Élève de Pierre-Joseph Gillet puis d'André-Jean Lebrun et de Christophe-Gabriel Allegrain, il fut, comme Charles Marin, un lauréat particulièrement tardif du grand prix de Rome. Il l'obtint en effet en 1801 avec un bas-relief Caïus Gracchus quittant sa femme Licinia. Après un séjour de sept ans à la villa Médicis, il fit ses débuts au Salon de 1810 avec une représentation de Psyché.
Le sculpteur François Rude se souvint de son buste d'Andromaque actuellement au musée du Louvre.
La Douleur, à la mémoire de Pierre Gareau, négociant, décédé à Paris le 30 août 1815, âgé de 49 ans. Sa veuve et ses six enfans lui consacrent ce monument.
Andromaque, buste, plâtre peint, (1800), Paris, musée du Louvre[3]
La Douleur[4] statue, marbre, pour la sépulture de Pierre Gareau négociant, Paris, cimetière du Père-Lachaise (vers 1816)
Hoche, général en chef (1758-1797), statue, marbre, (1808), Versailles, châteaux de Versailles et de Trianon
Simone Hoog, (préface de Jean-Pierre Babelon, avec la collaboration de Roland Brossard), Musée national de Versailles. Les sculptures. I- Le musée, Réunion des musées nationaux, Paris, 1993, p. 103
Voir aussi
Sources
Catalogue d'exposition, Skulptur aus dem Louvre. Sculptures françaises néo-classiques. 1760 - 1830, Paris, musée du Louvre, - , p.318
Emmanuel Schwartz, Les Sculptures de l'École des Beaux-Arts de Paris. Histoire, doctrines, catalogue, École nationale supérieure des Beaux-Arts, Paris, 2003, p.141
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