Monique Amélie Cras, née à Brest le et morte à Paris 7e le [2], est une peintre et affichiste française.
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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Monique Amélie Pierre Marie Cras |
Nationalité | |
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Activités | |
Père |
Archives conservées par |
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 2871, 1 pièce, -)[1] ![]() |
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Fille du compositeur Jean Cras, élève de Jean-Paul Laurens et Louis Roger à l'École nationale supérieure des beaux-arts, elle expose dès 1926 au Salon des artistes français et, en 1928 au Salon d'automne dont elle est membre propose la toile Ecce homo. Elle prend part aussi au Salon des indépendants[3].
Elle remporte de nombreux prix en France et à l’étranger : prix Chenavrard, deux fois le prix Gay-Lebrun, prix Dulac, prix Henner, plusieurs fois le prix Taylor et, entre autres, le prix des gouverneurs pour l’Afrique Occidentale Française. Ayant reçu une bourse d’étude, elle voyage en Afrique du Nord et visite ainsi le Maroc, l’Algérie et la Tunisie. Pensionnaire de la Casa de Velázquez, elle retourne en Afrique et voyage au Sénégal, en Mauritanie et au Niger, ce qui la fait considérer comme une artiste africaniste[4].
En outre, elle produit des commandes pour l’État Français, la Ville de Paris, la Nouvelle-Calédonie, l'Outre-mer, etc.
En parallèle, Monique Cras consacre une partie de ses travaux à la mémoire de son père, notamment sur sa correspondance pour la rendre publique.
Décédée le , elle est inhumée à Brest le [5].