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Jean-Léon Gérôme, né à Vesoul le et mort à Paris le , est un peintre et sculpteur français.

Jean-Léon Gérôme
Jean-Léon Gérôme par Nadar.
Biographie
Naissance

Vesoul
Décès
(à 79 ans)
9e arrondissement de Paris ou Paris
Sépulture
Cimetière de Montmartre
Nationalité
Française
Formation
École des beaux-arts de Paris
Collège Gérôme
Activités
Peintre, artiste graphique, dessinateur en bâtiment, enseignant, sculpteur, peintre sur porcelaine
Fratrie
Claude-Armand Gérôme (d)
Autres informations
A travaillé pour
École des beaux-arts de Paris
Membre de
Académie des beaux-arts
Académie royale suédoise des Beaux-Arts
Académie américaine des arts et des sciences
Royal Academy
Ligue de la patrie française
Société des peintres orientalistes français
Mouvements
Art académique, orientalisme, néo-grec, mouvement néo-pompéien (d)
Maîtres
Genres artistiques
Peinture d'histoire, peinture religieuse
Influencé par
Distinctions
Grand officier de la Légion d'honneur‎
Ordre de l'Aigle rouge
Œuvres principales

Membre de l'Académie des beaux-arts, il composa des scènes orientalistes, mythologiques, historiques et religieuses. À partir de 1878, il réalise des sculptures, la plupart polychromes, représentant des scènes de genre, des personnages ou des allégories.

Promu grand officier de la Légion d'honneur, Gérôme est distingué lors des différentes expositions universelles auxquelles il participe et fait figure de peintre officiel à la fin du XIXe siècle. Il devient professeur à l’École des beaux-arts durant près de quarante années, et forme plus de 2 000 élèves.

Considéré comme l'un des artistes français les plus célèbres de son temps, Jean-Léon Gérôme est l'un des principaux représentants de la peinture académique du Second Empire. Après avoir connu un succès et une notoriété considérables de son vivant, son hostilité violente vis-à-vis des avant-gardes, et principalement des impressionnistes, le fait tomber dans l'oubli après sa mort. Son œuvre est redécouverte à la fin du XXe siècle et connaît une postérité en devenant, entre autres, une source d'inspiration pour le cinéma[1].


Biographie



Jeunesse


La maison natale de Jean-Léon Gérôme, rue d'Alsace-Lorraine dans le quartier historique de Vesoul.
La maison natale de Jean-Léon Gérôme, rue d'Alsace-Lorraine dans le quartier historique de Vesoul.
Gérôme commença ses études au collège de Vesoul, qui, en hommage, porte son nom depuis 1907.
Gérôme commença ses études au collège de Vesoul, qui, en hommage, porte son nom depuis 1907.

Jean-Léon Gérôme est né le au no 9 de la rue du Centre (actuelle rue d'Alsace-Lorraine) à Vesoul, préfecture du département de la Haute-Saône[2]. Son père, Pierre Gérôme, est orfèvre et sa mère, Mélanie Vuillemot, est la fille d’un négociant. Ses parents sont tous deux âgés de 23 ans à sa naissance. Il étudie au collège de Vesoul, établissement scolaire qui prend son nom en 1907 (collège Gérôme), où il montre des talents naturels pour le dessin.

Il obtient le baccalauréat en 1840, puis va poursuivre ses études à Paris en 1841. Par la suite, il devient l’élève du peintre Paul Delaroche  qu’il accompagne en Italie quelques années plus tard  et suit des cours aux Beaux-Arts. En 1842, il expose à Vesoul ses premiers tableaux : Esquisse de bataille, Chiens savants, Moines au lutrin[3],[4].


Carrière de peintre


À son retour d'Italie, Gérôme se fait connaître au Salon de 1847 par son Jeunes Grecs faisant se battre des coqs (1846), toile qui déjà illustre son souci du détail authentique et pour laquelle il reçoit la médaille d'or. Il devient alors chef de file d'un nouveau courant, le mouvement néo-grec, qui compte également parmi ses membres les peintres Jean-Louis Hamon et Henri-Pierre Picou[5]. Puis il change de genre et expose La Vierge, L'Enfant Jésus et saint Jean, et comme pendants, Anacréon, Bacchus et l'Amour. Gérôme obtient en 1848 une deuxième médaille. Cette même année, il peint La République, déposée par la ville de Paris aux Lilas, où elle est conservée depuis 1922 à la mairie[6]. Il réalise ensuite : Bacchus et l'Amour ivres, Intérieur grec et Souvenir d'Italie (1851), Vue de Paestum (1852), Idylle (1853).

Gérôme effectue des excursions dans l'Empire ottoman, sur les bords du Danube en 1854 et en Égypte en 1857, tout en remplissant ses carnets de nombreux dessins. En 1855, il envoie à l'Exposition universelle Pifferaro, Gardeur de troupeaux, Concert russe et une grande toile représentant Le Siècle d'Auguste et la naissance de Jésus-Christ, acquise par le ministère d'État. Sa réputation augmente considérablement au Salon de 1857, où il expose sept tableaux d'un genre plus populaire, entre autres La Sortie du bal masqué et Le Duel de Pierrot.

En 1859, il envoie au Salon une Mort de César et deux petites compositions, pleines de détails érudits, l'une retraçant un détail de gladiateurs et intitulée Ave Cæsar, l'autre représentant Le Roi Candaule. En 1861, il fait paraître Phryné devant l'aréopage, Socrate venant chercher Alcibiade chez Aspasie, Les Deux Augures.

Au même Salon, il envoie une scène orientale, Le Hache-paille égyptien, et Rembrandt faisant mordre une planche à l'eau-forte. Ses meilleures œuvres lui ont été inspirées par le courant orientaliste, sur la base de sujets égyptiens ou ottomans : Le Prisonnier et le Boucher turc (1861), La Prière, La Porte de la mosquée El-Hasanein au Caire (1866), Le Charmeur de serpent (1879), Le Marché d'esclaves, Le Marché ambulant au Caire et Promenade du harem[7].

Il peint souvent des scènes historiques telles que Louis XIV et Molière (1863), La Réception des ambassadeurs du Siam à Fontainebleau (1865), L'Exécution du maréchal Ney (1868), L'Éminence grise (1873), Réception du Grand Condé à Versailles (1878), scènes qui privilégient la théâtralisation de l'anecdote et le goût du détail par rapport aux tableaux d'histoire traditionnels[5]. Dès 1862, ses toiles connaissent une large diffusion, notamment due au fait qu'il épouse le Marie Goupil[8], la fille d'Adolphe Goupil, un éditeur et marchand d'art renommé[5], laquelle lui donne quatre filles : Suzanne (1863-1914), épouse du marchand d'art Étienne Boussod, Suzanne-Mélanie (1867-1941), épouse du peintre Aimé Morot, Juliette (1875-1907), épouse de l'éditeur Pierre Masson, Blanche-Valentine (1878-1918), et un fils, Jean Gérôme (1864-1891)[9].

En 1888 il est membre du jury, dans la section « Dessins », de la troisième Exposition internationale de blanc et noir, en compagnie de Louis Français, Henri Pille, et Auguste Allongé[10]


Carrière de sculpteur


Jean-Léon Gérôme dans son atelier vers 1885-1890.
Jean-Léon Gérôme dans son atelier vers 1885-1890.
Monument au duc d'Aumale (1899), Chantilly.
Monument au duc d'Aumale (1899), Chantilly.

Gérôme arrive tardivement à la sculpture. Il commence sa carrière officielle de sculpteur à l'Exposition universelle de 1878 avec son groupe Les Gladiateurs, inspiré du groupe central de son tableau Pollice verso (1872), premier exemple des allers-retours permanents entre son œuvre peint et sculpté[5]. Suivent ses groupes Anacréon, Bacchus et l'Amour, et ses statues d’Omphale (1887) et de Bellone (1892) (cette sculpture polychrome en ivoire, métal et pierres précieuses, est exposée à l'Académie Royale de Londres et attira beaucoup l'attention), Tanagra. La polychromie est une caractéristique technique de ses sculptures. Gérôme parvient à ses fins soit en variant les matériaux comme dans son Bellone, soit en peignant directement la pierre à l'aide d'une cire teintée (Sarah Bernhardt, 1894-1901). Il entreprend aussi une série de sculptures de conquérants, travaillées dans l'or, l'argent et les gemmes : Bonaparte entrant au Caire (1897), Tamerlan (1898) et Frédéric le Grand (1899). C'est également à Gérôme que l'on doit le Monument au duc d'Aumale (1899) qui se trouve devant les grandes écuries à Chantilly. Il est l'auteur de L'Aigle blessé, monument érigé à Waterloo, à l'emplacement du dernier carré, deux ans après sa mort.

Gérôme s'est souvent représenté dans ses propres tableaux en train de sculpter (Le Travail du marbre, 1895, Autoportrait peignant la Joueuse de boule, 1901-1902). Il existe également un certain nombre de photographies où il se met en scène devant ses propres œuvres[11].

En 1864, il devient professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris. Il y enseigne avec Alexandre Cabanel et Isidore Pils. Le dessin constitue la base de son enseignement [12].


Mort


Tombe de Jean-Léon Gérôme, Paris, cimetière de Montmartre (division 18).
Tombe de Jean-Léon Gérôme, Paris, cimetière de Montmartre (division 18).

Gérôme meurt le dans son atelier et domicile, au 65 boulevard de Clichy dans le 9e arrondissement de Paris[13] et est inhumé au cimetière de Montmartre (18e division)[14].

Il était le beau-père du peintre Aimé Morot (1850-1913).


Succès


Gérôme connaît un large succès de son vivant, si bien qu'il a son buste dans la cour de l'Institut de France. Pourtant, à la fin de sa vie, sa farouche hostilité envers les impressionnistes, qu'il considérait comme « le déshonneur de l'art français[15] », contribue au déclin de sa popularité, notamment en France, connaissant en cela le sort réservé par les tenants du modernisme aux artistes représentatifs de l'académisme.

De nombreux musées conservent ses œuvres aux États-Unis, car des collectionneurs américains l'achetèrent de son vivant. Son influence a été déterminante dans l'esthétique des peplums du cinéma italien du début du XXe siècle et des superproductions hollywoodiennes des XXe et XXIe siècle[16].


Expositions monographiques


Un universitaire américain, Gerald Ackermann, a établi le catalogue de ses œuvres et organisé la première exposition à lui être consacrée, en 1981, à Vesoul, sa ville natale[17]. En conséquence, un grand nombre de ses œuvres sont visibles au musée Georges-Garret de Vesoul, et la municipalité donna son nom à un de ses collèges.

En 2000, Hélène Lafont-Couturier a organisé une exposition ayant pour thème Jean-Léon Gérôme et son marchand de tableaux, Adolphe Goupil, à Bordeaux, New York et Pittsburgh.

Une importante rétrospective lui a été consacrée à Paris au musée d'Orsay en 2010[18].

Une exposition lui a été consacrée au musée Anne-de-Beaujeu de Moulins en 2012, autour du tableau La Vérité sortant du puits, armée de son martinet, pour châtier l'humanité, qui est conservé dans ce musée[19].


Œuvres


Jeunes Grecs faisant se battre des coqs (1846), Paris, musée d'Orsay.
Jeunes Grecs faisant se battre des coqs (1846), Paris, musée d'Orsay.
Portrait de femme, (1846), Montauban, musée Ingres-Bourdelle.
Portrait de femme, (1846), Montauban, musée Ingres-Bourdelle.
Suites d'un bal masqué (1857), Chantilly, musée Condé.
Suites d'un bal masqué (1857), Chantilly, musée Condé.
Pollice verso (1872), Phoenix Art Museum.
Pollice verso (1872), Phoenix Art Museum.
Un Moufti (vers 1900), collection particulière.
Un Moufti (vers 1900), collection particulière.
Cave canem, prisonnier de guerre à Rome (1881), Vesoul, musée Georges-Garret.
Cave canem, prisonnier de guerre à Rome (1881), Vesoul, musée Georges-Garret.
Phryné devant l'aréopage (1861), Kunsthalle de Hambourg.
Phryné devant l'aréopage (1861), Kunsthalle de Hambourg.
Marchand de peaux, Le Caire (1869), collection particulière.
Marchand de peaux, Le Caire (1869), collection particulière.
L'Éminence grise (1873), musée des beaux-arts de Boston.
L'Éminence grise (1873), musée des beaux-arts de Boston.
Bonaparte devant le Sphinx (1867-1868), San Simeon, Hearst Castle.
Bonaparte devant le Sphinx (1867-1868), San Simeon, Hearst Castle.
Golgotha Consummatum est, (1867), Paris, musée d'Orsay.
Golgotha Consummatum est, (1867), Paris, musée d'Orsay.
Pygmalion et Galatée (1890), New York, Metropolitan Museum of Art.
Pygmalion et Galatée (1890), New York, Metropolitan Museum of Art.
Après le bain, collection particulière.
Après le bain, collection particulière.
Tigre à l'affût (1888), musée des Beaux-Arts de Houston.
Tigre à l'affût (1888), musée des Beaux-Arts de Houston.

En France



Paris


musée du Louvre


musée d'Orsay


Nantes, musée des beaux-arts


Vesoul, musée Georges-Garret


Autres localisations en France


Aux États-Unis



Baltimore, Walters Art Museum


Boston, musée des Beaux-Arts


Cleveland, Cleveland Museum of Art


New York


Phoenix, Phoenix Art Museum


San Mateo, Collection Terence Garnett


Autres localisations aux États-Unis


Localisations dans le reste du monde


Allemagne
Canada
Porto Rico
Qatar
Royaume-Uni
Russie
Turquie

Localisation inconnue



Galerie



Hommages


Plaque commémorative sur sa maison natale à Vesoul.
Plaque commémorative sur sa maison natale à Vesoul.

Une plaque commémorative a été apposée en son hommage sur la maison natale de Jean-Léon Gérôme à Vesoul.


Citations



Élèves


Élève de Paul Delaroche, Claude-Basile Cariage et de Charles Gleyre, Gérôme a eu à son tour de nombreux élèves, parmi lesquels :


Au cinéma et à la télévision



Notes et références


  1. Valentine Robert, « La part picturale du tableau-style », Indiana University Press, , p. 17 (lire en ligne).
  2. « Acte de naissance de Jean-Léon Gérôme », sur https://archives.haute-saone.fr/ (consulté le ).
  3. « Apprentissage - Biographie de Jean-Léon Gérôme », sur http://universdesarts.fr/ (consulté le ).
  4. « Biographie de Jean-Léon Gérôme », sur http://www.cannes-la-bocca.fr/ (consulté le ).
  5. Jean-Léon Gérôme (1824-1904), L'histoire en spectacle, musée d'Orsay, [dépliant de l'exposition du 19 octobre 2010 au 23 janvier 2011].
  6. « Le tableau de la mairie des Lilas au musée d'Orsay », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, 7 octobre 2010.
  7. « L'usage de la photographie, avec l'aide du sculpteur Auguste Bartholdi, lors du premier voyage en Égypte en 1865, puis de son beau-frère Albert Goupil en 1868, vient donner un sens particulier de l'exactitude, derrière lequel il masque subterfuges et anachronismes, en prenant bien des libertés avec les contexte chronologique et géographique. » (Dépliant de l'exposition Jean-Léon Gérôme (1824-1904), L'histoire en spectacle, musée d'Orsay, du 19 octobre 2010 au 23 janvier 2011.)
  8. Archives de Paris en ligne, Paris 9e, acte de mariage V4E 992, vue 224/31, acte 41.
  9. gw.geneanet.org.
  10. Catalogue de l'exposition de 1890 avec liste des membres du jury, texte en ligne.
  11. L. Caillaud, « Les audaces d'une nouvelle carrière », Dossier de l'art, Hors série, no 6, 2010, p. 40-47.
  12. M. Vottero, « L'atelier Gérôme à l'École des Beaux-Arts », Dossier de l'art, Hors série no 6, 2010, p. 60-61.
  13. Archives de Paris 9e, acte de décès no 32, année 1904 (vue 5/31).
  14. Registre journalier d'inhumation de Paris Montmartre de 1904, en date du 13 janvier (vue 28/30).
  15. Dossier de l'art, no 6, p. 59.
  16. Schlesser T, inspiré par la photographie, inspirateur du cinéma, Dossier de l'art, Hors série no 6, 2010, p. 62-69.
  17. Dictionnaire culturel de l'orientalisme, Christine Peltre, Éditions Hazan, 2008, (ISBN 9782754101929).
  18. Exposition Jean-Léon Gérôme au Musée d'Orsay - Paris, (octobre 2010 - janvier 2011).
  19. Site du musée Anne-de-Beaujeu.
  20. Marianne Delafond, De Le Brun à Vuillard Catalogue d’exposition, Institut de France, , 205 p., p. 122-121
  21. Grande Galerie - Le journal du Louvre, no 13, septembre-octobre-novembre 2010, p. 103.
  22. « Les collections du département des arts graphiques - Dante méditant dans le jardin des Cascine à Florence - GEROME Jean Léon », sur arts-graphiques.louvre.fr (consulté le ).
  23. « Les collections du département des arts graphiques - Deux têtes de cantatrices et une tête de chanteur - GEROME Jean Léon », sur arts-graphiques.louvre.fr (consulté le ).
  24. « Les collections du département des arts graphiques - Ephèbe agenouillé - GEROME Jean Léon », sur arts-graphiques.louvre.fr (consulté le ).
  25. « Les collections du département des arts graphiques - Portrait de la tragédienne Rachel en buste, costume antique - GEROME Jean Léon », sur arts-graphiques.louvre.fr (consulté le ).
  26. « Les collections du département des arts graphiques - Tête de garçon, de profil à droite - GEROME Jean Léon », sur arts-graphiques.louvre.fr (consulté le ).
  27. « Les collections du département des arts graphiques - Tête de profil à droite - GEROME Jean Léon », sur arts-graphiques.louvre.fr (consulté le ).
  28. « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  29. « Intérieur grec », sur Musée d'Orsay (consulté le )
  30. « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  31. « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  32. « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  33. « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  34. « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  35. « Jérusalem », sur Musée d'Orsay (consulté le )
  36. « Musée d'Orsay: Notice d'Oeuvre », sur www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  37. « Sarah Bernhardt », notice sur musee-orsay.fr.
  38. Jean-Léon Gérôme (1824-1904), l'histoire en spectacle, Laurence des Cars, Dominique de Font-Réaulx, Edouard Papet, Éditions Musée d'Orsay et Skira-Flammarion , 2010, (ISBN 9782081241862).
  39. « Œuvres en ligne de J.-L. Gérôme », sur collection.museedesbeauxarts.nantes.fr (consulté le ).
  40. « Plaine de Thèbes », sur Musée de Nantes (consulté le )
  41. « Le Prisonnier », sur Musée de Nantes (consulté le )
  42. Notice no 06070001776, base Joconde, ministère français de la Culture
  43. Site du musée Anne de Beaujeu.
  44. « L'état des églises parisiennes (5) : Saint-Séverin – La Tribune de l'Art », La Tribune de l'Art, (lire en ligne, consulté le ).
  45. (en) « The Duel After the Masquerade », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le ).
  46. (en) « The Tulip Folly », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le ).
  47. (en) « Diogenes », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le ).
  48. (en) « The Death of Caesar », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le ).
  49. (en) « A Roman Slave Market », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le ).
  50. (en) « The Christian Martyrs' Last Prayer », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le ).
  51. (en) « Bashi-Bazouk Singing », sur The Walters Art Museum · Works of Art (consulté le ).
  52. (en) « Moorish Bath », sur Museum of Fine Arts, Boston, (consulté le ).
  53. (en) « L'Eminence Grise », sur Museum of Fine Arts, Boston, (consulté le ).
  54. (en) « Pygmalion and Galatea », sur The Met (consulté le ).
  55. (en) « Prayer in the Mosque », sur The Met (consulté le ).
  56. (en) « Bachi-Bouzouk », sur The Met (consulté le ).
  57. (en-US) « Jean-Léon Gérôme, Working in Marble, or The Artist Sculpting Tanagra » (consulté le ).
  58. (en) « Portrait of a Woman », sur The Art Institute of Chicago (consulté le ).
  59. (en) « Chariot Race », sur The Art Institute of Chicago (consulté le ).
  60. « Cincinnati Art Museum: Explore the Collections of the Cincinnati Art Museum », sur Cincinnati Art Museum (consulté le ).
  61. « Dance of the Almeh | Dayton Art Institute », sur www.daytonartinstitute.org (consulté le ).
  62. Lynne Thornton, La Femme dans la peinture orientaliste, ACR Éditions, Poche couleur, 1993, 1994 (ISBN 9782867700613).
  63. « Maîtres anciens & du XIXe siècle | Vente n°3381 | Lot n°93 | Artcurial », sur www.artcurial.com (consulté le )
  64. « Pygmalio et Galatée », sur Metropolitan Museum (consulté le )
  65. (en) « Moorish Bath », sur Rhode Island Museum (consulté le )
  66. Roger Benjamin (dir.), Orientalism, Delacroix to Klee, éd. Art Gallery of New South Wales, (1997), 2001 (ISBN 9780731313440). Une page, en anglais, y est consacrée à chacune des œuvres référencées.
  67. « Clark Art - Snake Charmer », sur www.clarkart.edu (consulté le ).
  68. « Femme circassienne », sur Catalogue Christie's (consulté le )
  69. « Les deux majestés », sur Artnet (consulté le )
  70. Les orientalistes - peintres voyageurs, Lynne Thornton, ACR Éditions, Poche couleur, 1993, 1994, (ISBN 9782867700606).
  71. Dossier de l'art no 6, p. 37, courtesy of Libby Howie.
  72. Un tableau avec un titre identique est exposé au Chrysler Museum of Art, Norfolk, Virginie, USA. Le , il est mis aux enchères chez Artcurial (estimation : 800 000-1 200 000 Euros) mais est resté invendu. Le tableau est conservé dans la famille de l'artiste par descendance[réf. nécessaire].
  73. « Louis XI visitant le Cardinal La Balue (Jean-Léon GEROME) » [archive du ], sur Galerie Jean-François Heim (consulté le )
  74. Dossier de l'art no 6, p. 7.
  75. Liste des membres de l'association La Fresque en 1933. Archives de Paris VR 594.
  76. Cimetière du Montparnasse 11e division.
  77. Philippe Bonnet, Peintures monumentales de Bretagne, PUR, 2021, p. 333.
  78. Bénézit de 1939 sur Gallica
  79. Précis analytique des travaux de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen pendant l’année 1908-1909, 1910, page LIX.

Annexes



Bibliographie



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[de] Jean-Léon Gérôme

Jean-Léon Gérôme (* 11. Mai 1824 in Vesoul, Département Haute-Saône; † 10. Januar 1904 in Paris) war ein französischer Historienmaler und Bildhauer.

[en] Jean-Léon Gérôme

Jean-Léon Gérôme (11 May 1824 – 10 January 1904) was a French painter and sculptor in the style now known as academicism. His paintings were so widely reproduced that he was "arguably the world's most famous living artist by 1880."[1] The range of his oeuvre included historical painting, Greek mythology, Orientalism, portraits, and other subjects, bringing the academic painting tradition to an artistic climax. He is considered one of the most important painters from this academic period. He was also a teacher with a long list of students.

[es] Jean-Léon Gérôme

Jean-Léon Gérôme (Vesoul, 11 de mayo de 1824-París, 10 de enero de 1904) fue un pintor y escultor francés academicista, cuyas obras son, por lo general, de tema histórico, mitológico, orientalismo, retratos y otros temas, con lo que lleva el Academicismo tradicional a un clímax artístico. Es considerado uno de los pintores más importantes de este período académico, y además de ser pintor y escultor, fue también un maestro con una larga lista de estudiantes.
- [fr] Jean-Léon Gérôme

[it] Jean-Léon Gérôme

Jean-Léon Gérôme (Vesoul, 11 maggio 1824 – Parigi, 28 gennaio 1904) è stato un pittore e scultore francese.

[ru] Жером, Жан-Леон

Жан-Лео́н Жеро́м (фр. Jean-Léon Gérôme; 11 мая 1824 года, Везуль, Верхняя Сона — 10 января 1904 года, Париж) — французский живописец и скульптор, представитель академизма и ориентализма, или «помпейского стиля». Писал картины разнообразного содержания, преимущественно изображающие быт античного мира и Востока; в конце жизни занимался также скульптурой, пластически реализуя образы своих картин. Получив известность в монархической Франции, вступил в оппозицию к движению импрессионистов и стал своего рода символом косности академического искусства. После кончины в 1904 году был практически забыт, его работы упоминались только в негативном аспекте. После возрождения интереса к салонно-академическому искусству в 1970-х годах признан классиком живописи XIX века, его работы хранятся в постоянной экспозиции крупнейших музеев мира. Ретроспективная выставка, отражающая особенности его искусства, открылась только в 2010 году.



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