Jean Sobieski a joué dans des westerns spaghetti et plusieurs films français.
Il vécut une histoire d'amour pendant un peu moins de deux ans avec la chanteuse française Dalida entre 1961 et 1963 (elle quitta pour lui Lucien Morisse, son mari et pygmalion), puis épousa Olga Georges-Picot en 1966[1], pour en divorcer deux ans après[1],[2].
Il abandonne son métier de comédien et commence une carrière d'artiste peintre, expose dans les années 1970-1980 à la galerie Iris-Clerc, à Paris «group show», et est également représenté par la galerie Louise-Jeanneret, à Genève.
Couronné par un vif succès, il part aux États-Unis, dans les années 1980.
En plein cœur de Wall Street, c'est un second choc; le monde de l'argent, le jeu à la baisse et à la hausse, la puissance monétaire qui détruit les paysages, l'informatique. Tel un kaléidoscope, Sobieski interprète ce champ panoramique par le «mouvement Virus». À partir des courbes du système financier, il joue avec les intrusions, les parallèles, car «la vie a beaucoup d'espace parallèles». Sa vie aux États-Unis est riche de rencontres autant dans le milieu de la peinture, que cinématographique, de Los Angeles à New York; côtoyant autant les acteurs hollywoodiens que les grandes figures de l'art, il représente sur certaines toiles, ces fusions et ces paradoxes.[Interprétation personnelle?]
Il vit ainsi trente ans aux États-Unis, où il fait sa vie avec une Américaine, Elizabeth Salomon, une productrice et scénariste de cinéma avec qui il a deux enfants, Robert et Leelee Sobieski.
L'envie de retourner à ses origines le pousse à retourner vivre en Camargue, où il continuera son travail de création dans son propre atelier.
Filmographie
Cinéma
1963: Strip-tease de Jacques Poitrenaud: Jean-Loup
1965: Évariste Galois d'Alexandre Astruc: le tireur d'élite
1965: Les Chiens dans la nuit de Willy Rozier
1966: La Sentinelle endormie de Jean Dréville: Nicolas
1968: Temptation de Lamberto Benvenuti
1968: La Loi des colts (E venne il tempo di uccidere) d'Enzo Dell'Aquila: adjoint Burt
1968: La Mort a pondu un œuf (La morte ha fatto l'uovo) de Giulio Questi: Mondaini
1968: Les Russes ne boiront pas de Coca-Cola (Italian Secret Service) de Luigi Comencini: Edward Stevens
1968: Le Pacha de Georges Lautner (non crédité au générique, s'il a participé, il interprétait Léon de Lyon, frère de Nathalie, joué par Henri DEUS)
1969: Perversion Story (Una sull'altra) de Lucio Fulci: Larry
1969: Playgirl 70 de Federico Chentrens
1970: Dernier domicile connu de José Giovanni: Aden
1975: Perverse Jeunesse (Amore mio spogliati, che poi ti spiego!) de Fabio Pittorru & Renzo Ragazzi
Télévision
1964: La Cousine Bette de Yves-André Hubert, d'après Honoré de Balzac: le comte Wenceslas Steinbock (téléfilm)
1965: Foncouverte de Robert Guez, série télévisée: Saint Georges
1967: Les Chevaliers du ciel (saison 1): Philippe Larrafieu (série télévisée)
1967: Le Chevalier Des Touches de Claude-Jean Bonnardot, d'après Barbey d'Aurevilly: Des Touches (téléfilm)
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