Jean Christian Neuberth, né en à Paris, et mort le à Chantilly, est un peintre français.
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L'éducation de sa mère, professeur de français au lycée Lakanal et claveciniste, et de son père, premier violon des concerts Colonne, soliste de viola alta, explique l'orientation première de Jean Christian Neuberth pour la musique et le jazz en particulier. Sa famille quitte Paris pour s'installer à Bourg-la-Reine dans un petit pavillon avec jardin.
Neuberth est aviateur militaire et acrobate parachutiste. Il s'occupe aussi de théâtre. En 1942, il fait partie d'un orchestre symphonique, est pianiste de bar, veilleur de nuit, speaker à la radio de Montpellier, où il vit. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale il rencontre puis épouse en secondes noces Régine Lacroix-Neuberth[1].
Dans les années 1930, il avait fait la connaissance du peintre abstrait Henri-Jean Closon (1888-1975), qui l'initia à la peinture. Dès 1937, il participe à quelques expositions d'art abstrait en France. Il ne se consacre entièrement à la peinture qu'après 1942. En 1949, avec Francis Bott et Michel Seuphor, il organise une exposition d'art abstrait au musée de Nîmes. À partir de 1950, il participe au Salon des réalités nouvelles à Paris. En 1950, le musée de Montpellier lui consacre une exposition rétrospective personnelle. Il n'exposera plus avant 1993 à Paris.
Au long de sa carrière, ses compositions abstraites relèvent de plusieurs manières. Dans un premier temps, parfois une arabesque ininterrompue laisse sa trace entremêlée sur la surface de la toile, comme la nostalgie des anciennes évolutions dans le ciel[pasclair]. Ensuite, il a surtout utilisé la gouache pour des effets de matière, moins aériens et hors gestualité, visant plutôt à une contemplation rêveuse.
Au cours des années 1970, il délaisse la gouache pour s'orienter vers le dessin et les collages.
Malgré plusieurs accidents de santé (dont une hémiplégie), il n'abandonna jamais ses travaux artistiques jusqu'à sa mort en 1996.
«Ses dessins à la plume, d'une parfaite rigueur, rappellent les graphismes poétiques de son ami Michel Seuphor.»
Michel Seuphor, Dictionnaire de la Peinture Abstraite, 1957, [«[…] Il reprend ses études avec Closon en 1941 […] se consacre entièrement à la peinture depuis 1942 […] Ses compositions abstraites relèvent de plusieurs manières. parfois une arabesque ininterrompue sur la surface de la toile comme la nostalgie des anciennes évolutions dans le ciel […]»]
Dictionnaire Bénézit, 1976, [«Ayant fait la connaissance de Closon, l'un des premiers peintres abstraits français, celui-ci l'initia à la peinture. Il participa, depuis 1937, aux rares expositions d'art abstrait organisées en France. Il se consacra entièrement à la peinture qu'après 1912. En 1949, avec Francis Bott et Michel Seuphor, organisa une exposition d'art abstrait, au musée de Nîmes.»]
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