Sanja Iveković née en à Zagreb, est une artiste croate féministe.
Cet article est une ébauche concernant la Croatie et une sculptrice.
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De 1968 à 1971, Sanja Iveković fait des études de graphisme à l'école des Beaux Arts de Zagreb (en) de l'université de Zagreb[1].
En 1978, elle co-fonde avec Dalibor Martinis la galerie Podroom[2]. En 1994, elle est également cofondatrice d'Electra, un centre d'art féministe à Zagreb.
Son œuvre est éminemment politique et féministe. Elle est une des premières à s'intéresser aux problématiques du genre, du féminisme et des discriminations. Elle exploite l’iconographie audiovisuelle, celle de la presse féminine mais aussi de la publicité[2] pour réaliser des œuvres, telle que, qui questionnent les représentations du corps et les injonctions de la société,
Avec Sweet Violence en 1974, c'est à la société de consommation et au capitalisme qu'elle s'attaque. Sweet Violence est aussi le titre de la première grande rétrospective de son travail à New York, en 2012[3].
Elle est principalement reconnue à partir de la réalisation avec Dalibor Martinis de la vidéo intitulée Chanoyu, récompensée d'un prix au Locarno video festival en 1986[4].
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