Noël Jean Gabriel Rispal, né le à Bordeaux et mort le à Châtillon, est un sculpteur français.
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Gabriel Rispal naît à Bordeaux le d'un père sculpteur, Jean-Gilbert Rispal[1]. Il débute son métier de sculpteur dans l’atelier de son père, puis entre à l’École des beaux-arts de Bordeaux en 1907, dans l’atelier de Gaston Veuvenot Leroux. Boursier de la ville de Bordeaux en 1920, il entre, en 1921, à l'École des beaux-arts de Paris où il est élève de Jean Boucher.
En 1922, il sort quatrième au Grand Prix de Rome.
Il est également à l’origine du « 1% des commandes publiques ». Cette mesure, autrement dite le « 1% artistique », vise à améliorer la protection sociale des artistes et à promouvoir leur travail dans le domaine public. La mesure s'applique, lors de la réalisation de tout projet de construction de bâtiments publics, avec l'obligation de destiner une somme d'argent à la réalisation d’œuvres d’art attachées à ce projet (décret de 2002)[2].
Il meurt le à Châtillon dans les Hauts-de-Seine[1].
Parmi les œuvres de Gabriel Rispal, se trouvent la décoration sculptée de l’établissement thermal de Cambo, des bustes dans les mairies de Paris, le monument national de la Gendarmerie, à Versailles, à la gloire de la gendarmerie, en 1941. Il est l’auteur d’une statue de la Vierge sur la place de l’église à Saint-Vincent-de-Tyrosse.
Il a notamment réalisé des sculptures aujourd'hui visibles dans des lieux publics français :
Ses créations en l’Église Sainte-Agnès de Maisons-Alfort sont nombreuses : en particulier, la statue monumentale de Sainte Agnès, en pierre de Chauvigny, haute de 4 mètres surplombant le porche d’entrée, celle de la Vierge à l’enfant, de Saint Joseph en tenue de charpentier, et dans le registre bronze, le Christ surmontant le maître-autel. Certaines de ces statues serviront de modèle dans des édifices ultérieurs, comme à Saint-Vincent-de-Tyrosse dans les Landes et à Rio de Janeiro (Brésil)[3].