Khalida Safarova (en azéri : Xalidə Ələkbər qızı Səfərova, née le 25 août 1926 à Gandja et morte le 23 décembre 2005 à Bakou) est une peintre azerbaïdjanaise, Artiste du peuple de la RSS d'Azerbaïdjan (1989).
Cet article est orphelin. Moins de trois articles lui sont liés ().
Vous pouvez aider en ajoutant des liens vers [[Khalida Safarova]]
dans les articles relatifs au sujet.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom dans la langue maternelle | |
Nationalités | |
Formation | |
Activité | |
Conjoint |
Mahmud Tagiyev (en) ![]() |
Mouvement | |
---|---|
Genres artistiques | |
Distinctions |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
En 1941-1944, Khalida Safarova étudie à au Collège d'art d'État d'Azerbaïdjan Azim Azimzade, et en 1949-1955, à la faculté d'art de l'Institut national de cinématographie à Moscou.
Khalida Safarova épouse le peintre Mahmud Taguiyev en 1946[1].
Les premiers travaux de diplôme de Khalida Safarova Une lettre du front et les illustrations du poème de Nizami Gandjavi Khosrov et Shirin sont présentés à l'exposition de l'Académie des arts de l'URSS, à Institut national de cinématographie, ainsi qu' aux festivals de cinéma à Prague et à Paris, en 1956.
La place principale dans l'œuvre de Khalida Safarova est occupée par des peintures dans les genres du paysage et de la nature morte. Ses natures mortes incluent Fleur d’automne (1956), Fleurs de printemps (1971), Fleurs de Montmartre (1985), Sur le balcon, Chrysanthèmes, Lilas, Lys, Jonquilles, Fleur de grenade.
L'artiste rend compte de ses visites dans les régions d'Azerbaïdjan lors de la première exposition commune avec Mahmud Taguiyev en 1947 à Bakou. Elle participé à l'exposition avec environ 70 peintures et graphiques, plus de 150 études, paysages et natures mortes. Les œuvres soumises comprennent des œuvres telles que Trois chênes, Avant la pluie, Nature morte dans le jardin, Nature morte dans le vignoble[2].
Des portraits sont également font partie du travail de l'artiste. Ceux-ci incluent Gardien de but, artiste de ballet Leyla Vekilova, peintres Maral Rahmanzade, Mahmud Taguiyev et d'autres. Dans les années 1960 elle fait des compositions à plusieurs figures représentant des matchs de football, de cyclisme, d'aviron. Ses œuvres Gymnastes, Relais, Cycliste (1969), Joueurs de football, Polo sont des exemples traitant du sujet sport[3].
Khalida Safarova créé de nombreuses natures mortes et paysages dans les régions et villages d'Azerbaïdjan. Les œuvres de l'artiste Bouquet de roses, Roses et cyprès, Après la pluie, Avions, Cueilleuse de pommes illustrant la vie du village revêtent une importance particulière. Ses œuvres reflètent la nature d'Absheron, du Karabakh, d'Aghdam et d'autres régions d'Azerbaïdjan. Les paysages de cette série incluent Matin brumeux, Printemps dans le pré, Soleil d’automne, Quand le coton fleurit et d'autres. Son tableau Volez, les pigeons a une place particulière parmi les thèmes de la vie quotidienne. L'artiste crée le triptyque Mon pays dans les années 1970[4].
En 1985, Khalida Safarova voyage en France et décrit les paysages et les plaines de la Seine. L'artiste réalise les œuvres telles que Automne en Provence, Café Arles, Port de Marseille, Côte Marting et bien d'autres. Elle travaille sur des tableaux Paris Notre Dame, Nuit à violettes, Cité dans différentes versions. Certains de ses travaux, réalisés lors de sa visite en France, sont exposés à l'exposition de l'Ambassade de France à Bakou.
Des expositions personnelles de Khalida Safarova ont été organisées à Bakou en 1947 (avec M. Taguiyev au Musée national d'art d'Azerbaïdjan, en 1980 (exposition consacrée au 35e anniversaire de son œuvre), en 1984 et 2002 (à l'ambassade de France), en 1988 à Moscou (en collaboration avec M. Taguiyev).
Au cours des différentes années de sa carrière, les œuvres de l'artiste ont été exposées en Russie, en Turquie, en Roumanie, en Hongrie, en Pologne, en Algérie, en Israël et dans d'autres pays. Ses œuvres sont conservées aux États-Unis, en Allemagne, en Russie, en Turquie, en République tchèque, dans de nombreux musées et collections privées[5].