Gérard Blanchard né le à Chazelles-sur-Lyon et mort le à Paris[2] est un graveur, un typographe et un universitaire français.
Pour les articles homonymes, voir Gérard Blanchard (homonymie) et Blanchard.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Naissance | Chazelles-sur-Lyon |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Gérard Jean Blanchard |
Nationalité | |
Activités | |
Formation | |
Dir. de thèse | |
Distinctions | |
Archives conservées par |
Institut mémoires de l'édition contemporaine (152BLC/1 - 152BLC/82)[1] ![]() |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Son essai consacré à la bande dessinée en 1969 a eu un grand retentissement.
En 1949, Gérard Blanchard publie un recueil de gravures sur bois illustrant Les repues franches de François Villon.
En 1954, il publie les Nuits de feu, de Blaise Pascal, qui lui valent de recevoir le prix Blumenthal[réf. souhaitée].
En 1980, il soutient en Sorbonne la première thèse consacrée à la communication graphique[réf. nécessaire] (Pour une sémiologie de la typographie), devant un jury composé de Roland Barthes, Gérard Genette, Michel Décaudin et Christian Metz[3].
Introducteur du graphisme à l'université (Sorbonne III), il est aussi le fondateur du département de communication visuelle à l'École des beaux-arts de Besançon dont il est le premier directeur et où il enseigne une huitaine d'années.
Très impliqué dans le milieu du graphisme comme conférencier, essayiste, enseignant, praticien, il a aussi été un des animateurs principaux des Rencontres internationales de Lure qui réunissent chaque année au mois d'août graphistes, typographes, éditeurs et de nombreux autres professionnels des arts graphiques dans le village de Lurs.
Son essai consacré à la bande dessinée en 1969 a eu un retentissement important puisqu'il s'agit du premier ouvrage sur le sujet qui s'affranchisse réellement de la nostalgie du collectionneur et qui place la bande dessinée dans une perspective historique[réf. nécessaire].
Il est docteur honoris causa de l’Université Laval de Québec au Canada[réf. souhaitée].
Ses archives sont conservés à l'Institut mémoires de l'édition contemporaine[4].