Il participe également au décor de la Maison pompéienne aux 16-18, avenue Montaigne à Paris[6], à celle de l'hôtel Granger, de l'hôtel Pereire, de l'hôtel du duc de Galliera, du château du comte Murat ainsi qu'à celui du Palais des Études de l'École des beaux-arts de Paris entre 1854 et 1855 et au musée de Picardie à Amiens.
Il présente une Sainte-Catherine-d'Alexandrie à l'Exposition universelle de 1855. Il est également l'auteur de portraits et de nombreuses figures de saints.
Collections publiques
Musée d'Elbeuf:
Relevé d'un vitrail de l'Église Saint-Jean d'Elbeuf, vers 1860
Voir aussi
Bibliographie
E. A. G., Notice sur Gastine (Camille-Auguste), artiste peintre mort le 3 avril 1867, Paris, Edouard Vert, 1867
Archives de Paris, fichier de l'état-civil reconstitué.
Archives de Paris, état-civil numérisé du 6e arrondissement, acte de décès no783 de l'année 1867. Le peintre meurt à son domicile situé 81, boulevard du Montparnasse.
E. A. G., Notice sur Gastine (Camille-Auguste), artiste peintre mort le 3 avril 1867, Paris, Edouard Vert, 1867
Blandine Chavanne, François Macé de Lépinay et Sophie Harent, Savinien Petit 1815-1878. Le sentiment de la ligne, Artlys, musée des Beaux-Arts de Nancy, 72 p. (ISBN2-85495-229-4)
Théophile Gautier, Arsène Houssaye et Charles Coligny, Le palais pompéien de l'avenue Montaigne: études sur la maison gréco-romaine, ancienne résidence du prince Napoléon, Paris, Palais pompéien, 1866
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