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Thomas Iser, né le à Metz, est un artiste du streetart, artiste peintre, photographe, performeur et skater[1]. Par son art il espère inspirer les gens à utiliser leurs souffrances pour l'accomplissement de leurs rêves. C'est aussi dans cette philosophie qu'il crée, en 2016, son projet Universal Humanity. Son art est fortement inspiré du graffiti et de sa quête personnelle[2]. ainsi que de l'art japonais du Kintsugi, ou encore de la symbolique de l'alchimie[3].

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Thomas Iser
Naissance
(35 ans)
Metz
Autres noms
Universal Humanity
Nationalité
Français et Luxembourgeois
Activité
Artiste de rue, Peintre, Photographe, Skater
Formation

Institut Sainte-Marie (Arlon)

Lycée Robert-Schuman (Metz)
Influencé par
Kintsugi, Alchimie, Streetart, Art contemporain
Site web

Biographie



Enfance et adolescence


Thomas Iser est né le 2 septembre 1987 à Metz, d'un père français et d'une mère luxembourgeoise. Ensemble avec son grand-frère, il vit jusqu'à ses 2 ans à Metz chez ses parents. Après le divorce de ceux-ci, il déménage avec sa mère et son frère au Luxembourg. Il suivra son éducation fondamentale ainsi que secondaire à l'Institut Sainte-Marie à Arlon, en Belgique. Il passe alors aussi beaucoup de temps avec ses grands-parents maternels et notamment son grand-père avec lequel il entreprend de nombreuses aventures en forêt et de pêche.[1]

A 12 ans, il trouve sa passion dans le graffiti et le skateboard. Pendant son adolescence, il voit sa mère tomber dans la dépression puis incarcérée et son grand-frère interné en psychiatrie à la suite de l'apparition d'une schizophrénie induite par l'usage de stupéfiants[4]. Il utilisera ainsi l'art comme échappatoire et le skateboard comme exutoire[5] afin de s'exprimer de manière constructive et inspirante.


Devenir artiste


Après avoir fini un BTS en Management d'Unités Commerciales au Lycée Robert Schuman à Metz[6] il est embauché dans un bureau d'ingénieurs-conseils, PROgroup[7] au Luxembourg. Il rencontre néanmoins des difficultés à s'adapter à une vie professionnelle classique et choisit ainsi de devenir artiste[1]. Entre les visites de sa mère en prison et celles de son frère interné en psychiatrie, ainsi que la mort de son grand-père maternel, il s'investit fortement dans son développement personnel afin de faire face à ces expériences de privation de liberté vécues par procuration et devenir ainsi la meilleure version de lui-même[1].


Carrière d'artiste



L'artiste et ses inspirations


C'est donc en 2012 que Thomas Iser se concentre uniquement sur son art et en fait son métier, avec le soutien de son ancien employeur et mécène Romain Poulles[6]. Utilisant l'acrylique et la peinture en aérosol, l'artiste fortement inspiré par l'art du graffiti, va peindre sur toile des œuvres explosant des couleurs et des symboles[2]. Son art peut être qualifié d'autobiographique car l'artiste y met beaucoup de ses propres expériences et réflexions[6], tout en gardant un coup de pinceau figuratif et presque enfantin afin d' apporter une légèreté et délicatesse à des expériences difficiles[2]. Ainsi se développe aussi le symbole de la fenêtre qui figure presque sur chaque œuvre du peintre. La fenêtre est selon l'artiste symbole de résilience et d'espoir, car celle-ci offre une perspective lumineuse lorsque des personnes traversent des moments difficiles. La fenêtre est l'envers du décor de la vie quotidienne car elle est l'endroit où se forgent tous les rêves et aspirations[1].

Thomas Iser s'inspire également de l'art japonais Kintsugi. Se sentant lui même brisé par les événements auxquels il a été confronté, il se peint le corps en noir avec des brisures dorées afin de se réparer selon la méthode du Kintsugi. Il espère ainsi partager son histoire et inspirer les gens à utiliser leurs brisures pour accomplir leurs rêves[1].


Projet « Angel Jumps »


En avril 2015, Thomas Iser, alors encore connu sous le pseudonyme de « Sunnyboy 1987 » sur le réseau social Instagram, lance son projet de « Angel Jumps[8]. » Il se photographie ainsi, seul ou avec d'autres personnes, sautant en l'air. Il va par la suite, dessiner sur la photo, des ailes d'anges ainsi que des auréoles[6].


Projet « Universal Humanity »


En mai 2016, Thomas Iser lance son projet « Universal Humanity[9] » dont l'objectif est de dresser un portrait de l'humanité et de célébrer la diversité du monde. Il demande aux participants de tenir devant leur œil droit une carte représentant son œil, lorsqu'il était peint en noir avec des brisures dorées à l'effigie du Kintsugi, tout en leur demandant quel est leur rêve. De cette sorte, il espère partager sa vision d'un monde sans frontières où l'humanité est unie et d'inspirer les gens à utiliser leurs souffrances pour trouver la force de réaliser leurs rêves[5]. Lors de ses nombreux voyages, il collectionne les portraits photographiques, afin d'aller à la rencontre de l'humanité et toucher le plus de personnes possible avec sa vision du monde. Il compte parmi sa collection de nombreuses célébrités incluant: Nicole Scherzinger; Gigi Hadid; Pharrel Williams; Anitta; Andy Murray; Willem Dafoe; Jean-Claude Juncker[10].


Thomas Iser avec la carte Universal Humanity lors de la Nuit des Musées 2021, invité du Luxembourg City Museum.
Thomas Iser avec la carte Universal Humanity lors de la Nuit des Musées 2021, invité du Luxembourg City Museum.

Expositions



Collaborations et performances artistiques



Notes et références


  1. « Kulturpur- Am Gespréich mam Thomas Iser », sur cultur.lu, (consulté le )
  2. « Thomas Iser - Fine Art and Performer », sur rulerart.com.
  3. Gabriel Fagbenro, « Crossing Lifestyle- Thomas Iser », sur crossing.life, (consulté le ).
  4. « Kulturpur- Am Gespreich mam Thomas Iser », sur culture.lu, (consulté le )
  5. Nikolas Lenoir, « Thomas Iser, Un regard sur l'Humanité », sur lequotidien.lu, (consulté le ).
  6. Tageblatt Redaktion, « Spuren hinterlassen », sur tageblatt.lu, (consulté le ).
  7. « PROgroup SA », sur paperjam.lu (consulté le )
  8. Sophia Schülke, « L'art serein d'un « sunny boy » luxembourgeois », sur lessentiel.lu, (consulté le )
  9. « Universal Humanity Art Project »
  10. Nancy Heslin, « Passing through Monaco Life: Thomas Iser, Universal Humanity Photographer », sur monacolife.net, (consulté le ).
  11. Banque International Luxembourg, « Art 2 Cure », sur bil.com
  12. Beers London, « Works on paper », sur beerslondon.com
  13. Art East Gallery, « Windows », sur arteastgallery.co.uk
  14. Marcel Katz Art, « The Art Plug Power House » (consulté le )
  15. University of Luxembourg, « Thomas Iser », sur mindthebrain.lu
  16. GSK Stockmann, « Sumo & Thomas Iser », sur gsk-lux.com
  17. Banque Raiffeisen, « Circular'ISER, il y a plein à voir! », sur raiffeisen.lu
  18. City Life, « Le 1er musée du déchet est luxembourgeois », sur city.vdl.lu, (consulté le )
  19. « Join Womanity to celebrate #UniversalHumanity », sur Womanity.org, (consulté le )
  20. « Thomas Iser X Jitrois - Live Performance FIAC 2019 », sur mespromenades.com
  21. Le Soleil Foundation, « Stay Gold Event, Live performance with Thomas Iser, Jitrois and the Tenor Evangelos Giamouris », sur lesoleilfoundation.com
  22. Fabien Rodrigues, « Une bûche haute en couleur pour un Noël morose », sur paperjam.lu, (consulté le )
  23. Lëtzebuerg City Museum, « 20 Jahre Nuit des Musées im Lëtzebuerg City Museum! », sur citymuseum.lu
  24. « Une oeuvre d'art qui traverse les frontières », sur aein.lu (consulté le )



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