Peintre[1], il est membre de l'Association Marocaine des Arts Plastiques (AMAP)[3]. Il est invité à réaliser des peintures murales à Asilah en 1978[4]. Son travail est régulièrement publié dans Le Monde Diplomatique[2]. Pendant ce temps, Revue Noire publie un numéro spécial sur son travail en 1996[2]. Mohamed Kacimi reçoit le Grand Prix du Mérite du roi du Maroc en 2000[3].
Militant des droits de l'Homme, il expose son travail pour l'Organisation Marocaine des Droits Humains (OMDH) en 2002[2]. En septembre 2003, il écrit une lettre ouverte à Sidiki Kaba, le président de la Fédération internationale pour les droits humains, appelant à la libération du journaliste Tayseer Allouni[2].
Mort et héritage
Mohamed Kacimi meurt d'un coma provoqué par l'hépatite C le 27 octobre 2003 à Rabat[1],[2]. Peu de temps après sa mort, le ministère marocain de la Culture le qualifie d'«ambassadeur de la peinture marocaine tout au long de sa vie»[3]. En 2005, le ministère inaugure la Galerie Mohamed Kacini à Fès[5]. En 2007, certaines de ses œuvres sont vendues aux enchères par Christie's, une peinture atteint 67 000 $ US[6].
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