Elle étudie l'art au Conseil des arts et manufactures de la Province de Québec situé au Monument national[1] avec Joseph Saint-Charles, Charles Gill et Joseph-Charles Franchère. Elle peint principalement des paysages de Longueuil et Montréal ainsi que des portraits et des natures mortes[2]. L'artiste côtoie Regina Seiden du Groupe de Beaver Hall. Celles-ci exécutent de façon réciproque un portrait en 1915[3] et en 1921[4].
Trépanier, Esther, 1951- et Musée national des beaux-arts du Québec., Femmes artistes du XXe siècle au Québec: œuvres du Musée national des beaux-arts du Québec, Québec, Musée national des beaux-arts du Québec, (ISBN978-2-551-19857-3 et 2-551-19857-7, OCLC657061520, lire en ligne), p.45
Karel, David., Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord: peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, Québec, Musée du Québec, (ISBN2-7637-7235-8 et 978-2-7637-7235-6, OCLC28178086, lire en ligne), p.732
Société d'histoire de Longueuil. et Centre culturel Jacques-Ferron., Rétrospective Judith Sainte-Marie: salle Raymond-Lévesque du Centre culturel Jacques-Ferron les 7, 8 et 9 novembre 2003., Société d'histoire de Longueuil, (ISBN2-920068-12-1 et 978-2-920068-12-4, OCLC297153902, lire en ligne)
Jacques de Roussan, «Longueuil d'avant la banlieue», Perspectives | Dimanche-Matin,
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