Photographe et artiste multimédia, Ishola Akpo expérimente les possibilités du numérique, tout en mélangeant dans son travail modernités et traditions, jouant sur différents niveaux de lecture pour en faire des métaphores plurielles. La frontière entre réalité et fiction, identités fixes et identités multiples, reste au cœur de sa démarche.
En 2013, lauréat de Visa pour la création (Institut Français, Paris), il présente la série Pas de flash s’il vous plait!, une réflexion sur l’interaction de la lumière sur les sujets photographiés, présentée sous forme de performance et d’exposition à l’Institut Français de Cotonou. En 2014, il publie la série «L’essentiel est invisible pour les yeux» (Africa Is No Island, MACAAL, Foire 1.54 au Maroc, 2018), à partir d’une expérience familiale, qui illustre la dot de sa grand-mère, tout en insistant sur sa charge mémorielle. Cette réflexion le conduira à explorer le mariage contemporain. En 2015, avec la série «Les mariés de notre époque», Ishola Akpo, Lauréat de Photoquai, rentre dans la collection du Musée du Quai Branly à Paris.
Depuis, il multiplie les résidences artistiques: Fondation Montresso (Maroc) avec la série Daïbi et plus récemment la Fondation Zinsou (Bénin) avec "Agbara Women" présentée au Musée d'art contemporain de Ouidah comme une ode au pouvoir des femmes, incarnée avec des portraits de reines connues ou oubliées de l'histoire en Afrique.
Son travail a été sélectionné dans plusieurs grands événements internationaux dont le musée de l'histoire de l'immigration (Paris), Mo.co. hôtel des collections (Montpellier), Weltkulturen museum Frankfurt (Allemagne), Fotonoviembre (Tenerife), Nuit blanche de Port-au-Prince Haïti, Lagosphotos Festival au Nigeria, Festival Afreaka au Brésil.
Expositions
Collectives
Son travail a été sélectionné dans plusieurs événements internationaux dont:
2021: Talking Mirrors a M.bassy e.V. Hambourg (Allemagne)
2021: Cosmogonies - Zinsou, une collection africaine au MO.CO Montpellier, hôtel des collections à Montpellier (France)[1]
2021: Ce qui s'oublie et ce qui reste Musée de l'histoire de l'immigration à Paris (France)[2]
2020: Circulaciò Perifèrica al centre de cultura "Sa Nostra", Palma, Espagne [3].
2019: Rencontres de la photographie de Marrakech, Palais El Badi à Marrakeck (Maroc)[4];
2019: Wax Stories à la Fondation Zinsou à Cotonou (Bénin)
2018: L’Afrique n’est pas une ile à la Fondation Zinsou à Cotonou (Bénin)
2018: Grey is the new Pink au Weltkulturen Museum(de) de Francfort-sur-le-Main (Allemagne[5])
(en-GB) Charlotte Jansen, «LagosPhoto: the Nigerian festival challenging the world's Afro-pessimism», The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le )
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