Élève de Jules Frédéric Le Goff[2], disciple de Maximilien Luce[3], il expose à Lyon dès 1893 et présente à la Rétrospective du Salon des indépendants de 1926 les toiles Nature morte à l'éventail, Japonaiseries, Vue sur Morangle, Le Plateau du Fresnoy, Le Yucca et Journée orageuse. Il prend part aussi aux Indépendants en 1928 et 1929. Au Salon d'automne de 1928, il expose les toiles L'Ile verte et Montée de Volvent[4].
Bibliographie
René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p.408
Bénézit, 1976
Élisabeth Hardouin-Fugier, Étienne Grafe, La peinture lyonnaise au XIXe siècle, 1995, p.299
Notes et références
Mention manuscrite sur l'acte de naissance.
Élisabeth Hardouin-Fugier, Étienne Grafe, La peinture lyonnaise au XIXe siècle, 1995, p.299
Élisabeth Hardouin-Fugier, Françoise Dupuis-Testenoire, Les peintres de natures mortes en France au XIXe siècle, 1998, p.296
René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p.408
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