Il est élève de H. Fuseli et de C. Gessner et en 1808, de l'académie des Beaux-Arts de Vienne[3].
En 1810, il arrive à Rome avec Johann Friedrich Overbeck, Franz Pforr et Johann Konrad Hottinger[3]. Il visite encore Florence et quelques autres villes italiennes et retourne dans sa ville natale en 1813[3]. Le musée de Bâle conserve de lui: Mort de Winkelried à Sempach, et celui de Berne: Bataille de Grandson[3]. Il grave des sujets de genre[3].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
(de) Carl Brun, «Vogel, Ludwig», dans Allgemeine Deutsche Biographie (ADB), vol.40, Leipzig, Duncker & Humblot, , p.116-120
(de) Carl Brun, «Vogel, Georg Ludwig», dans Dictionnaire des Artistes Suisses, vol.3, Frauenfeld Verlag Von Huber & Co., , 582p. (lire en ligne), p.394-396
Emmanuel Bénézit, «Vogel (Ludwig)», dans Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, t.3, Paris, Gründ, , 1160p. (lire en ligne), p.1015
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