Élève de Eishi, il s'inscrit dans la lignée stylistique de celui-ci, mais également dans celle de Utamaro, par son recours fréquent aux okubi-e, qui peuvent également faire appel à des fonds micacés qui en accroissent encore l'impact.
Richard Lane a souligné également, outre la parenté avec Utamaro, une certaine proximité de Eisho avec Kiyonaga, par un style plus « robuste », moins gracile que celui de Eishi[1].
Ses œuvres rappellent celles de Eisui et de Eiri, autres élèves de Eishi.
Parmi ses œuvres, on compte la série d'estampes ukiyo-e nommée kakuchū bijin kurabe[2].
Hélène Bayou (trad.de l'anglais), Images du Monde Flottant - Peintures et estampes japonaises XVIIe: XVIIIe siècles, Paris, Réunion des musées nationaux, , 398p. (ISBN2-7118-4821-3)
Sous la direction de Gisèle Lambert et Jocelyn Bouquillard, Estampes japonaises, Images d'un monde éphémère, Paris/Barcelone, BnF, , 279p. (ISBN978-2-7177-2407-3)
Edwin O. Reischauer, Histoire du Japon et des Japonais (tome I), Éditions du Seuil, (ISBN2-02-000675-8)
(en) James Albert Michener, The floating world, University of Hawaii Press, , 453p. (ISBN978-0-8248-0873-0, lire en ligne)
(en) Howard Hibbett, The floating world in Japanese fiction, Tuttle Publishing, , 232p. (ISBN978-0-8048-3464-3, lire en ligne)
(en) Tadashi Kobayashi et Mark A. Harbison, Ukiyo-e: An Introduction to Japanese Woodblock Prints, Kodansha International, , 96p. (ISBN978-4-7700-2182-3, lire en ligne)
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