Robert Saint-Cricq, né Robert Sabatier à Paris, dans le 20e arrondissement, le et mort dans le même arrondissement le [1],[2], est un peintre et sculpteur français.
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Robert Saint-Cricq commence par pratiquer la peinture à l'huile, puis, après s'être découvert une importante allergie à celle-ci, se tourne vers le collage de papier, puis des objets de récupération.
Saint-Cricq recueille des débris, des objets usés par le temps et les hommes, jetés ou proposés dans les bric-à-brac des foires à la brocante : sculptures délabrées, poupées disloquées, roues et cibles percées de trous, personnages découpés, morceaux de bois, morceaux de métal, vieux outils et une infinité d'autres objets tout aussi insolites pour composer son univers. Il rassemble les objets en fonction de leur correspondance cachée mais décelée par sa sensibilité d'artiste. Ensuite, il les fixe avec des pointes, les rehausse ou les recouvre quelquefois de peinture. Parfois un dessin complète un objet, non sans humour. Les œuvres ainsi créées, véritables icônes chargées de poésie intimiste, s'ouvrent sur un monde onirique participant au merveilleux de l'enfance.
En 1964, Robert Saint-Cricq rejoint le Groupe des Amandiers fondé par ses voisins d'atelier Claude Malherbe et André Pédoussaut, avec Laurent Lefèvre, Romain, Jean Even, Achiam, Adriam et Estival[3].