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Jean Jacques Henri Denis Maillart né le à Paris et mort le à Illiers-l'Évêque (Eure) est un peintre, graveur, illustrateur et décorateur français. Petit-fils de Diogène Maillart

Jean-Denis Maillart
Jean-Denis Maillart dans son atelier vers 1975.
Biographie
Naissance

Paris
Décès
(à 90 ans)
Illiers-l'Évêque
Nationalité
Française
Formation
Institution Notre-Dame de Sainte-Croix
Lycée Condorcet
Lycée Carnot
Beaux-Arts de Paris
Activités
Peintre, dessinateur, graveur, décorateur de théâtre
Père
Roger Maillart (d)
Enfant
Parentèle
Diogène Maillart (grand-père)
Autres informations
Mouvement
Symbolisme
Maître
Genres artistiques
Portrait, paysage, décor
Distinction
Médaille de la Ville de Paris ()

Biographie



Jeunesse


Jean-Denis Maillart à Oinville en 1937.
Jean-Denis Maillart à Oinville en 1937.

Jean-Denis Maillart est né le dans le 8e arrondissement de Paris[1]. Ses premiers tableaux et ses dessins de mode sont signés Jean Maillart. En 1939, il a pris comme nom d'artiste Jean-Denis Maillart.

Il est issu d'une famille de peintres par son père, Roger Maillart[2] ainsi que par sa mère, Suzanne Marion[3], mariés à Paris[4].

Il a deux ans lorsque meurt son père[5].

Après sa scolarité au collège Sainte-Croix-de-Neuilly, il a passé son baccalauréat en 1932[6]. Il a été étudiant dans l'atelier d’Émile Renard tout en fréquentant l’École nationale supérieure des beaux-arts dès 1929. Inscrit à l’École le dans l’atelier d'André Devambez, il a préfèré suivre l’enseignement d’Othon Friesz et s'est vu primé pour un portrait, son premier envoi, au Salon des artistes français de 1935[7]. « En peinture, j'ai toujours pensé portrait, dira-t-il plus tard »[réf. souhaitée]. Mais en même temps il voulait aider sa mère et, ayant du gout pour la mode, a utilisé son imagination créatrice en dessinant robes, chapeaux qu'il vendait aux grands couturiers qui sont toujours à l'affut de nouveautés et d'originalité artistique. Etre modéliste indépendant l'a familiarisé avec les maisons de couture parisiennes, Jeanne Lanvin, Madame Agnès le recevaient ; grand, mince, distingué, ce bien jeune homme n'en était pas moins féru d'histoire du costume, hantant les bibliothèques. Sa première cliente a été Marguerite Carré, entre elle et lui naquit une amitié à vie[8].

Le , il a épousé Jacqueline Mornand[9], fille de l’homme de lettres Pierre Mornand [10],[11] et de Germaine Mornand née Poidatz. Ensemble ils auront huit enfants[9].

Cette même année, lors du vernissage du 5e Salon portraits contemporains à la galerie de Paris, il a fait la connaissance de la photographe Laure Albin-Guillot, alors au faîte de sa gloire, qui lui a ouvert les portes du Tout-Paris et dont il conservera l’amitié la vie durant[12],[13]. Il leur est arrivé d'exposer ensemble, dans la même galerie et sur le même thème, elle par ses œuvres photographiques encadrées et lui par ses toiles, par exemple « Les Fleurs de Laure Albin-Guillot et de Jean-Denis Maillart »[14],[15],[16].

En 1943, il dessine des publicités  entre autres pour Mellerio dits Meller[17] , illustre des magazines de mode[18],[19] et réalise des couvertures de roman comme pour La Belle amour de Francis Carco (1952)[20] ou pour Louis-Charles Royer (1952, 1959)[21].


La mode


En septembre 1938, de modéliste indépendant, Madame Jacques, deuxième épouse de Jacques Worth, l'engagea comme modéliste créateur[22] au vu des croquis qu'il lui présenta au 120, Rue du Faubourg-Saint-Honoré, heureuse d'en avoir un masculin. Plein d'enthousiasme dans ce monde de fascinantes couleurs et des plus belles broderies, des plus riches fourrures et tissus rares, il y devint designer en chef, habilla la princesse Faouzia à son mariage avec le Chah d'Iran, Mme Albert Lebrun à l'occasion du voyage officiel de son mari à la cour de Saint-James, la femme de Bảo Đại, Nam Phương... C'était l'âge d’or pour la haute couture parisienne à la fin des années 1930, il participa à la préparation des collections et travailla avec les couturiers de renom[23]. Les modèles conçus et dessinés par Jean-Denis Maillart (1937-39) ont été offerts par la Maison Worth au Victoria and Albert Museum, London. Les maquettes du musée ont été réunies dans un livre : Victoria and Albert Museum, Department of Prints and Drawings and Department of Paintings: accessions 1957-1958 [24]. Voir .

A la fermeture de la grande maison, Jean-Denis Maillart entra, démobilisé après la Seconde Guerre mondiale, chez Jean Patou en 1942[25]. Il avait du succès, son style était, là aussi, apprécié et tout semblait devoir continuer mais au moment où la mode lui offrait avantageusement une carrière assurée, il décida, au lieu de devenir couturier, de tenter de vivre de sa peinture qu'il n'avait jamais abandonnée .« De la silhouette de mode à la toile de maitre. Ce jeune et audacieux artiste, vous l'avez peut être connu comme moi dans les salons de ces grandes maisons dont il était le modéliste. » Le Journal 13 03 1943[26]. Quand il exécuta de grands dessins pour servir de fond aux photos de mode de Mme Albin-Guillot qui exposait en décembre 1941, la peinture réclamait en lui son dû au styliste.


La peinture


Aubin Diximus, Propriété de Jean Denis Maillart à Oinville-sur-Montcient dans le Vexin français de 1945 à 1966.
Aubin Diximus, Propriété de Jean Denis Maillart à Oinville-sur-Montcient dans le Vexin français de 1945 à 1966.

En effet, l’été 1942, Jean-Denis Maillart s'était installé pour plusieurs mois à la campagne, dans la propriété de ses beaux-parents, avec son épouse, ses trois enfants, son jeune élève et l'ami peintre Luigi Corbellini pour y peindre. Il en résulta une première exposition personnelle de 30 toiles en à la galerie Jean Pascaud au 163, boulevard Haussmann à Paris[27],[28]. Visitant son atelier à cette époque, Paul Valéry lui dédia les lignes suivantes :

« J’ai coutume, ou la manie de dire : le peintre cherche la peinture, parole profonde que je n’ai pas le loisir, peut-être les moyens, d’expliquer, mais je crois, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvé. — Paul Valéry[29] »

En 1943, Jean-Denis Maillart présenta au Salon des Tuileries sa Dame en noir qui lui valut avant la fin de l'exposition, dix commandes de portraits dans la haute société parisienne[30]. Au Salon des Tuileries de 1946 où il a envoyé une Étude pour la danse posée par Renée Jeanmaire (qui deviendra Zizi Jeanmaire), la toile été acquise par le Fonds national d'art contemporain,conservée dans la résidence de l’Assemblée nationale[31],[32]. En 1944, il exposait un autoportrait au Salon des indépendants[33].La carrière démarrait.


Élève


Jean-Denis Maillart, ayant déjà du succès comme peintre, a été, à Paris de 1942 à 1943[34], le professeur de François Morellet ; il lui donnera des cours et lui permettra d'exposer une de ses premières toiles au Salon de Société nationale des beaux-arts[35],[36].


Œuvre



Portraits


Au cours de sa carrière, Jean-Denis Maillart réalise plus de 2 000 toiles : têtes d'enfants, arlequins, paysages, bouquets de fleurs, avec une tendance symboliste plus tardive et plus de 600 portraits, parmi lesquels ceux de personnalités comme le prince Hassan Aziz Hassan et l'impératrice d'Iran Fawsia[37], la dernière sultane turque Neslişah[38], la reine Farida[39], Isa Miranda[40], Barbara[41], Jeanne Moreau [42], Charles Edward Merrill (en), David Rockefeller[43], Bernard et Mirabel Magdelene Kelly, la comtesse de Paris, sa fille la duchesse Diane de Wurtemberg et son époux duc Carl[44], le prince Albert II de Monaco[44] ou le comte Jacques-Rodolphe de Wurstemberger, le baron Hottinguer, la princesse de Bourbon Parme, le duc de Mouchy, d'Harcourt, Paul-Louis Weiller, Louis de Polignac ; à New York, il peint quarante portraits en trois mois en 1957 et soixante en 1961.


Peintures murales


En 1960, La Municipalité de Blonville confie à Jean-Denis Maillart la décoration intérieure de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption construite en 1954[45],[46], dans laquelle il réalise 13 peintures murales.


Scénographie


Entre 1947 et 1954, Jean Denis Maillart a réalisé un grand nombre des maquettes de costumes et une vingtaine de décors de ballet, de théâtre, de film.


Décors d'expositions et de festivals


Outre des affiches pour ballet[70], expositions ou festivals [71],[72], Jean-Denis Maillart a également composé des décors pour :


Bibliophilie



Lithographie


Gravure au burin


Illustrations



Dessins à la plume

Illustration de L'Histoire d'amour de la rose de sable d'Henry de Montherlant pour Opéra, journal de Roger Nimier, l’hebdomadaire du Théâtre, du Cinéma et des Arts. Douze illustrations dont la publication commence dans le numéro du pour s’échelonner jusqu'au [85].


Gouache, aquarelle et mine de plomb


Expositions



Distinction


Médaille de vermeil attribuée par la mairie de Paris en 1982 pour l’ensemble de son œuvre et son rayonnement culturel à l’étranger[93],[94].


Collections publiques



Achats de l’État



Acquisitions de la Bibliothèque nationale de France



Citations


L'atelier de Jean-Denis Maillart aussi étrange que fascinant est un atelier où éclate à même le mur une grande esquisse de Jean Cocteau et ['Antinoüs de Praxitèle portant les ailes de l’Archange de Sodome et Gomorrhe conçu par Christian Bérard. L'artiste, qui comme la Rose de Rainer Maria Rilke a semé aux quatre coins du monde ses pétales depuis qu'il exerce le dur métier de l'apparence a reçu comme la foudre l'hommage que lui a rendu Paul Valéry en lui écrivant : "J'ai coutume - ou la manie - de dire : le peintre cherche la peinture ; parole profonde que je n'ai pas le loisir — peut-être les moyens — d'expliquer. Mais je crois bien, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvé." Le piège ou la trappe de Valéry aurait pu se refermer sur la longue route de la vie de Maillart, et j'en puis témoigner, mais Jean-Denis Maillart cherche encore l’appréhension du réel, l’incarnation des chairs, la profondeur de l'œil et la projection du ciel sur la terre.

À contre-courant, son œuvre plaide pour l'intégrité du visage de l'homme. L’artiste a refusé d'entrer dans le jeu des grandes destructions de l’art contemporain, où les visages et les corps humains sont déchiquetés, morcelés, insultés.Il croit, solitaire, à l'éminente dignité de l'amour et de la beauté, qui sont les luxes de la vie. Il restera toujours aussi attentif à la fragilité, aux faiblesses de la forme écrasée par ce monde inhumain où nous sommes entrés à reculons.Les Anges Oniriques de la Chapelle de Blonville, le Bateau Ivre illustrant le poème de Rimbaud, le jeu de cartes, les bijoux, les maquettes de théâtre, les portraits, sur les cimaises du monde entier, ne pourront que grandir avec le temps et témoignent que Jean-Denis Maillart n'a cessé de peindre à travers tant de frères humains qui après nous vivront, avec une seule arme, la sienne. Jean-François Noël[105].

B. Duplessis, in « Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concret », Connaissance des Hommes, mars-, no 119, écrit :

«  C'est par son art du portrait que Jean-Denis Maillart marqua le plus son époque car il est un des rares à avoir représenté avec autant d'heureuse inspiration le visage de ceux qu’il a voulu peindre ou qui lui ont demandé de fixer leurs traits pour longtemps. Il a reconnu d'ailleurs : « J'ai toujours été fasciné par le visage humain », ajoutant – et c'est révélateur : « Lorsque j'écris un visage, j'assouvis un désir ». Les mains ont aussi pour lui une très grande importance : « La main accuse ce que le visage peut ou veut masquer. »[106]. »


Publications



Annexes



Bibliographie



Liens externes



Notes et références


  1. Extrait des minutes des actes de naissance du 8e arrondissement de Paris, année 1913.
  2. Roger Maillart ( Paris 1873-1915 Rieux).Élève de son père Diogène Maillart et de Jules-Élie Delaunay aux Beaux-arts de 1893 à 1898, il y fut logiste chaque année et pour finir, PremierPrix de Paysage Jauvin d'Attainville 1898.L'atelier d'Édouard Detaille lui était familier, d'où nette influence dans les toiles qu'il exposait régulièrement au Salon des Artistes français. Professeur à l'école Arago de Paris. Voir
  3. Voir
  4. Acte de mariage du , mairie du 14e arrondissement de Paris.
  5. Gérard Schurr - Pierre Cabanne, Les petits Maitres de la Peinture 1820-1920, Paris, Les Éditions de l'Amateur, , 175 p. (ISBN 2-85917-006-5), Volume III, p. 134, illustration p. 109.
  6. Annuaire de Sainte-Croix-de-Neuily.
  7. Point de vue Images du Monde N° 34 du 27 janvier 1949
  8. Madame Marguerite, "première" chez Patou, devenue LA technicienne de Christian Dior, son alter ego.
  9. Whos is who in France.
  10. Catalogue Bnf, Mornand, Pierre.
  11. Kandinsky-Pompidou, Mornand.
  12. Jean-Denis Maillart Esquisse d'un portrait de Laure Albin-Guillot 2016, p. 13.
  13. Annick Lionel-Marie, Alain Sayag, Collection de photographies du musée national d'Art moderne, 1905-1948, 1996, p. 28.
  14. « Les Expositions », Beaux-Arts, no 21, .
  15. « Les arts. Nos Peintres », Le Matin, télégrammes de la nuit, .
  16. Annonce exposition Maillart-Guillot, galerie des Jacobins, Le Journal, .
  17. hprints
  18. « Les Chapeaux de printemps », L’Art et la Mode, no 2683, .
  19. « Turban de Sygur », L’Art et la Mode, n°2685, .
  20. WorlCatalogue.
  21. Abe books.
  22. Actuellement dénommé styliste.
  23. Les couturiers de renom sur collections.vam.ac.uk.
  24. Éditeur : H.M. Stationery Office, 1964, 141 pages.
  25. Jean Patou , Robe du soir de Jean Patou en jersey gris argent, photographie de Laure Albin-Guillot (1879-1962), photographe , Note(s) : Au dos, titre, date et mentions ms. : « Jean Denis Maillart modéliste » (BNF 40480563).
  26. Fernand Xau, « De la Silhouette de mode à la toile de maître », Le Journal, (lire en ligne).
  27. Comoedia,  : « Le peintre Luigi Corbellini peignait avec Jean Denis Maillart lors de cet épisode pictural à la campagne. Une toile Maillart à cette exposition Pascaud représentait les deux femmes de peintres, Jacqueline M. et Nicole C., se reposant couchées dans l'herbe en jupe de couleur. » (Comoedia, en ligne sur Gallica).
  28. France Europe,  : « L'extrême facilité avec laquelle Jean-Denis Maillart semble avoir toujours manié le pinceau devait, les relations mondaines aidant, en faire un brillant portraitiste. La verve, le brio, l'éclat, un certain don de coloriste, toutes qualités appréciées du public mais superficielles, étaient son apanage. Il faut lui savoir gré d'avoir bien voulu considérer, malgré le succès qui le guettait, que la Peinture est autre chose qu'un art aussi factice. Il faut encore le féliciter de n'avoir pas la prétention, en 1942, de redécouvrir Cézanne. Dans cette exposition, on trouvera de jolies recherches d'harmonies tel “Nuage” dans un ciel gris témoigne d'une belle sensibilité rétinienne ; telle petite “Étude de poire” possède de réelles qualités picturales ; plusieurs figures de femmes, deux amies couchées couchées sur l'herbe, sont d'un coloriste subtil qui aurait peut-être un peu trop regardé par-dessus l'épaule travailler Corbellini. ».
  29. Laure Albin-Guillot a juxtaposé en montage le fac-similé de cette dédicace sous un des portraits photographique réalisés par elle de l’écrivain ; sous-verre exposé en mai 2013 au Musée du Jeu de Paume, Paris (cf. « L'Enjeu classique - Laure Albin-Guillot » sur jeudepaume.org).
  30. Salon des Tuileries, 20e exposition, Palais de Tokyo, catalogue de l’exposition, p. 54 ; Beaux-Arts, .
  31. Salon des Tuileries, 23e exposition, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, catalogue de l’exposition, p. 52.
  32. Étude pour la danse, vers 1940, huile sur toile, 100 × 60 cm, achat à l’artiste en 1946 par le Fonds national d’art contemporain, inv. FNAC 19515. En dépôt depuis le à l'Assemblée nationale à Paris. Centre national des arts plastiques (CNAP).
  33. catalogue du 55e Salon des indépendants sur Gallica.
  34. Serge Lemoine, François Morellet : dessins, Musée de Grenoble, , p. 47.
  35. Artwiki.
  36. Fiche RKD, Jean-Denis Maillart.
  37. (en) Hassan Hassan, « Turkey and England Illustrations », dans In the House of Muhammad Ali, A Family Album, 1805-1952, Cairo, The American University in Cairo Press, (ISBN 9781617972416, lire en ligne), p. 46.
  38. Alif Art Galeri, Nişantaşı - İstanbul.
  39. Artnet.
  40. Centre des monuments Nationaux, photographies, Séeberger frères.
  41. Barbara, sur artnet.
  42. QUINIO/Gamma-Rapho via Getty Images.
  43. Nadeaus auction.
  44. Yves Gérard, « Quand « les grands » se font tirer le portrait », Point de vue Images du monde, , p. 54-55.
  45. Fresques de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption de Blonville-sur-Mer.
  46. Chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption sur 14910.net.
  47. Source : programme du Théâtre national de l'Opéra.
  48. catalogue Bnf
  49. (en) J. P. Wearing, The London Stage 1950-1959: A Calendar of Productions, Performers, and Personnel, p 331.
  50. catalogie BnF.
  51. Quatorze maquettes de costumes de Jean-Denis Maillart, 1958, 14 dessins : aquarelle, pastel ; 47,5 × 32,5 cm, (BNF 45078197)
  52. Source : Critique d’Andrew Porter, The Financial Times, London, 3 septembre 1956.
  53. (en)Dancing Times, 1956, page 10.
  54. Source : programme 1950-1951 du Théâtre de la Scala, contrat du 12 décembre 1950 entre le Théâtre de la Scala et J.-D. Maillart.
  55. Le Courrier musical de France, Numéros 33 à 40, Page 166
  56. Source : contrat entre la Ville de Marseille et J.-D. Maillart, décembre 1961, Le Provençal, 22 janvier 1952.
  57. catalogue BnF
  58. (BNF 32524453)
  59. Catalogue Bnf
  60. catalogue BnF
  61. Notice rédigée d'apr. "Pariscope" : Semaine de Paris 30 sept.-6 oct.1953 (BNF 39498716).
  62. Régie théâtrale, catalogue maquettes
  63. Bulletin de la Bibliothèque nationale, Volumes 3 à 4, p159
  64. Source : programme du spectacle ; lettre de Mme Harry-Baur, directrice du Théâtre des Mathurins du 14 novembre 1958 adressée à J.-D. Maillart, critique de Jean-Jacques Gautier.
  65. Paris-théâtre, Numéros 143 à 154, via GGbooks
  66. Jacqueline Cartier, « Les coulisses des théâtres », L'Aurore,
  67. Réalités: femina-illustration, Numéros 144 à 149 , 1958, page 101
  68. (BNF 39460534).
  69. Jacques Bucquet, « Le Fil à la patte », Le Parisien libéré, .
  70. [image]Ballet Opéra de Paris, 1948, lithographie, de Jean Denis Maillart.
  71. [image]Médiathèque du Festival de Cannes, affiche 1963
  72. [image]Médiathèque Festival de Cannes, affiche 1960, XIIIe festival du film et Floralies
  73. Bon de commande du 15 novembre 1958  de Georges Delbard.
  74. Jean-François Noël (1915-1985) auteur dramatique et d'émissions radio. Scénariste et réalisateur.
  75. Le Parisien libéré, 5 avril 1954.
  76. Programme de la soirée de gala, Nice Matin 20 avril 1954. Nice Matin 20 avril 1954.
  77. « Le film français », Cinémonde,, 12 mai 1963.
  78. lettre du 24 décembre 1948 de Ghislaine Marbeau, secrétaire du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
  79. 21/01/1950 de M. P. Prenot du Cercle Carpeaux adressée à J.-D. Maillart
  80. Programme édité à 250 exemplaires numérotés de 1 à 250 pour la soirée du Cercle Carpeaux le 19 décembre 1949
  81. https://carteret.pagesperso-orange.fr/Histoire%20Vichy.htm
  82. Le Bateau ivre d’Arthur Rimbaud, vingt feuillets libres non chiffrés illustrés de onze planches composées et dessinées sur pierre par Jean-Denis Maillart, tirées format in-folio 34 × 43,5 cm sur les presses de Maurice Darantière, Paris, Éditions du Raisin, 1944 (BNF 32572560)).
  83. « Les Trésors du Monde » cinq burins précédant un texte Des trésors légendaires à la banque moderne, éd. Crédit lyonnais, 1950, 5000 ex. 38 × 28 cm (BNF 40379662).
  84. Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spécialement composée et gravée pour la Banque française du commerce extérieur, tirée sur les presses du maître taille-doucier Pierre Thirot, typographie composée par Charles Peignot à Paris, 19500. Sources : correspondance de Jacques Belin 1899-1961 (président de la BFCE, directeur général de la Banque de France, professeur à l'Institut de sciences politiques de Paris), laquelle indique que la première épreuve lui a été remise fin (lettre du [réf. nécessaire]) et la planche elle-même à la mi-[réf. nécessaire], et lettre du , révélant aussi que le cuivre offert à la Banque par J.-D. Maillart « fait l’admiration de mes visiteurs », lettre J. Belin du [réf. nécessaire].
  85. Source : lettre du journal Opéra du , confiant à J.-D. Maillart le soin d'illustrer le roman d'Henry de Montherlant, L'Histoire d'amour de la rose de sable, à paraître dans leur hebdomadaire.
  86. Maxence van der Meersch (préf. Armand Lanoux), L’Empreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune, illustrations de Jean-Denis Maillart, Paris, Club des amis du livre, , 460 p.(BNF 33206877).
  87. Bibliographie de la France, Au Cercle de la Librairie, (lire en ligne), p.122.
  88. Source : Convention entre Odiot S.A. et Jean-Denis Maillart du [réf. nécessaire].
  89. (en)Dxpo-Playing cards, Deck of the month, .
  90. Beaux-Arts Magazine, , no 21.
  91. Le Journal, , Gallica, BnF.
  92. « Les expositions », Journal de Monaco, , p. 787.
  93. Who's who France, 2000-2001, Maillart Jean-Denis.
  94. (en) « Jean-Denis Maillart », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit , sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
  95. mabfaap.sismu.com.br
  96. Reproduit dans le catalogue de la donation.
  97. Le Beau Masque, de Jean-Claude Pascal, éditeur, Robert Laffont, 1986, (ISBN 978-2-2211-7772-3), Chapitre VI.
  98. Museums.fivecolleges.edu.
  99. (en) Sidney Jowers et John Cavanagh, Theatrical costume, Masks, Make-up and Wigs a bibliography ans iconography., Routledge London and Newyork, Motley Pesss Romsey, , p14 (fl 1951) n°1495
  100. Parmi eux,onze de sa main sont attribués à une autre styliste de la Maison.
  101. Accession number E.22196-1957 Victoria and Albert Museum Londres.
  102. Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1958
  103. Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6841, 1949
  104. Archives nationales, Base Arcade, Cote F/21/6934, 1953
  105. Préface catalogue exposition galerie Le Triskèle, 23 rue de Fleurus, 75006 Paris, mai-juin 1981.
  106. B. Duplessis, « Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concret », Connaissance des Hommes, mars-avril 1987 n°119.
  107. À la demande de Philippe de Chaunac à l’occasion de la rénovation des lieux de cure.
  108. François Billaut, « Les Gènes du talent », Point de vue Images du monde, , p. 26-27-28-29.
  109. Maurice Zalewski, « La Duchesse Diane au milieu des artistes », Point de vue Images du monde, , p. 6-7.
  110. « Sous la haute présidence de la Comtesse de Paris, le vernissage de Jean-Denis Maillart », La Fête à Paris, du 11 mai au 17 mai 1977, p. 10-11.
  111. Alfred Edwards, « Nos Peintres », Le Matin, .
  112. « Jeunes Artistes », Plaisir de France, , p. 22-23.
  113. Numéros 286 à 298, p. 596.



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