Ivan Koschmider dit « Koschmider » est un artiste peintre, né en 1942 en Allemagne.
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Ivan Koschmider étudie à l’académie Julian à Paris ainsi qu’à Munich.
Spécialiste de la technique mixte sur papier, Koschmider travaille surtout les noirs. Il a également participé à plusieurs livres d'artiste.
Il a séjourné dans de nombreux pays et continents: France (pendant une vingtaine d’années), Afrique, Inde, États-Unis.
Publications
2007: Pangea Ultima, poèmes de Matthieu Messagier; éditions Collection Mémoires[1], Éric Coisel, Paris; illustrations de Koschmider, 3 exemplaires
février-: S’ombre, composition sonore en 3 parties (durée 30 min 03 s) d'Éric La Casa; Collection Mémoires; pochette CD au format 3 fois 16 × 16 cm; 40 exemplaires numérotés et signés; chaque pochette est enrichie d’une peinture originale de Koschmider
1999: France D’HIER / YESTERDAY’S France, poèmes de Serge Gravronsky imprimés en français et en anglais; Collection Mémoires; papier noir au format 25 × 165 cm, achevé d’imprimer le ; 60 exemplaires numérotés et signés, en forme d’accordéon, sous étui; chaque recueil est enrichi de 2 œuvres originales de Koschmider
: Calcutta; Collection Mémoires; ouvrage entièrement peint par l'artiste; format 18 × 144 cm, limité à 13 exemplaires signés
Expositions & manifestations
Antérieurement à sa collaboration avec Crouzet Samaha Fine Arts, Koschmider a participé à de nombreuses expositions tant personnelles que collectives. Il est également représenté aux États-Unis.
Expositions personnelles
2010: Galerie Orem, Paris, France avec Crouzet Samaha Fine Arts
1997: Studio 22, Anvers, Belgique
1996: Galerie Japonesque, San Francisco, États-Unis - Académie Birla, Calcutta, Inde
1995: Galerie Éloge de l’Ombre, Uzès, France
1994: Festival de Villeneuve-les-Avignons, France - Galerie Japonesque, San Francisco, États-Unis
1993: Galerie Station, Katonah, New York, États-Unis - Galerie Françoise Dufaure, Marseille et Festival de Villeneuve-les-Avignons, France
1990: Galerie Lambert-Rouland, Paris, France et Galerie Françoise Dufaure, Marseille, France
1989: Galerie Danielle Roux, Villeneuve-les-Avignons, France
1985: Centre Culturel Allemand (Marseille, Tunis, Addis Abeba, Nairobi, Hyderabad, Tananarive, Calcutta) et « Dessins dans la ville », FRAC, Marseille, France
1983: Galerie Bernard Paul, Eygalières, France
1982: Galerie Ralph, Paris, France
1980: Galerie Neil Sack, Londres, Royaume-Uni
1979: Galerie Jacob, Bâle, Suisse — Galerie K, Washington, États-Unis
1975: Galerie Schlosshof, Kisslegg, Allemagne
1972: Festival de Villeneuve-les-Avignons, France
Expositions collectives
Fine Art Fair, Luxembourg, avec Crouzet Samaha Fine Arts
Antica Namur, Namur, Belgique, avec Crouzet Samaha Fine Arts
Salon Lineart, Gent, Belgique, avec Crouzet Samaha Fine Arts
Galerie Athanor, Marseille, France
Festival Saint Rémy de Provence, France
Festival d’Avignon, France
Biennale Internationale d’Art, Menton, France
Foire Internationale d’Art, Bâle, Suisse
Biennale de la Jeune Peinture Méditerranéenne, Nice, France
Prix Matisse, 1978
Galerie des Ponchettes, Nice, France
Galerie Municipale, Cannes, France
Galerie Caroline Beltz, Paris, France
Galerie de la Gare, Bonnieux, France
Galerie Station, Katonah, New York, États-Unis
Grenier des Artistes, Paris, France
Galerie Japonesque, San Francisco, États-Unis
Fondation Hebert-d’Uckermann, La Tronche, Grenoble, France
Château d’Alba, France
Commentaires
Sur le travail
« Avec l'œuvre de Koschmider l'espace mental se libère: il y a l'inclusion de l'écart. Cette peinture on ne la regarde plus, on ne la pense plus: on la sent, on la vit. Il n'y a plus de sujet à proprement parler, il n'y a que ces pulsations de matière, ces poussées vers un autre visible de ce qu'il en est de l'être, de l'humain trop humain ou trop bête. Aux représentations succèdent ainsi les mouvements, les vibrations, les ré-agrégations. La peinture inscrit un élémentaire en nous, sa trace reste un geste: on y entre porté par ce qui afflue et fait pression. L'épaisseur du corps adhère à la surface. Dans le genre c'est plus que bien, c'est nécessaire.» — Espace de l'espèce de Jean-Paul Gavard-Perret (maître de conférence et écrivain), 2000
Sur la technique
« Crayon gras, fusain, cire, gouache, papiers banales et sacrés de l'Inde, découpés en lamelles, affiches lacérées, collage que seul l'effleurement du doigt parvient à déceler: "technique mixte", comme on dit aujourd'hui... Mais la "mixture" ne se borne pas à la seule technique dans ces œuvres sur papier où non sans mal l'on pénètre, où l'on s'enfonce et où très vite l'on se perd dans le lacis serré, l'inquiétant labyrinthe, le déroutant fouillis de noires écritures. » — Pierre Brisset, L'Œil, n° 357,
Sur le noir
« Dès lors ordonner ce n'est plus – fatalement – mettre de l'ordre. C'est créer par le mouvement de matière, ce mouvement qui force à ne pas bouger mais qui fait de la peinture de Koschmider non un à-plat mais un bouillonnement. Le noir est une respiration. Il s'acharne vers une lumière, pas n'importe laquelle. Il concentre la lumière de l'ombre pour qu'elle prenne corps, qu'elle vibre d'aube. Non, le noir n'est pas une couleur sans quoi qui creuserait notre peur? Il est sa vibration. En absence des couleurs (ou presque) il porte en lui toutes leurs valeurs qui pourraient être, qui seront plus même qu'elles auraient désiré. » — Jean-Paul Gavard-Perret
Sur l'émotion
« En l'admirant nous sommes émus et, il faut le dire, émerveillés par cette alliance de l'inattendu, d'accord avec le beau et la discipline qui seraient la marque d'un peintre qui poursuit le nouveau au cours des ans. Koschmider s'établit, face à notre émerveillement, maître de son art. » — Serge Gavronsky, poète et traducteur.
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