Sarah Hildebrand, formée à la Haute école d'art et de design de Genève ainsi qu'à la Hochschule für bildende Kunste de Hambourg pratique autant la photographie, l'installation, le son, que le dessin ainsi que l'écriture. Elle se définit comme une chercheuse, dont le sujet central est la constitution de l'identité notamment au travers de notions telles que l'habitat et l'intimité[1].
Expositions individuelles (sélection)
2013 Ici et là-bas, Espace Kugler, Genève
2012 Le flux, Galerie La Vitrine, Genève
2011 Verlassene Orte und Cher toi, Galerie Sprechzimmer, Dannenberg
2011 Verlassene Orte, Köln Süd offen, Cologne
2007 La peur, l’amour, l’art, Galerie Pieceunic, Genève
2005 Poème à épingler, Jan Ken Poï, Genève
2003 Livres d’artiste, Librairie au point du jour, Genève
2003 Une minute d’intérieur, Archipel Festival des musiques d’aujourd’hui, Genève
Expositions collectives (sélection)
2012 Happiness Is a Warm Gun, Bundesverband Bildender Künstler (BBK), Cologne
2011 Rhein-Rhône Projekt - Ist es am Rhein so schön?, Kunstvereins 68elf, Cologne
Sarah Hildebrand, Chez soi/Zuhause, Lausanne, art&fiction, coll.«Re:Pacific», , 104p. (ISBN978-2-940377-61-9)
Sarah Hildebrand, «Métamorphoses», dans Mode de vie, Lausanne, art&fiction, (ISBN978-2-940377-36-7)
Références
«Les interrogations de la créatrice portent souvent sur les questions du lieu, de l’habitat et de l’intimité. À la manière d’une Sophie Calle – mais avec moins de stratégie délibérément voyeuriste – la recherche du lieu porte vers quelque chose de trouble et de troublant.», Jean-Paul Gavard Perret, «Les maisons de Sarah Hildebrand», in lelittéraire.com, 29 janvier 2013
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