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Aubrey Williams est un peintre né le à Georgetown en Guyane britannique et mort le à Londres. Il est une figure de proue parmi les artistes caribéens postcoloniaux qui ont afflué à Londres au milieu du XXe siècle.

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Biographie


Aubrey Williams est né à Georgetown en Guyane britannique (aujourd'hui le Guyana). Il commence à dessiner et à peindre dès son plus jeune âge. En effet, il reçoit des cours d'art informels dès l'âge de trois ans et a rejoint la classe d'art des travailleurs à l'âge de 12 ans.

Il travaille comme agronome dans la forêt tropicale guyanaise au milieu du peuple Waraos[1].

Aubrey Williams déménage à Londres en 1952[2],[3].

Dans les années 1950, Aubrey Williams fait des études d'art à la Saint Martin's School of Art[3].

Il fait partie du Caribbean Artists Movement[3].

En 1965, il remporte le prestigieux Prix du Commonwealth de peinture, présenté par la reine Elizabeth II.

Au cours de la convention, alors que le musée du Guyana accueillait une exposition de son travail, il est approché pour peindre des peintures murales à l'aéroport international de Timehri[3].


Œuvres


Peintures

Notes et références


  1. (en) Karen Kedmey, « Twenty-Five Years Later, the Paintings of Aubrey Williams Are as Striking as Ever », sur artsy.net, Artsy, (consulté le ).
  2. Leon Wainwright, Simon Faulkner (dir.) et Anandi Ramamurthy (dir.), Visual culture and decolonisation in Britain, (1re éd. 2003) (ISBN 0-429-40136-1, 978-0-429-40136-7 et 978-0-429-68559-0, OCLC 1102470927, lire en ligne), chap. 4 (« Francis Newtown Souza and Audrey Williams: entwined art histories at the end of empire »).
  3. (en-US) « Aubrey Williams’ Timehri murals », Stabroek News, Georgetown,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. (en) « Life Between Islands review: Joyous, thought-provoking and beautifully put together », sur independent.co.uk, The Independent, (consulté le ).

Liens externes




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