Emīlija Gruzīte, née Emīlija Upīte le dans le Rajons de Madona et morte en à Riga, est l'une des premières femmes peintres lettones au début du XXe siècle[1],[2], attirant l'attention du public, de l'Unité des artistes indépendants et des journalistes.
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Emīlija Gruzīte est née le dans le manoir familial. Elle apprend la peinture avec ses professeurs de la paroisse et d'école. À Riga, ville des écrivains et des journalistes, elle devient une étudiante de Vilhelms Purvītis sur les recommandations de Rūdolfs Blaumanis.
En 1897, Emīlija Upīte a épousé Alfrēds Gruzīte, le rédacteur et journaliste des journaux Dienas Lapa, Kuldīgas Vēstnesis et Kurzemnieks[2].
Elle expose pour la première fois en 1903 avec d'autres artistes et en solo, en 1907[3]. Elle continue d'exposer jusqu'à la Première Guerre mondiale et écrit sur l'art pour des journaux (Kuldīgas vēstnesis, Sieviete)[3]. Son poème Tevi atstāju est mis en musique par Emīls Dārziņš[2].
Elle fait partie des artistes de l'exposition Âmes sauvages au Musée d'Orsay en 2018[4].
Elle meurt en à Riga.