François Augustin Caunois entre le aux Beaux-Arts de Paris où il est élève de Claude Dejoux. Il se fait remarquer la même année en remportant le deuxième grand prix de gravure en médailles avec le bas-relief Thésée relevant la pierre sous laquelle son père avait caché ses armes. Il participa aux salons parisiens de 1819 à 1850, où il obtient une médaille de deuxième classe en 1824.
En tant que médailleur, Caunois participe à plusieurs concours monétaires. On lui connaît un essai pour le concours de 1830 (pièce de 100 Francs à l’effigie de Louis-Philippe Ier). De même, il fait partie des 25 graveurs qui participent au concours monétaire de 1848 pour lequel il s'agissait de créer de nouvelles pièces de 20 francs, 5 francs, et 10 centimes. François Augustin Caunois y propose une pièce de 5 francs, mais c'est le projet d'Eugène-André Oudiné qui est retenu.
Bustes
Pour la sculpture, François Caunois réalise surtout des bustes officiels, notamment:
Buste du Prince Poniatowski, galerie des Batailles du château de Versailles;
Buste du général Drouot, Salon de 1850, Bar-le-duc, Musée Barrois.
Statues
Jeune Spartiate vouant son bouclier à sa patrie, dont le modèle en plâtre fut présenté au Salon de 1819 et le marbre au Salon de 1836. Ce dernier, acheté par l'État en 1852 est conservé à Amiens au musée de Picardie.
Sainte Marguerite d'Écosse, ornant le portique latéral de gauche de l'église de la Madeleine à Paris.
Statue de Charles Le Brun, façade de l'ancien hôtel de ville de Paris.
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