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Pierre Joseph Édouard Deperthes (né le à Houdilcourt dans les Ardennes, mort le à Reims, inhumé à Paris au cimetière du Montparnasse) est un architecte français.

Édouard Deperthes
Naissance

Houdilcourt
Décès
(à 64 ans)
Reims
Sépulture
Cimetière du Montparnasse (depuis le )
Nationalité
Française
Activité
Architecte
Maître
Narcisse Brunette
Enfant
Jules Deperthes
Distinction
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()
Archives conservées par
Archives nationales (F/19/7230)[1]
Œuvres principales
Basilique Sainte-Anne d'Auray

Biographie


Il est le fils de Jeanne Romagny, mariée à Remi Deperthes, ses parents sont cultivateurs et il fait ses études à l’École des frères de Saint-André. Élève de Narcisse Brunette, il entre en 1856 comme conducteur de travaux à la mairie de Reims et loge au 12 de l'esplanade Cérès. Place qu'il quitte vers 1861, puis architecte de l’Hôtel de ville de Paris, chevalier de la Légion d’honneur en 1882, membre de l’Académie nationale de Reims, il fut architecte en chef de la ville de Brest pendant six ans, membre du jury pour l'exposition universelle de 1878. Il est le père de Jules Deperthes également architecte.


Œuvres


Série de dessins à propos d'archéologie publié en 1861 par l'Académie nationale de Reims puis sous forme de cartes postales.


Images



Notes et références



Notes


  1. En 1894, les républicains érigèrent un monument commémoratif, constitué d’un socle et d’une colonne de granit de dix mètres. Sur le socle sont gravés les premiers articles des Droits de l’homme et du citoyen, le Serment des Jeunes Volontaires, illustré également par un bas-relief en bronze, le Pacte d’union des municipalités. Le fût portait une allégorie en bronze de la Liberté, jeune femme se libérant du suaire et tendant le rameau d’olivier. Ce monument érigé en 1894, inauguré le 10 août 1896 par le président Félix Faure, commémore le serment des jeunes volontaires du 19 janvier 1790, qui témoigne à la fois du mouvement pour la défense de la constitution de l'État et de l'adhésion aux décrets de l'Assemblée nationale : " Ni Bretons, ni Angevins, mais Français." L'allégorie fixée sur le fût de ce monument a été détruite par un attentat autonomiste en 1938.

Références


  1. « http://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/UD/FRAN_IR_050281/c-7o9dte3ve-ldqbx6e2pnw0 »
  2. Monument de la Fédération bretonne-angevine de 1790 (Pontivy, Morbihan) sur la base RMN

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