art.wikisort.org - Chercheur

Search / Calendar

Il a été critique d'art jusqu'en 2000 et œuvre dans des domaines aussi divers que le roman, le théâtre, la vidéo, la photographie, la radio, la performance et l'installation sonore.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires ().

Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, merci de citer les sources primaires à travers l'analyse qu'en ont faite des sources secondaires indiquées par des notes de bas de page (modifier l'article).

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées ().

Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails.


Biographie


En 1991 une succession de rencontres le conduit dans le milieu de l'art new yorkais. Les visites de l'atelier du peintre Robert Ryman, puis des expositions Dislocations au MoMA et Vito Acconci à la galerie Barbara Gladstone, où il découvre respectivement le dispositif vidéo Anthro/Socio de Bruce Nauman et l'installation Voice of America de Vito Acconci, lui procurent ses premières émotions esthétiques. Après deux mois de culture intensive, il rentre à Paris et devient collaborateur occasionnel pour les revues art press, Artefactum et Parachute puis quelques années plus tard pour La lettre du cinéma, la Revue de littérature générale (P.O.L), La Revue Perpendiculaire (Flammarion).
Nourri de ces expériences artistiques, il publie son premier roman en 1994 (Gangue son). Tenté un temps par le commissariat d'exposition (À quoi rêvent les années 90 ?[2] ; XN (collectif de commissaires indépendants) ou encore Le temps libre : son imaginaire, son aménagement, ses trucs pour s’en sortir…[3])), il se consacre progressivement exclusivement aux essais sur l'art et à la littérature. Il publie successivement France guide de l'utilisateur (1998) ; Amour, gloire et CAC 40 (1999) ; United Emmerdements of New Order précédé de United Problems of Coût de la Main-d’œuvre (2002). Parallèlement, il commence à écrire pour la radio — La vie qui va avec, en collaboration avec Vincent Labaume (France Inter, 1997)[4], All You Need Is Ressentir (France Culture 2006[5]) et pour le théâtre — Quelque chose en nous de général (le discours) (2001) ; United Problems of Coût de la Main d’œuvre (2002), Alles Klar (le débat) (2002) ; Another Way Now Pourrait Supprimer 2800 villages d’ici cinq ans (2006).
En 2000, il signe ses derniers textes en tant que critique d'art, notamment pour le catalogue de l'exposition Présumés innocents, au CAPC.

En 2003, il quitte momentanément la scène artistique et littéraire pour revisiter en actes une pratique sportive qui l'avait occupé à plein temps au cours de son adolescence : le cyclisme. Jean-Charles Massera prend alors une licence sous le pseudonyme de Jean de La Ciotat et après vingt-cinq ans d'inactivité physique se lance dans une carrière « cyclosportive » aussi amateur qu'improbable. L'expérience sera brève. Après trois saisons, celui que les internautes avaient fini par baptiser JdLC met un terme à sa carrière. De cette expérience quelque peu piteuse, découlent deux livres — Jean de La Ciotat confirme (2004) qu'il publie anonymement, puis Jean de La Ciotat, la légende (2007) qu'il assume et signe. Toujours en 2007, il reprend à plein temps le nom Jean-Charles Massera et publie son premier recueil de nouvelles : A cauchemar is born.

En 2008, il s'engage, avec entre autres Éric Arlix et Chloé Delaume dans la publication de la nouvelle revue TINA (There is no alternative).

Ses installations visuelles ou sonores ont été montrées dans diverses expositions de groupe (La Beauté, à Avignon, Corporate Everything à la Kunsthalle de Fribourg, Cherchez le garçon au MAC/VAL[6]...) ou personnelles (Institut d’Art Contemporain Villeurbanne/Rhône-Alpes).

Il intervient également en Université et en école d'art.


Œuvres



Littérature



Essais



Théâtre



Radio / Pièces sonores



Expositions



Films et Vidéos



Notes et références


  1. http://www.editions-verticales.com/auteurs_fiche.php?id=139
  2. « A quoi rêvent les années 90? | Centre Pompidou », sur www.centrepompidou.fr (consulté le )
  3. « Le temps libre : son imaginaire, son aménagement, ses trucs pour s'en sortir | Centre Pompidou », sur www.centrepompidou.fr (consulté le )
  4. « Oui mais nous, comment on fait pour notre exposé ? 3/5 », sur France Culture (consulté le )
  5. « All you need is ressentir de Jean-Charles Massera », sur France Culture (consulté le )
  6. « « Chercher le garçon » - MAC VAL », sur www.macval.fr (consulté le )

Annexes



Article connexe



Liens externes





Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

2019-2025
WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии