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Claudia Montanari est une journaliste, artiste peintre, plasticienne, artiste performer, critique et artiste dramatique italo-française, née à Rome le .

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Claudia Montanari
Naissance
(57 ans)
Rome
Nationalité
franco-italienne
Activités
Journaliste, critique, peintre, artiste de scène
Père
Mère
Rosanna Anceschi (d)

Biographie


Claudia Montanari est la fille du styliste et artiste peintre Mino Montanari et de la couturière Rosanna Anceschi.

Récompensée en tant que jeune critique par le Syndicat professionnel de la critique dramatique et musicale, en septembre 1992[1], elle se forme auprès de l'AICT (Association internationale des critiques de théâtre) et avec Danielle Dumas à L'Avant Scène Théâtre où elle écrit jusqu'en 2005.

Elle s'attache à défendre les jeunes compagnies et auteurs émergents en France dans différentes rubriques et à France Inter pour Avignon[2].

Elle travaille dans le jeu et la mise en scène à l'École Patrick Baty, au Théâtre de la Tempête (Cartoucherie) à Paris avec le metteur en scène Philippe Adrien[3], avec Danièle Thomson[4], avec La Compagnie Charivarì (Italie)[5], et intervient comme artiste dramatique à France Culture[6].

Ancienne élève de classes préparatoires au lycée Fénelon et auditrice libre à l'École normale supérieure de Fontenay-aux-Roses, agrégée des Universités en langue et de civilisation italiennes, elle traduit Minnie la Candide de Massimo Bontempelli, que Joël Pommerat met en espace à la Maison d'Italie à Paris[7].

Elle a été interprète de l'auteur Giorgio Vasta à Montpellier pour son livre Le Temps matériel[8], de Antonella Cilento, pour Lisario o il piacere infinito delle donne, pour le magistrat Roberto Scarpinato pour Le retour du Prince [9]. En 2014, elle obtient à l'Université Paul-Valéry-Montpellier un master de psychanalyse et esthétique et un diplôme universitaire de psychothérapeute à formation psychanalytique. Son travail de recherche est axé sur les liens entre le langage, l'identité, l'art et la folie[10].

Dès 1983, elle interrompt les Beaux-Arts à Tours, reprend des ateliers d'arts plastiques aux Beaux-Arts de Paris et de Rouen, et pose les jalons d'un parcours artistique qui fait la part belle à la performance art et à une poétique de l'inconscient. D'abord apparenté à la figuration libre, son style s'affranchit de tout code et demeure inclassable. Dans ses grands formats prédominent les monochromes bleus et les collages tridimensionnels. Elle privilégie des éléments de l'univers marin (filets de pêche), des traces du monde végétal et animal, qu'elle relie à son enfance à l'île d'Elbe, où elle a failli mourir par noyade. De ses œuvres filtrent des événements autobiographiques (Les pères impairs, Troumatismes) mais aussi des événements d'actualité : l'Âme des naufragés, Nie ça ou La Colère du monde, I sette fratelli Cervi.

D’après Bernard Salignon, « l’artiste dans son geste, ici la peinture, ne peint pas un schème préalable sorti de sa tête, mais suit ce Daïmôn impersonnel et subjectif hors savoir, insu, non su et c’est le pinceau qui décide selon le temps. L’artiste dans son œuvre se découvre dans l’après coup, elle est souvent surprise et déprise d’elle-même ».

Enseignante et psychanalyste, initiatrice des ateliers « Forum art et théâtre » (collège Maximilien de Robespierre, Saint-Étienne-du-Rouvray) « Arts et langage » et « Espace du Parlêtre » (lycée Joffre, Montpellier) au sein d'établissements scolaires, elle s'intéresse particulièrement à la fonction paternelle dans un projet documentaire intitulé « Au nom du père et de tous les autres », avec les témoignages et le parrainage d'auteurs et artistes français et italiens, (Stefano Benni, Marco Missiroli, Giorgio Vasta, Antonella Cilento, Giorgio Scianna, Marcello Fois, Tommaso Pincio, Michka Assayas, Richard Bohringer, Valeria-Bruni -Tedeschi, Camille Laurens, Jean-Pierre Lebrun) qu'elle intègre à son questionnement sur l'origine de l'acte créateur.


Œuvres


Ses œuvres ont été exposées en 2017 en France sous le titre Happy burn up dans plusieurs lieux publics : le Limino (Aumelas) le Dôme, Le Café du Siècle (Ganges), et à la Gazette Café à Montpellier en mars 2018 où elle fait une intervention relayée par Les Carnets de la Création (France Culture)[11] avec le poète Flaviano Pisanelli et le philosophe Bernard Salignon sur « L'art peut-il sauver ? »[12],[13] : « Décrire ou peindre l’effet terrible et horrifiant de notre contemporanéité c’est trop souvent les banaliser, alors que dans ses toiles l’art déplace et se joue sur une autre scène et n’a rien à voir avec l’analogie. Je dirais qu'elle perd la réalité pour la faire exister du coté du réel de l’art » (Bernard Salignon). Onze de ses toiles sont exposées au Château de Pierre-de-Bresse (avril 2018) sur invitation du conservateur en chef du patrimoine Dominique Rivière. Elle expose dans la tour du Château, à proximité de la rétrospective de l’œuvre de son père Mino Montanari à l'écomusée de la Bresse bourguignonne. En juin 2018 elle expose à Saint-Georges-d'Orques[14]. Ses dessins et ses photos sont accueillis à l'Artothèque Centro Multiplo Cultura de Cavriago en Emilie-Romagne[15].


Photographie "Vita Nova"


Elle inaugure aux Rencontres de la photographie d'Arles 2018 un cycle de photographies en noir et blanc : Vita Nova. Ce travail est né en août de l'imminence de la mort de son père. Il est marqué par la lecture de Vita nuova de Dante Alighieri, où Dante, troublé, rate ses rencontres avec la femme désirée, Béatrice, et ne parvient pas à lui révéler son amour, au point que "par stratégie", il fait croire qu'il en aime une autre. De son côté, Béatrice pleure la mort de son père, se marie, puis meurt. Ils entrent tous les deux, à leur manière, dans "la vie nouvelle". "Vita Nova 2" naît sous forme de photo-performance sur trois jours, en y incluant la participation exceptionnelle de la photographe Diana Lui. Ce processus était destiné à être reconduit à proximité des fontaines et de monuments historiques en Europe. En décembre 2019, ce travail est montré à Montpellier au Gazette Café et inaugure un travail inédit avec les spectateurs sur la présence de l’œuvre d'art dans leur espace quotidien [16],[17],[18] : "Lorsque l'art entre dans une maison, la violence en sort" (Fernando Botero). L'exposition est présentée aux Terrasses de la Babotte à Montpelllier de mars a septembre 2020[19] et les textes seront exposés en 2021.

"Vita Nova 3" est une métonymie de l' acte de sublimation indispensable pour traverser l'angoisse de mort.[20] . Il naìt pendant le premier confinement, à Saint-Georges-d'Orques, avec ses enfants. Le thème est intimement lié au souffle vital menacé par la pandémie de Covid-19, métaphorisé par la danse des flammes, et le retour au cycle de la vie. La comptine italienne "Giro giro tondo" reprend tout en simplicité la réalité d'interdépendance entre les vivants, mais aussi entre les morts et les vivants. "Vita Nova 4" évoque le monde de la culture momentanément interrompu, représenté par Pinocchio, et l'objet perdu de l'artiste (le pays natal). Il est créé en soutien au monde de la culture à l'arrêt, dans le cadre du mouvement Intermithon lancé par le théâtre de la Plume à Montpellier. Vita Nova 5 - "Là où nous sommes" - s'inscrit dans un nouvelle recherche esthétique saluée en Italie par Vanni Pandolfi : "L’artiste regarde en arrière, vers un monde ancien et dépassé, en produisant ses photographies à l’intérieur des anciens Thermes « Ussat-les-Bains », refuge et certitude d’époques peut être plus bienveillantes, plus sûres et moins menaçantes. Dans cet environnement, loin du monde contemporain, sont ainsi produites toutes les Photographies de la série, dans lesquelles il est intéressant d’observer la présence d’une empreinte « magique » de la couleur, semblable a des coups de pinceau. La serie complète, semblable a une mosaïque, devient ainsi un miroir dans lequel se refléter , afin de chercher avec courage à s’éloigner des interprétations venant des autres, dominantes et manipulatrices. Finalement, Claudia Montanari reconstruit un Monde psychique métaphorique très personnel, comme point de référence pour combattre une dictature d’homologation de la pensée qui procède  de manière expéditive et rapide dans la mise en oeuvre de changements de significations selon son bon vouloir, selon ses propres fins utilitaires et de puissance. Cette extraordinaire mosaïque produit « Vita Nova », une vie différente, alternative, salvatrice pour l’artiste. Une dimension et une disposition vibrantes, colorée, énergique, en opposition au manque de couleurs des temps contemporains. E « Vita Nova » pour vaincre la « Nouvelle Normalité », la tuer et la faire disparaitre. C’est une libre renaissance, c’est une conscience éveillée, c’est une Revolution necessaire!". [21],[22],[23]. "Vita nova 5" a fait l'objet d'une exposition à l'endroit même de sa création, en Ariège, aux Thermes d'Ussat-les-Bains.[24]


Publications



Notes et références


  1. syndicat-critique-tmd.fr, http://associationcritiquetmd.com/ projet istropolitane, septembre 1992, bulletin no 37.
  2. Émission Arts scéniques et bouts de ficelle, par André Blanc, ICCOM, http://culture-ic.com/ Avignon 92.
  3. L'Annonce faite à Marie (1990) de Paul Claudel, mise en scène de Philippe Adrien, avec Jacques Gamblin, Hélène Lapiower, Annie Mercier, nomination au Molière du metteur en scène, (assistante du metteur en scène et du dramaturge), et comédienne pour la préparation du spectacle les Bacchantes.
  4. Formation studio VOVF Paris.
  5. Sourire aux pieds de l'échelle de Henry Miller, Reggio Emilia, avec Herbert Thomas.
  6. Une vie, une œuvre, Maria Zambrano, réalisation Claude Mettra (producteur sur France Culture), production Jacques Munier, diffusion 17/09/1992 www.ina.fr et Une vie, une œuvre, Odilon Redon (1840-1916), avec Claude Henri Roquet, réalisation Claude Giovannetti, production de Claude Mettra. Odilon Redon ou la quête de la fleur de sang, émission.
  7. Texte protégé SACD disponible à la Maison Jean Vilar à Montpellier. Mise en espace de Joël Pommerat (Cie Louis Brouillard), Maison d'Italie, Cité internationale universitaire, du 1er au 28 février 1994 (création) http://www.cnt.asso.fr/spectacle.cfm/25424-minnie_la_candide.html
  8. « Giorgio Vasta, Le temps matériel ».
  9. Comédie du Livre Montpellier, 2016, http://disciplines.ac-montpellier.fr/lettres/actualites/academie-du-livre/webzine-2016-3-edition
  10. Recherche sur Fedra du poète Ungaretti, d'après Racine, et sur la revue La Plume, master 2 sur la procédure de la passe de Lacan, La passe au risque de l'ambivalence, Université Paul-Valéry, Montpellier, réalisation d'un documentaire interview sur le Foyer d'Aide Médicalisé Henri Wallon, Montpellier.
  11. « Claudia Montanari est plasticienne. Son travail mêle les formes, entre écriture, théâtre et peinture. https://www.franceculture.fr/emissions/les-carnets-de-la-creation/les-carnets-de-la-creation-du-mardi-27-mars-2018 »
  12. « Radio France »
  13. « radio »
  14. [http://www.midilibre.fr/2018/06/09/montanari-expose,1683914.php https://www.midilibre.fr/2018/07/26/aider-a-bien-vivre-la-parentalite,4663631.php « "Montanari expose" »]
  15. « Artoteca europea »
  16. « Vita Nova par Claudia Montanari », sur https://www.rphfm.org/vivre-ici-du-mardi-17-au-vendredi-20-decembre-2019/
  17. « claudia montanari, vita nova », sur https://www.artistes-occitanie.fr/event/claudia-montanari-vita-nova/
  18. « claudia montanari, vita nova 1 et 2 », sur https://www.gazettecafe.com/post/expo-photos-vita-nova
  19. Frederic Mayet, « Claudia Montanari fige les corps dans une vitalité desespérée », (consulté le ).
  20. Frédéric Mayet, « Claudia Montanari, artiste qui fait du confinement une occasion de création », sur www.midilibre.fr, (consulté le )
  21. Frederic Mayet, « Claudia Montanari et Narimène Bey ou quand la photo rencontre l'art lyrique »
  22. « claudia-montanari-artiste-photographe-et-frederic-mayet-journaliste »
  23. « Entracte, Claudia Montanari exposition au Midi Libre »
  24. « Ornolac-Ussat-les-Bains Montanari Claudia expose à la station thermale », journal quotidien la Dépêche du Midi, (lire en ligne)



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