Élève de Drolling et Dubois à l’École nationale des Beaux-Arts (1843)[2], membre de l'école alsacienne, peintre pompier, il s'installe à Bouxwiller et expose régulièrement au Salon de 1852 à 1876[3]. Il y obtient diverses médailles en 1864 et 1866.
Réputé sous le Second Empire, on lui doit aussi des illustrations des œuvres d’Erckmann-Chatrian. En , il vint à Nohant avec Alexandre Dumas fils pour y rencontrer George Sand. Celle-ci dit de lui Un gros ami qui ressemble assez à vos chiens de Terre-Neuve, qui pèse 182 livres et a de l’esprit comme quatre. Il est aujourd'hui connu comme son dernier amant.
Devenu aveugle, Marchal se suicide à son domicile, place Pigalle, en 1877[4],[5].
George Sand lui a écrit de très nombreuses lettres et billets.
Œuvres
Le dernier baiser (1858)
Le Cabaret de Bouxwiller (1861)
La foire aux servantes (1864)
La foire aux servantes
Pénélope (1868)
L'Alsace (1872)
Enfant guidant une oie
Paysannes chantant
Portrait d'une fillette à côté d'une chaise alsacienne
Bibliographie
La mort de Charles Marchal par Alexandre Dumas avec un passage sur la mort de sa mère en 1873[6] «Gil Blas» 1er septembre 1882.
La mort de Charles Marchal par Jean Morel «Musée universel: revue illustrée hebdomadaire» avril 1877.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии