Après des études de droit à Strasbourg, il est d'abord avocat à Colmar, puis abandonne le barreau pour se consacrer à la peinture. Il se forme auprès de Pierre-Charles Comte à Paris et débute au Salon de 1865[2].
Considéré comme un «peintre du folklore alsacien»[4], Pabst met en scène sa région natale, mais produit aussi des scènes historiques, des scènes de vie[5] et des portraits[4].
Il est inhumé au Colombarium[6] du cimetière du Père-Lachaise à Paris[7].
Collections publiques
Peintures
L'envoi du Tonkin, 1885[8], musée des beaux-arts de Mulhouse
Une noce en Basse-Alsace, musée Unterlinden, Colmar
Bibliographie
Dictionnaire Bénézit
Encyclopédie de l'Alsace, volume 10, Éditions Publitotal, 1985, p.5802-5803
Alice Bauer et Janine Carpentier, Répertoire des artistes d'Alsace des dix-neuvième et vingtième siècles: peintres, sculpteurs, graveurs, dessinateurs, volume 4, Éditions Oberlin, 1987 (ISBN9782853690362)
Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, article de Louis Schlaefli, no29, p.2933
Œuvres de Camille Alfred Pabst
Jeune mère alsacienne (Salon de 1883)
L'envoi du Tonkin (1885), musée des beaux-arts de Mulhouse.
Une noce en Basse-Alsace, musée Unterlinden, Colmar.
Notes et références
Où il a vécu au 7 route de Strasbourg.
Encyclopédie de l'Alsace, volume 10, Éditions Publitotal, 1985, p. 5802-5803
Archives de Paris, état-civil numérisé du 17e arrondissement, acte de décès no1984 de l'année 1898. Le peintre meurt célibataire à son domicile situé 13 rue d'Offémont.
Musée des beaux-arts de Mulhouse: Collections alsaciennes, p. 3
Guerriaud Mathieu, «[Alsatian pharmacy in Dijon] Une pharmacie Alsacienne à Dijon», Revue d'histoire de la pharmacie, vol.LXI, (ISSN0035-2349, lire en ligne, consulté le )
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