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Katia Santibañez est une artiste multidisciplinaire née à Paris, en France.
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| Naissance | Paris |
|---|---|
| Nationalité |
franco-américaine |
| Activités |
Artiste, photographe, sculptrice, graveuse, peintre |
| Distinctions |
Pollock-Krasner Ames |
Biographie
Formation
Santibañez est née en 1964 à Paris[1]'[2], a étudié la microbiologie et la biochimie avant d'étudier l'art aux Beaux-Arts de Paris de 1985 à 1990, elle quitte Paris en 1990 et s'installe à New York[1]'[3]. Elle a un atelier à New York ainsi que dans la Berkshires ville de Otis , Massachusetts, avec son mari et collègue artiste, James Siena[4]'[3]'[5].
Travail artistique
Ses œuvres témoignent d'une grande variété de médiums (peinture, vidéo, dessin, gravure et photographie )[6]'[7]'[8]'[9]'[10]'[11]'[12]. Son travail a été associé avec une « génération d'artistes new-yorkais obsédés par les motifs » selon Raphael Rubinstein écrit dans le magazine Art News[13]. Certaines de ses peintures ont été acquises par son ami James H. Duffy qui en a fait don au musée Munson-Williams-Proctor Arts Institute à Utica, New York[14]. Elle expose internationalement depuis 1998 et son travail fait partie de collections privées et publiques[3].
La critique Deborah Garwood dans Art Critical Magazine a écrit que « Santibañez organise souvent ses peintures sur un « plan d'image en une série de compartiments rectilignes » pour suggérer « de la fourrure, de l'herbe ou d'autres formes organiques », et que ses « techniques fascinantes ont de grandes réserves d'esprit et de profondeur conceptuelle »[15]. La critique Holly Myers dans le Los Angeles Times a exprimé un sentiment similaire, ajoutant que son travail s'appuie sur plusieurs motifs de base, telles que « des grilles, des rayures et des rangées de vrilles déchiquetées ressemblant à de l'herbe », et que certaines de ses peintures sont « vivement séduisantes et sensuelles »[16]. La critique Nectar Knuckles dans le magazine ARTnews a décrit son art comme structurant « des phénomènes naturels en des mondes kaléidoscopiques »[7]. Keith Shaw dans le Berkshire Edge a suggéré que ses motifs « expriment subtilement une forme naturelle et une conception intellectuelle »[17].
Notes et références
Notes
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Katia Santibañez » (voir la liste des auteurs).
Références
- « Anders Wahlstedt Fine Art opens an exhibition of drawings and works on paper by Katia Santibañez », Art Daily, (consulté le ).
- Phong Bui, « Katia Santibañez with Phong Bui », The Brooklyn Rail, (consulté le ).
- « Correspondents: about our artists », Correspondence Publishing, (consulté le ).
- Todd Maisel, « At Otis church, neighbors lament (not so) joyful noise », Berkshire Eagle, (consulté le ).
- « Ames art projects awarded through state grant funding », Ames Tribune, (consulté le ).
- Brainard Carey, « Katia Santibañez », Museum of Nonvisible Art and WYCBX radio (Yale University), (consulté le ).
- Editors, « Katia Santibañez », Art News, (consulté le ).
- « ARtist », The IMC Lab, (consulté le ).
- « More arts notes », iBerkshires.com, (consulté le ).
- « Lookout a weekly guide to shows you wont want to miss », ARTnews, (consulté le ).
- « Katia Santibañez », sur Artsy.net, (consulté le ).
- « Pamela Salisbury Gallery is proud to present five new exhibitions opening Saturday, July 31 », Hudson Valley 360 magazine, (consulté le ).
- Raphael Rubinstein, « Lori Ellison », Art News, (consulté le ).
- « Munson-Williams Museum of Art receives important bequest from Estate of James H. Duffy », Art Daily, (consulté le ).
- Deborah Garwood, « Katia Santibanez », Art Critical magazine, (consulté le ).
- Holly Myers, « Review: Katia Santibanez at Jancar Gallery », Los Angeles Times, (consulté le ).
- Keith Shaw, « Art Review: ‘X’ marks the spot at Bernay Fine Art: The exhibit highlights how women are an important factor in today’s art scene. Stylistically diverse, pieces freely bounce from representational to non-representational art », The Berkshire Edge, (consulté le ).
Portail de l’art contemporain
На других языках
[en] Katia Santibañez
Katia Santibañez (born May 17, 1964 in Paris) is French-American multidisciplinary abstract artist who works in painting, video, drawing, printmaking and photography.[3][8][9][10][11][1][12] Her work has been associated with a "generation of pattern-obsessed New York artists" according to Raphael Rubinstein writing in Art News.[4] Some of her paintings were acquired by her friend James H. Duffy who donated his collections to the Munson-Williams-Proctor Arts Institute museum in Utica, New York.[13] She has exhibited widely since 1998 and her work is in both private and public collections.[2]- [fr] Katia Santibañez
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