art.wikisort.org - Artiste

Search / Calendar

Johannes Grenzfurthner (en allemand : [joˈhanəs ˈgrɛntsfʊɐ̯tnɐ], né en 1975 à Vienne) est un artiste, réalisateur, acteur, conservateur, metteur en scène, interprète et conférencier autrichien. Grenzfurther est le fondateur, concepteur et directeur artistique de "monochrom", un groupe international d'art et de théorie. La majeure partie de ses œuvres sont nommées monochrom. Grenzfurther est un fervent chercheur dans le domaine des cultures subversives et marginales, en lien par exemple avec les thématiques de la sexualité et de la technologie[1],[2], et l'un des fondateurs du "technohédonisme" (voir aussi: barbots).

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

La mise en forme de cet article est à améliorer ().

La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».

Comment faire ?

Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion.

  • Les titres sont pré-formatés par le logiciel. Ils ne sont ni en capitales, ni en gras.
  • Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
  • Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
  • L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
  • Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
  • Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
  • Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil «  Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
  • Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
  • Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
  • Insérer une infobox (cadre d'informations à droite) n'est pas obligatoire pour parachever la mise en page.

Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification.

Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article.

Johannes Grenzfurthner
Johannes Grenzfurthner au Museumsquartier, 2011.
Naissance

Vienne, Autriche
Nationalité
Autrichien
Activité
artiste, réalisateur, acteur, conservateur, metteur en scène, interprète, conférencier
Signature

Le magazine Boing Boing a qualifié Grenzfurthner de "leitnerd"[3], un jeu de mots sur le terme allemand Leitkultur, ce qui évoque de façon ironique le rôle de Grenzfurthner dans la culture nerd/hacker/artistique.


Carrière


Au début des années 1990, Grenzfurthner était membre de plusieurs forums BBS[3]. Grenzfurther utilisa alors ses relations cultivées en ligne pour créer monochrom, un fanzine ou magazine alternatif traitant d'art, de technologie et des cultures subversives. Le but était pour lui de réagir au conservatisme qui émergeait dans les cultures développées en ligne au début des années 1990[4], et de combiner son bagage politique assemblé auprès des punks autrichiens et dans le mouvement antifa, avec une discussion sur les nouvelles technologies et les cultures qu'elle créent[5]. La revue montrait des interviews et essais, de Bruce Sterling, HR Giger, Eric Drexler, Terry Pratchett ou Bob Black[6], par exemple, avec une mise en page expérimentale[7]. En 1995, le groupe décida de traiter des nouvelles pratiques artistiques[8],[9] et commença à expérimenter avec différents supports : les jeux vidéo, robots, marionnettes, comédies musicales, courts-métrages et canulars[10],[11], les conférences et l'activisme en ligne, que Grenzfurthner appelle « piratage urbain » ou plus spécifiquement : « piratage contextuel », terme inventé Grenzfurthner[12].

Le piratage contextuel confère les objectifs des hackers et leurs méthodes au réseau de relations sociales dans lesquels les productions artistiques ont lieu, et duquel elles dépendent. De façon métaphorique, ces relations comportent elle aussi un code source. Les programmes s’exécutent d'eux-mêmes, et nos interactions sont structurées par une interface utilisateur. Lorsque nous nous pensons comme un espace, une niche, une scène, une sous-culture ou un média ou comme des fonctions de pratiques politiques, nous avons la possibilité de le modifier et de le « recoder », en déconstruisant les relations de pouvoirs afin de nous émanciper de nos compulsions et des directives préfabriquées[13].

Le groupe est connu pour son travail sur différentes pratiques artistiques, différents supports et formats de divertissement. Grenzfurthner appelle cela "chercher les meilleurs outils de destructions massives d'une idée"[14].


Conférences et festivals


Grenzfurthner, conférencier d'honneur au symposium Paraflows, 2012.
Grenzfurthner, conférencier d'honneur au symposium "Paraflows", 2012.

Grenzfurthner dirige le festival Arse Elektronika[15],[16] à San Francisco (depuis 2007), une série de conférences et d'anthologies académiques et artistiques annuelle[17] axée sur la sexualité et la technologie. La première conférence de cette série a été animée par Grenzfurthner en 2007 en réponse aux questions posées par l'impact de la sexualité sur les innovations technologiques et l'adoption.

Grenzfurthner est l'un des organisateurs de la "Roboexotica"[18], un festival international pour Cocktails-Robotics (depuis 2002) qui invite les chercheurs et artistes à construire des machines qui servent ou mélangent des cocktails. V. Vale a évoqué "Roboexotica" comme "une tentative ironique de critiquer le technotriomphalisme et de disséquer les engouements technologiques."

Grenzfurthner dirige Hedonistika, un festival axé sur la technologie alimentaire artistique. La première édition a été présentée à Montréal à la "Biennale internationale d'art numérique" de 2014[19]. La deuxième édition a été présentée à Holon, près de Tel Aviv, au "Festival Print Screen"[20].

Grenzfurthner et Matt Winston parlent de Stan Winston et les effets spéciaux (Traceroute, 2016)
Grenzfurthner et Matt Winston parlent de Stan Winston et les effets spéciaux ("Traceroute", 2016)

Travaux théâtraux et performances artistiques


Grenzfurthner a écrit et mis en scène des pièces de théâtre[21],[22],[23],[24], des performances (par exemple Eignblunzn) et écrit des pièces artistiques interventionnistes[25].


Films


Grenzfurther a écrit et réalisé des courts métrages[26] ; il est le PDG d'une compagnie de production de films nommée monochrom Propulsion Systems[27]. Il est membre de la guilde des réalisateurs autrichiens[28] et de l'association des créateurs de films documentaires autrichiens[29]. Le premier film qu'il a réalisé était une comédie indépendante de fantaisie, Die Gstettensaga: The Rise of Echsenfriedl[30],[31] (2014). Le premier documentaire de Grenzfurther était Traceroute[32] (2016), suivi par Glossary of Broken Dreams[33] (2018). En 2021, il a présenté son film d'horreur Masking Threshold au Fantastic Fest à Austin.

Grenzfurther a été impliqué dans la création de plusieurs longs métrages (par exemple Sierra Zulu[34],[35]). Grenzfurthner et Juliana Neuhuber ont coréalisé la comédie de science-fiction à sortir, Je Suis Auto (qui met en vedette Chase Masterson)[36],[37].

Grenzfurthner et Pedobear à ROFLcon 2010.
Grenzfurthner et Pedobear à ROFLcon 2010.

Travaux universitaires, écrits académiques et conférences


Grenzfurthner anime des conférences dans les écoles d'arts[38],[39], symposiums[40],[41] et événements politiques[42], enseigne dans les universités[43],[44],[45], en plus de diriger des travaux d'étudiants[46],[47].

Il a publié des livres, des essais et d’articles sur les arts contemporains, les processus de communication et la philosophie, dont Mind and Matter: Comparative Approaches Towards Complexity, Do androids sleep with electric sheep?, Of Intercourse and Intracourse: Sexuality, Biomodification and the Techno-Social Sphere and Pr0nnovation?: Pornography and Technological Innovation[48],[49],[50].

Grenzfurthner a publié le pamphlet controversé "Hacking the Spaces" qui traite des tendances exclusionnistes du mouvement des hackerspaces. Grenzfurther a appuyé cette critique lors de ses conférences au "Hackers on Planet Earth" de 2012 et 2014 dans la ville de New York[51]

Grenzfurthner agit comme officiel CDC comme un dans la propagation d'un virus mit en scène aux Art Basel Miami Beach 2005.
Grenzfurthner agit comme officiel CDC comme un dans la propagation d'un virus mit en scène aux Art Basel Miami Beach 2005.

Spectacle et comédie


Le travail de Grenzfurthner a pris un tournant comique, qu'il a eu l'occasion de représenter dans plusieurs salles, par exemple le Rabenhof Theater[52]. Certaines parties de son spectacle comique "Schicksalsjahre eines Nerds" constituent la base de son documentaire Traceroute (2016). Grenzfurther est présentateur et maître de cérémonie lors de divers événements dans ce domaine[53],[54], et artiste invité dans des événements comme le "Goldenes Brett". Grenzfurthner a eu des rôles principaux et secondaires dans plusieurs pièces de théâtre[55],[56]. Il est acteur dans le long métrage d'Andi Haller, Zero Crash[57] et le long-métrage de Michael J. Epstein et de Sophia Cacciola, Clickbait[58]. Il joue l'un des deux rôles principaux dans son propre film, Je Suis Auto.


Activités militantes


Grenzfurthner était l'un des acteurs principaux du développement de "netznetz", un nouveau de type de système de financement basé sur le soutien de la communauté à la culture et l'art du net, en lien avec le département de la culture du gouvernement de la ville de Vienne. Il est à l'origine de la communauté "Hackbus"[59],[60],[61].

Avec Florian Hufsky, Leo Findeisen et Juxi Leitner, Grenzfurthner a coorganisé la première conférence internationale des partis pirates[62],[63].


Activités commerciales


Grenzfurthner a conceptualisé et co-créé une installation robotique pour promouvoir le produit d'une société de sextoys, Bad Dragon[64]. Il a créé une société artistique de publicité sur internet pour Cheetos[65].


Vie personnelle


Grenzfurthner sur la couverture de Soviet Unterzoegersdorf: Secteur 2 (2009).
Grenzfurthner sur la couverture de Soviet Unterzoegersdorf: Secteur 2 (2009).

Grenzfurthner vit et travaille à Vienne. Grenzfurther a grandi à Stockerau, dans une zone rurale du sud de l'Autriche[3] et il en parle dans son spectacle comique "Schicksalsjahre eines Nerds" (2014) et son film documentaire semi-autobiographique Traceroute (2016).

Si je n'avais pas grandi à Stockerau, dans le sud du sud de l’Autriche, je ne serais pas ce que je suis aujourd'hui. L'élément déclencheur qui fait que l'on devient nerd, c'est la différence. La volonté d'être compris, de trouver des opportunités de partager des expériences, de ne pas être laissé seul avec nos intérêts bizarres. En même temps, celui-ci dérive presque d'un plaisir pervers de s'apitoyer sur ces défauts. Les nerds adorent les défauts ; ceux des autres, mais aussi les leurs. Les nerds sont des explorateurs, qui adorent se mesurer aux autres et qui rivalise de façon agressive. Et pourtant, l'existence du nerd comprend aussi des éléments occultes, de mystère. La façon dont le pouvoir est exprimé ou axé est importante[66].

Grenzfurthner utilise son histoire personnelle et sa formation comme une source pour son travail. Dans une conversation avec Zebrabutter, il nomme pour exemple sa volonté de gérer sa claustrophobie[67] : c'est ainsi qu'il a débuté une série de performances artistiques où les volontaires pouvaient être enterrés vivants.

Lorsqu'il était enfant, Grenzfurthner a passé beaucoup de temps dans la ferme de ses grands-parents, dans le petit village de Unterzögersdorf (une municipalité cadastrale de Stockerau). Les histoires de ses grands-parents sur les nazis, la deuxième guerre mondiale et l'occupation soviétique dans l'Autriche occupée par des alliés (1945-1955) ont influencé son projet "monochromes Soviet Unterzoegersdorf" sur le long terme[68],[69].


Controverse


Grenzfurthner était l'un des 200 activistes, politiciens et artistes d'Allemagne, de Suisse et d'Autriche (avec cependant un total de seulement 10 noms Autrichiens) dont les noms ont été publiés sur une liste de doxing d'extrême droite publiée sur diverses plateformes en ligne en et [70],[71]. Les créateurs étaient menacés par la liste extrémiste : "#wirkriegeneuchallee" – "Nous vous aurons tous". Grenzfurthner a évoqué cela ouvertement sur des plateformes en ligne et dans des conférences.


Prix (extraits)



Filmographie (longs métrages)



Théâtre (extraits)



Publications



Références


  1. Johannes Grenzfurthner on Kill Screen Magazine: "Stories about orcs and rape: the man behind Arse Elektronika"
  2. Julia Carrie Wong, « Joy Stick: The Tarnished Dreams of Teledildonics' Inventor », sur SF Weekly (consulté le )
  3. "The story of Traceroute, about a Leitnerd's quest", Boing Boing magazine, 2016
  4. "Johannes Grenzfurthner on CRE062 'Monochrom'"
  5. Marc Da Costa, 'intervju med Johannes Grenzfurthner, monochrom, #3', Furtherfield.
  6. « monochrom print »
  7. "monochrom #26–34: Ye Olde Self-Referentiality", Neural, 2010.
  8. Erin Kobayashi, "How to be buried alive", Toronto Star, 2007
  9. Marie Lechner, "", Libération, 2008.
  10. "The Thomann In(ter)vention" av Hadas Emma Kedar
  11. intervju med V. Vale (Pranks! 2)
  12. Context Hacking: Some Examples of How to Mess with Art, the Media System, Law and the Market, O'Reilly ETech 2008, San Diego
  13. « monochrom: CONTEXT HACKING – Essay »
  14. "Finding Your Weapons of Mass Distribution: A Conversation with Context Hacker Johannes Grenzfurthner", Narrative Design, 2015
  15. Silverberg, David (2007)."Sex Meets Tech at Kinky Conference in San Francisco" Digital Journal.
  16. Violet Blue, Special to SF Gate, « Arse Elektronika 2007: Porn and Tech Conference / Violet Blue holds hope for the future of sex, despite the musical condoms », sur SFGate
  17. Jenna Wortham, « Bot Bartenders Sling Drinks at Roboexotica USA », sur WIRED
  18. Justin Page, « Sputnikfest 2012 Event Schedule » [archive du ], sur Laughing Squid
  19. Hedonistika; BIAN 2014
  20. Hedonistika på Print Screen festival 2016
  21. Der Standard, Ronald Pohl: "Das ist der Zuckerbäckerblues"; 2004
  22. Peter Mühlbauer, « Kotze, Sperma und Inventur im Weltraum », sur Telepolis
  23. Kurier: "Steppenrot: Der Sonnenkönig ist runtergefallen"; 2017
  24. « Sex, Crime und ein Halleluja für Hansi », sur Die Presse (consulté le )
  25. « "Protestors" call games industry a "temple of sin," demand repentance », sur Ars Technica
  26. Laughing Squid: "Earthmoving, A Short Film by Monochrom (A Prequel To Sierra Zulu)", 2012
  27. producteur de film "Traceroute", 2016
  28. « Profile Johannes Grenzfurthner », sur Austrian Directors Guild (consulté le )
  29. « Profile Johannes Grenzfurthner », sur Dok.at (consulté le )
  30. "Die Gstettensaga": page web du projet, téléchargement de film
  31. Amy R. Handler, 'Film Threat'; 2014
  32. « Traceroute – Film Threat », sur filmthreat.com (consulté le )
  33. Ana Leorne, « Review: Glossary of Broken Dreams », sur The 405 (consulté le )
  34. « Sierra Zulu »
  35. 'Earthmoving, A Sierra Zulu prequel', 2012
  36. Patrick Dax, « Star Trek Schauspielerin in Wien », sur Futurezone (consulté le )
  37. « FM4 Morning Show of November 24, 2018 », sur FM4, ORF (consulté le )
  38. CCA Montreal, 'Come and Forget, with Johannes Grenzfurthner'; april 2018
  39. Aksioma, Tactics&Practice, Ljubljana 2010
  40. UtopiaFest 2104, Tel Aviv: "Robots in Human Society"
  41. KUPF/Symposion om crowdfunding, Linz; 2012
  42. Linkes Sommercamp, Wagrain; "Context Hacking"; 2014
  43. Biographie académique publiée dans "Kunst, Krise, Subversion"
  44. Biographie académique publiée dans Transcript
  45. Sexual Cultures Conference 2012, Brunel University, UK (Onscenity Research, School of Arts and the School of Social Sciences at Brunel University)
  46. "Keeper of Evil", 2014
  47. Mir, Georg. Michtim: Designing a Pen & Paper Storytelling Game. Graz: FH Joanneum, 2012. p. 1.
  48. « Guerrilla Comm? »
  49. Ingo Vavra, « Geistiges Eigentum und Originalität » (version du 3 août 2016 sur l'Internet Archive)
  50. SF Site: "Do Androids Sleep With Electric Sheep? Critical Perspectives on Sexuality and Pornography in Science and Social Fiction. A review by Paul Graham Raven"
  51. Nicolas Niarchos, « A Print Magazine for Hackers », sur The New Yorker (consulté le )
  52. Dorian Waller, « Pornos und tote Hühner », sur derStandard.at
  53. Elevate Festival 2013, Grenzfurthner a accueilli le gala d'ouverture
  54. IT-Press: "Auszeichnung für innovativste Köpfe Österreichs: Zehn heimische IT-Projekte mit dem Open Minds Award prämiert"; 2017
  55. Kleine Zeitung: "KOMM.ST 1.6 - Gasthäuser werden zum Wald", 2016
  56. Heute.at: "Steppenrot bringt Musical-Schlagabtausch in der Bahnhofskantine"
  57. Zero Crash, site officiel
  58. Starburst Magazine, Clickbait
  59. « Sur la route des hackers évangélistes »
  60. « Compagnons du hacking » (consulté le )
  61. « Mozilla Bildung: Jeder ist ein Lehrer – brand eins online » [archive du ] (consulté le )
  62. Ben Jones:Pirates Gather at First International Pirate Party Conference, torrentfreak, 9 september 2007.
  63. « International Pirate Parties Conference 2007 Wiki » [archive du ], Wiki.pp-international
  64. Philip Steffan, « Wenn Roboter einschenken: 16. Roboexotica in Wien, 27 november 2014 », sur Make
  65. Michael Learmonth, « Frito-Lay Puts Cheetos Brand in Bloggers' Hands », sur Ad Age (consulté le )
  66. Chris Higgins, « Nerds and Annihilation, Q&A with Johannes Grenzfurthner », sur Mental Floss (consulté le )
  67. Thomas Kaestle, « Der Film Glossary of Broken Dreams oder: Im Schlachthaus Zum Goldenen Kalb », sur Zebrabutter (consulté le )
  68. "in soviet unterzoegersdorf, game play you", ERF_, 11 december 2010
  69. FM4: "Kurzbesuch in Sowjet-Unterzögersdorf", 23 juli 2002
  70. Andreas Fritsche, « Rechte Drohliste auf linkes Portal geschmuggelt », sur Neues Deutschland (consulté le )
  71. « Großer Hack und kleinere Drohliste », sur Stopp die Rechten (consulté le )
  72. Die Presse: Die Pioniere des wilden Worldwideweb
  73. gast.at: "COKE LIGHT ART EDITION 2006 – Kultflasche wird zum Kunstobjekt"; May 31, 2006
  74. « Archived copy » [archive du ] (consulté le )

Liens externes


Sur les autres projets Wikimedia :


На других языках


[en] Johannes Grenzfurthner

Johannes Grenzfurthner (German: [joˈhanəs ˈgrɛntsfʊɐ̯tnɐ]; born 1975 in Vienna) is an Austrian artist, filmmaker, writer, actor, curator, theatre director, performer and lecturer. Grenzfurthner is the founder, conceiver and artistic director of monochrom, an international art and theory group. Most of his artworks are labelled monochrom.

[es] Johannes Grenzfurthner

Johannes Grenzfurthner (pronunciación en alemán: /joˈhanəs ˈgrɛntsfʊɐ̯tnɐ/; 13 de junio de 1975, Viena) es un artista, cineasta, actor, curador, director de teatro, intérprete y académico austriaco. Grenzfurther es el fundador, creador y director artístico de monochrom, un grupo internacional de arte y teoría. La mayoría de sus obras son etiquetadas como monochrom.
- [fr] Johannes Grenzfurthner



Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

2019-2025
WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии