Françoise Matheran, née le à Paris et morte en [1], est une peintre française.
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Elle s'est consacrée au travers de son œuvre à saisir l'impalpable, la limpidité de l'air, ses transparences. Elle capte les couleurs qu'exténue le brouillard, poursuit un bleu ou un gris qui vibrent, jusqu'à leur plus infimes nuances, leur épuisement même. Une étrange poésie nait alors de l'objet le plus quotidien ; et les monts de l'Auvergne, les reflets de l'eau sur une plage, un arbre qui se dresse, silhouette fragile, deviennent autant d'incantations qui célèbrent les pouvoirs de la peinture [2].
Françoise Matheran a vécu à Paris, puis en Auvergne près d'Ambert (Puy-de-Dôme), où les monts du Livradois lui ont apporté une forte inspiration, puis en Normandie, dans le Cotentin, dans le village de Barfleur[3], où elle a réalisé des séries de toiles et de pastels (bords de mer, ciels, promenade de la Hougue à Saint-Vaast, plage de Morsalines).