA)
1971 - Doctorat honorifique de l'Université Laval
1971 - Doctorat honorifique de l'Université Concordia
1971 - Président Honoraire de la Guilde graphique
1972 - Prix Louis-Philippe-Hébert
1972 - Prix Molson, du Conseil des arts du Canada (aujourd'hui «prix du Gouverneur général»)
1973 - Membre de l'Académie royale des arts du Canada (RCA)
1974 - Doctorat honorifique de l'Université de Montréal
1978 - Déclaré «Montréalais le plus remarquable des vingt dernières années»
1983 - Prix d'excellence de l'IRAC (médaille des Arts connexes de l'Institut royal d'architecture du Canada)
Paul Gladu (op. cit.) — ami avoué de Pellan — écrit, en rappelant le froid permanent qui s'était créé en 1948, par manifestes interposés, entre Pellan et Borduas: «En 1984, ironie du sort! Pellan reçoit le prix Borduas. C'est comme si Picasso avait reçu le prix Rousseau.»
Germain Lefebvre, Alfred Pellan au Musée national des beaux-arts du Québec, préface de John R. Porter, 2008, 142 p. (ISBN978-2-55123-718-0) (OCLC 297156082)
Germain Lefebvre, Pellan [sa vie, son art, son temps], Éditions Marcel Broquet, Collection Signature, La Prairie, 1986, 2009, 203 p., Ill. (ISBN978-2-89000-078-0) (OCLC 22421892)
(fr)/(en) Marie-Hélène Lépine, Alfred Pellan: la modernité [traduction, Axel Harvey], [Saint-Jérôme]: Musée d'art contemporain des Laurentides; [Saint-Sauveur]: Galerie d'art Michel Bigué, impression 2006, 47 p.: ill. en coul., portr. (certains en coul.), 22 cm; Catalogue de l'exposition présentée au musée du au . Cf. p. [4]. — Bibliogr.: p.47. — Texte en français et en anglais (ISBN2-9224-7712-6 et 978-2-9224-7712-2)
Danielle Lord, Les enfants et Alfred Pellan -Une présentation du Musée des enfants de Laval et de la ville de Laval. Madeleine Therrien, commissaire, Madeleine Pelland, présidente d'honneur, Maison des arts de Laval, salle Alfred-Pellan, du au — Laval: Ville de Laval, impression 2005, 28 p., ill. en coul., portr. (certains en coul.), 25 cm (ISBN2-9234-7801-0)
Alfred Pellan, Sonia Sarfati, Le cueilleur d'histoires, un conte de Sonia Sarfati, inspiré du Bestiaire d'Alfred Pellan, musée du Québec, Québec (ville), 1999, 47 p.; 24,5 cm × 30,9 cm × 1 cm (ISBN2-5511-8914-4 et 978-2-55118-914-4)
Musée national des beaux-arts du Québec, Alfred Pellan [boitier], Les Publications du Québec, 1993, 317 p. ill.
Gilles Daigneault, L'Art au Québec depuis Pellan: Une histoire des prix Borduas, musée du Québec (auj. Musée national des Beaux-Arts du Québec), 1988, 93 p. (ISBN2-5510-6888-6)
(fr)/(en) Guy Robert, Pellan, sa vie et son œuvre [traduction anglaise de George Lach: Pellan: His life and his art], Éditions du Centre de psychologie et de pédagogie, collection Artistes canadiens, Montréal, 1963, 135 p.: ill. (certaines en coul.), portr.; 22 cm
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