Il vit et travaille à Oulchy-le-Château[1], dans l’Aisne.
Biographie
Gérard Titus-Carmel étudie à l’école Boulle à Paris de 1958 à 1962. Il présente sa première exposition personnelle en 1964[2].
Il a réalisé des œuvres monumentales pour le ministère des Finances à Paris[3], la DRAC Champagne-Ardenne à Châlons-en-Champagne et le palais des congrès à Nantes.
Il a illustré nombre d’ouvrages de poètes et d’écrivains et a lui-même publié à ce jour une quarantaine de livres, essais et recueils de poésie[4].
Vie privée
Marié à Joan Titus-Carmel[5], une Américaine polyglotte (sept langues) traductrice de poésie japonaise[6], ils sont les parents du publicitaire Guillaume Titus-Carmel[7] et de Jeanne Titus-Carmel, principale de collège dans le Morbihan.
Prix
2014: Grand prix artistique de peinture de la Fondation Simone et Cino del Duca[8] (abritée depuis 2005 par l'Institut de France[9]).
Principales expositions
Gérard Titus-Carmel en 2002.
Il a officiellement représenté la France dans des manifestations internationales parmi lesquelles:
Biennale de Paris (1969),
Expo ’70 (Osaka, 1970),
Biennale d’Alexandrie (1972),
«Amsterdam-Paris-Düsseldorf» (Guggenheim Museum, New York, 1972),
Dokumenta VI (Cassel, 1977),
European Dialogue (Biennale de Sidney, 1979),
Biennale Internationale d’Arte (Venise, 1972 et 1984),
«Art en France: un siècle d’inventions» (Moscou, Leningrad, 1989),
«Art contemporain en France» (Exposition universelle de Séville, 1992),
Suite Grünewald (Collège des Bernardins, Paris, 2009).
Également graveur, il a participé aux biennales de Ljubljana, Cracovie, Tōkyō, Vienne, Grenchen, Biella, Bradford, Baden-Baden, Prague…, où des prix lui ont été décernés.
Expositions récentes
2015: Titus-Carmel/Le Gac/Meurice «Portrait chinois à trois voix», du au , galerie Univer/Colette Colla[10]
2017: «Soclé, cerclé», Peintures et Labyrinthes dans les tours de La Rochelle du au , Centre des monuments nationaux[11]
2019: « Inscape », du au , Espace Jacques Villeglé, Saint-Gratien[13].
Publications
Le Motif du fleuve, Saint-Clément-la-Rivière, Fata morgana, 1990.
Le huitième pli (ou le travail de beauté), préface d'Yves Bonnefoy, Éditions Galilée, 2013
Avec Yves Bonnefoy, Chemins ouvrant[14], préface de Marik Froidefond, avec une gravure originale de Gérard Titus-Carmel, Strasbourg, éditions L'Atelier contemporain, coll. « Écrits d'artistes », 2014.
Participation au n° 2 de la revue L’Atelier contemporain, « Que lisez-vous? », 2014.
Au Vif de la peinture, à l’ombre des mots, préface de Roland Recht, recueil complet des écrits sur l’art (1971-2015) de Gérard Titus-Carmel, Strasbourg, éditions L'Atelier contemporain, coll. « Écrits d'artistes », 2016.
Horizon d'attente, Saint Benoît du Sault, Tarabuste, 2019.
Michael Bishop, The Endless Theory of Days: The Art and Poetry of Gerard Titus-carmel, Amsterdam, Pays-Bas, Rodopi, , 164p. (ISBN978-90-420-2165-5, lire en ligne)
François-Marie Deyrolle, Daniel Abadie, Yoshio Abe Yoshio Abe et Jean-Louis Baudry, Le Geste et la Mémoire: Regards sur la peinture de Gérard Titus-Carmel, Chambéry, France, Éditions L'Act Mem, , 263p. (ISBN978-2-35513-001-4)
Dessins de Dominique De Beir et Gérard Titus-Carmel, revue Rehauts no37, printemps-été 2016 Revue présentée le 12 avril 2016 à la galerie Olivier Nouvellet, Paris.
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