Aquafortiste, il obtient une mention honorable au Salon des artistes français en 1895[1].
On lui doit en 1902 un abécédaire dit Alphabet illustré[2].
Il meurt le en son domicile dans le 16e arrondissement de Paris[3], et est inhumé au cimetière de Samois-sur-Seine[4].
Notes et références
René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p.335.
Alain Choppin, Marie-Anne Decouche-Beauchais, Les manuels scolaires en France de 1789 à nos jours, Institut national de recherche pédagogique (France)/Service d'histoire de l'éducation, 1995, p.54.
René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p.335.
Gérald Schurr, Les Petits maîtres de la peinture, valeur de demain, vol. 4, 1979, p.68.
Colette E. Bidon, « Les Visions ésotériques de Jules-Edmond Cuisinier », in Nouvelles de l'estampe no90, , p.11-16, ill. L'œuvre de J.-E. Cuisinier (1857-1917) et son Alphabet illustre (1902).
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