Proche de Charles Camoin et d'Albert Marquet[4], Guillaume Dulac expose des paysages sous la forme de peintures sur toile au Salon des indépendants dès 1905, puis au salon de l'Union artistique de Toulouse en 1908[5]; en 1909 et 1910, il est présent au salon de la Société nationale des beaux-arts[6].
Sa dernière exposition a lieu au Salon des Tuileries en juin 1929, il y montre les toiles Dormeuse et Conque marine[7].
Retrouvé noyé dans la Seine, il est inhumé le au cimetière parisien de Thiais (27e division)[8],[9] et ses restes y reposent jusqu'à la fin de la concession où ils ont été transférés probablement dans l'ossuaire du Cimetière du Père-Lachaise.
Bibliographie
René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p.442.
«Dulac, Guillaume», in: Pierre Cabanne et Gérald Schurr, Les petits maîtres de la peinture, 1820-1920, Paris, éditions de l'Amateur, 2014, p.367.
Élisabeth Hardouin-Fugier, Françoise Dupuis-Testenoire, Les peintres de natures mortes en France au XIXe siècle, 1998, p.296.
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