Claude Firmin, dit «le Goy» («le boiteux» en provençal), peignit de nombreuses fresques pour l'hôtel de ville d'Avignon. il expose au Salon des artistes français de 1889 à 1922; il y obtient une mention honorable en 1902 pour Le Sentier des saules en Provence et Mon Doreur. Membre du groupe des Treize présidé par Clément Brun, il est considéré comme un maître provençal de la peinture. Il devient professeur en 1922, puis directeur de l'École des beaux-arts d'Avignon de 1937 à 1941[3]. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur le [4].
Les grands-parents d’Henri Rode, dans la cuisine de leur ferme de Cairanne, ont été peints par Firmin, en 1902[5].
André Alauzen et Laurent Noet, Dictionnaire des peintres et sculpteurs de Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille, Jeanne Laffitte, (1reéd. 1986), 473p. (ISBN978-2-86276-441-2), p.191.
André Alauzen et Laurent Noet, Dictionnaire des peintres et sculpteurs de Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille, Jeanne Laffitte, (1reéd. 1986), 473p. (ISBN978-2-86276-441-2), p.191.
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