Joachim-Frédéric Kirstein (ou Joachim-Frédéric Kirstein II, ou Kirstenstein), né le à Strasbourg où il est mort le , est un sculpteur, graveur, orfèvre et ciseleur français[1]. Il est le dernier représentant d'une grande dynastie d'orfèvres strasbourgeois.
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Joachim-Frédéric Kirstein
Portrait de Joachim-Frédéric Kirstein par Charles David Winter.
Élève de son père, Jean-Jacques Kirstein, également orfèvre à Strasbourg, et de Pierre-Jean David d'Angers à l’École des beaux-arts de Paris, Joachim-Frédéric Kirstein parcourt ensuite l’Italie et l’Allemagne[2].
Revenu s’établir à Strasbourg, il obtient, en 1834, deux médailles d’or pour des œuvres sculptées et ciselées[Lesquelles?] et il est aussi médaillé à l’Exposition universelle de 1851 à Londres[2].
Il est inhumé au cimetière Sainte-Hélène de Strasbourg. La stèle en grès rose est ornée d'un portrait en marbre blanc. Au-dessus de l'inscription est gravé l'emblème de son métier: un marteau d'orfèvre et deux poinçons entrecroisés[3].
Œuvre
Sculpture
Parmi les nombreux bustes qu’il produit, on peut distinguer celui du doyen Coze[Lequel ?], professeur à la faculté de médecine de Strasbourg, et les portraits en médaillon du pasteur Oberlin, de Jean Sturm et d’Erwin de Steinbach[2].
Bustes.
Théodore Ratisbonne (esquisse).
François Henri Redslob au Temple Neuf de Strasbourg.
C’est à lui qu'est confiée l’exécution du Monument au prédicateur Isaac Haffner élevé à l’église Saint-Nicolas de Strasbourg. Le médaillon du pasteur strasbourgeois y est surmonté d’un bas-relief qui représente Le Génie de la Religion.[réf.nécessaire]
Orfèvrerie
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Boîte à hosties (1838) par Jacques-Frédéric ou Joachim-Frédéric Kirstein[4].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Jean Favière et Jean-Daniel Ludmann, Artisans strasbourgeois du métal au XVIIIesiècle (catalogue d'exposition), Strasbourg, Palais Rohan, , 50p..
Hans Haug, L'orfèvrerie de Strasbourg dans les collections publiques françaises (tome 22 de l'Inventaire des Collections publiques françaises), Éditions des Musées nationaux, Palais du Louvre, , 225p. (ISBN9782711800742)
(de) Adolf Köper, Die Silberschmiede Kirstein, s. n., (lire en ligne), p.21-28.
Adolphe Le Reboullet, Eugène Seinguerlet et Charles Mehl, Revue alsacienne, t.10, Nancy, Berger-Levrault et Cie, , p.574-575.
Jean-Daniel Ludmann, «Joachim Frédéric Kirstein II (dit Kirsenstein)», Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne, vol.21 «1982-2003», , p.1974 (lire en ligne).
Étienne Martin (dir.), Deux siècles d'orfèvrerie à Strasbourg: XVIIIe-XIXe siècles dans les collections du musée des Arts décoratifs, Musées de Strasbourg, , 304p. (ISBN978-2901833802)
Louis Schneegans, Jacques Frédéric Kirstein, Silbermann G., , 16p..
Jacques Kugel (éd.), Le Siècle d'or de l'orfèvrerie de Strasbourg. Exposition au profit de la collection d'orfèvrerie des Musées de Strasbourg à Paris chez Jacques Kugel, du 10 au 31 octobre 1964, , 107p..
Charles Winter, Album Kirstein. Ciselures de Jacques Frédéric Kirstein père. Sculptures de Joachim Frédéric Kirstein fils. Photographiées, Silbermann G., , 14p..
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