Ferdinand Gilbault est l'élève du sculpteur Hippolyte Maindron. Il produit quelques bustes avant de se tourner vers la gravure en médailles. Artiste régionaliste, il conçoit des médailles inspirées par sa Bretagne natale (Bretonne[3], Jour de fête) et des portraits d'artistes contemporains (Albert Maignan, Jean-Léon Gérôme, François Coppée).
Œuvres
Médaillette pour le centenaire de la mort de Napoléon 1821-1921. 1863, en métal doré avec bélière 6,55g Ø 22,48cm [4].
Médaille Georges Clemenceau, Aux armées, 1918 [5],[6].
Bibliographie
Collectif: La médaille en France aux XIXe et XXe siècle - Au creux de la main, Musée d'Orsay, Skira Flammarion, Bibliothèque nationale de France, 2012
Notes et références
(en)L. Forrer, Biographical Dictionary of Medallists: Gilbault, Ferdinand, t.I, London, Spink & Son Ltd, , 691p., p.263-266.
La médaille en France aux XIXe & XXesiècle. Au creux de la main. Skira Flammarion. Bibliothèque nationale de France, 2012
Vers 1900, Bibliothèque nationale de France, département des Monnaies, Médailles et Antiques.
(en)L. Forrer, Biographical Dictionary of Medallists: Gilbault, Ferdinand, t.VII, London, Spink & Son Ltd, , 567p., p.359-361.
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