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Georges Paul Leroux, né le et mort le , est un peintre français.

Georges Paul Leroux
Signature de Georges Leroux.
Naissance

Paris
Décès
(à 79 ans)
Meudon
Nationalité
Français
Activité
artiste peintre
Formation
École nationale supérieure des arts décoratifs
École nationale supérieure des beaux-arts
Maître
Léon Bonnat (1833-1922)
Distinctions
Prix de Rome en peinture de 1906
Chevalier de la Légion d'honneur
Croix de guerre 1914-1918
Membre de l’Institut de France Académie des beaux-arts (Institut de France)
Membre de l’Académie Méditerranéenne
Œuvres principales
Retour de vendange en Toscane, l'Enfer, Dans la grande Galerie du Louvre
Signature

Son frère aîné est le peintre et illustrateur Auguste Leroux (1871-1954), prix de Rome en peinture de 1906.


Biographie



Enfance et apprentissage


Georges Paul Leroux est né à Paris 6e le [1]. Son père, Gustave Ferdinand Leroux, normand de souche, éditeur d’estampes, s’était établi à Paris, au 43 rue Saint-André-des-Arts. La famille trouve ses racines dans les environs de Coutances (Manche), plus précisément dans le petit village de Trelly[2].

Attachés à leurs racines normandes, Georges et son frère Auguste viennent chaque année à Trelly et dans ses environs peindre et dessiner (Verger normand ; La Vallée de la Bonde)[3], (L'Église de Trelly) ; (Les Laveuses - Gavray - 1903), portraits de famille, , etc.

Après la Grande Guerre, Georges Leroux réalise une importante huile pour la mairie de Trelly (Aux Soldats du pays de mon père morts pour la France), en hommage aux Trelliais morts au combat.

En 1898, il effectue son service militaire à Chartres au 130e régiment d'infanterie. Durant ses permissions, il visite la ville et dessine fréquemment la cathédrale. Un jour, sur le parvis, il rencontre le peintre Paul Jouve (1878-1973). Ce fut le début d'une très longue et fidèle amitié[4].

De retour à Paris, il s'inscrit à l’École nationale supérieure des arts décoratifs, puis admis à l’École des beaux-arts de Paris, il entre à l'atelier de Léon Bonnat (1833-1922) et étudie la peinture et le dessin[5].

À l’École, il remporte mentions et médailles. Il remporte le second grand prix de Rome de 1904 (Hérode fait présenter à Salomé la tête de Saint Jean-Baptiste), puis le grand prix de Rome de 1906 avec La Famille dans l’Antiquité[6] - (conservé à l’École nationale supérieure des beaux-arts). C'est probablement à cette époque qu'il fait la connaissance d'Émile Aubry (1880-1964), qui devient par la suite son compagnon de guerre au 302e régiment d'infanterie.

Ses œuvres de jeunesse évoquent la vie parisienne : Le Concert rouge (1901), À la Gaîté Montparnasse (1905), Le Chansonnier Legay au cabaret - Les Noctambules (1906), Le Moulin de la Galette (1905), Le Cirque Zanfretta, , etc.). Pour l’Exposition universelle de 1900, il reçoit commande d’une affiche pour le Palais de l’Optique : La Grande Lunette de 1900.

Il part pour Rome où il est pensionnaire à la Villa Médicis[7] de à . Il conserve de ce séjour un profond attachement pour l'Italie. Il y retourne pratiquement chaque année pour y peindre la campagne romaine, la Toscane, l'Ombrie, Florence… Ses voyages le pousseront jusqu'en Sicile.


La Grande Guerre


C’est au 302e d’infanterie que Georges Leroux est mobilisé en 1914. Il servira dans le nord et l’est de la France, ainsi qu'en Belgique. Régiment de réserve de la région de Paris (rattaché au 102ème Régiment d'Infanterie), le 302e R.I. est mobilisé à Chartres du 2 au .

D'août à , il est affecté à la 54e Division d'Infanterie de réserve (3e Armée, Quartier Général à Verdun) avec laquelle il combat, du 20 au , dans la Meuse. Après la retraite de l'Armée française, il participe ensuite, du 6 au , à la bataille de la Marne.

En 1915, il combat dans la Meuse et en Argonne : en février et mars, dans le secteur des Éparges puis, en avril, on le retrouve tout près de là, dans le secteur de la Woëvre où il participe aux combats de Lamorville et Regnéville-sur-Meuse. Le régiment est dissous le .

Il sera ensuite affecté aux sections de camouflage (militaire) sous le commandement de Lucien-Victor Guirand de Scevola.

Au front, malgré les combats, il poursuit son travail d’artiste et ses dessins, gouaches et aquarelles publiées dès 1915 dans L'Illustration révèlent un tout autre aspect tragique et douloureux de son œuvre, à l’opposé des paysages édéniques de l’Italie. Sa participation active et courageuse aux combats lui vaut d'être l'objet de deux citations et de recevoir la Croix de Guerre.

La fin des conflits et le rétablissement de la paix ne feront pas oublier à l'artiste ces terribles années. En effet, après 1918, il se situe comme l'un des évocateurs les plus réalistes et les plus vrais des drames de la guerre et cette production guerrière et héroïque lui vaut une grande notoriété.


l'Institut


En 1924, il devient membre du jury de la Société des artistes français. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1926.

Il est élu membre de l’Institut de France le (fauteuil IV)[8],[9]. Il remplace Jean-Pierre Laurens (1875-1932).

En 1934, il est chargé de représenter l’Académie des beaux-arts au Canada pour le quatrième centenaire de la découverte du Canada par Jacques Cartier. Avant de regagner la France, il fait un cout séjour à New York.

En , il est nommé professeur de dessin d’imitation à l’École polytechnique. La même année, en , Georges Leroux est chargé de représenter l’Académie des beaux-arts aux Antilles, à la suite du président Albert Sarraut pour le troisième centenaire de la prise de possession des îles par Pierre Belain d'Esnambuc.

Il participe à L'Exposition spécialisée de 1937 qui se tient à Paris du au . Il réalise des peintures pour le Pavillon du Bois ainsi que pour celui de l'Art français.

En 1940, l’École polytechnique s’étant repliée sur Lyon, il s’installe dans la banlieue lyonnaise. Il revient à Paris en 1943.

En 1945, Georges Leroux devient président de l’Institut[10]. (Emmanuel Pontremoli souvent absent, est remplacé dans la pratique par Georges Leroux).

Il achète alors une maison à Meudon. Il y restera jusqu'à la fin de ses jours. Il peint les environs de Meudon, beaucoup de natures mortes (Bouquet de roses, Capucines, etc.).

En 1951, il retourne une dernière fois en Italie. Comme le note Nicolas Untersteller dans l'oraison funèbre du peintre : « en 1951, la nostalgie de l'Italie l'emporte et il repart encore pour Rome ; le fruit de son travail décore le salon de l'ambassade d'Italie à Paris[11] ».

Son frère, Auguste, meurt le . Georges collabore à la rétrospective Auguste Leroux organisée au Grand Palais du 21 mai au 12 juin 1955[12].

En 1956, il reçoit des mains de l’Ambassadeur d’Italie à Paris, les insignes de Commandeur de l’Ordre "Al Merito Della Republica".

Georges Leroux s'éteint à Paris 14e le . Ses funérailles ont lieu en l'église Saint-Germain-des-Prés à Paris et son oraison funèbre est prononcée par Nicolas Untersteller, président de l'Institut. Il repose dans la partie haute du cimetière de Jouy-en-Josas[13]. Sa sépulture est ornée de son portrait en médaillon en bronze par le sculpteur Louis Prost[14].

Georges Cheyssial succède à Georges Leroux à l’Institut de France et prononce lors de son discours d’investiture, un hommage à l’artiste disparu[15].


Vie familiale


Il se marie avec Gabrielle Mathilde Planquais dite « Gilson », à Meudon, le . Ils n'auront pas d'enfants.


Œuvres



Peintures


Il est mobilisé au 302e d’infanterie.


Dessins



Illustrations


Georges Leroux a notamment illustré :


Affiches



Œuvres décoratives



Expositions



Collections publiques



Notes et références


  1. Archives numérisées de l'état civil de Paris, acte de naissance no 6/1850/1877, avec mention marginale du mariage et du décès (consulté le 29 mai 2012)
  2. Trelly et Saint-Louet-sur-Sienne depuis 1060 jusqu'à nos jours par L. Adam, curé de Trelly, Paris, A. Breger Frères - 1898 - p. 164 et 165
  3. Fonds de peinture de la ville d'Equeurdreville-Hainneville
  4. En 1946, Georges Leroux fera de son ami un portrait, conservé à l'Institut de France.
  5. Voir son Cincinnatus sur le site Cat'zArts de l'École des beaux-arts de Paris
  6. Voir notice et photographie : sur le site Cat'zArts de l'École des beaux-arts de Paris
  7. (fr) « Résidents de la Villa Médicis à Rome », sur www.villamedici.it
  8. Voir : Photographies de Georges Leroux en membre de l'Institut sur le site RMN
  9. Voir :Photographie de Georges Leroux en membre de l'Institut sur le site RMN
  10. Voir : année 1945, sur le site de l'Institut de France
  11. Funérailles de M. Georges Leroux en l'église Saint-Germain-des-Prés- Discours de M. Nicolas Untersteller, p. 6 Paris, 1957, Institut de France, Firmin-Didot;
  12. Société des artistes français – Exposition rétrospective, quelques œuvres du peintre Auguste Leroux [Texte imprimé] : Salon 1955, du 21 mai au 12 juin. Catalogue. Grand Palais des Champs-Élysées. [J. M. Auguste Leroux, avant-propos de Claude Grange.]
  13. Photo de son tombeau et du médaillon sur le site du cimetière de Jouy-en-Josas
  14. Bas-relief de Louis Prost sur la base Mérimée du Ministère de la Culture ]
  15. Académie des beaux-arts (France), notice sur la vie et les travaux de Georges Leroux (1877-1957) / par M. Georges Cheyssial, Paris : Typ. de Firmin-Didot, 1958, 8 p..
  16. Exposition : Saint-Denis, Musée d'Art et d'Histoire, Salomé dans les collections françaises, 1989, no 54 - (reproduit dans le catalogue de l'exposition)
  17. Tome II "Les Collections du XXe siècle du musée départemental de Beauvais ; Historique : Cf. supra. Inv 81.2. Bibliographie : Gazette des beaux-arts, no 1358, mars 1982 (Chronique des arts, p. 81)
  18. reproduit dans L'Illustration du 30 avril 1910 - no 3505
  19. Voir notice et reproduction : Notice de La Promenade du Pincio à Rome sur le site RMN
  20. Voir notice et reproduction : Notice de "Le Dîner dans une villa romaine" (Villa Médicis) sur le site RMN
  21. Tableau reproduit en pleine page dans la revue Les Arts no 126 - juin 1912
  22. Voir notice et reproduction : Notice de Paysage italien, Tivoli sur le site RMN
  23. Voir notice et reproduction : Notice de "Le Bois sacré, campagne roumaine" sur le site RMN
  24. Voir notice et reproduction : Notice de " Le grand bassin au jardin du Luxembourg" sur le site RMN
  25. Voir notice et reproduction : Notice de " Les Vainqueurs" sur le site RMN
  26. reproduit dans L'Illustration du 24 mai 1919 - no 3977
  27. Voir notice et reproduction : Notice de " Au bord du cratère du Vésuve" sur le site RMN
  28. Notice de la base Joconde
  29. Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes : [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80 p.
  30. reproduit dans l'ouvrage de Béatrice Fontanel et Loïc Le Gall (Album - 10 mars 2006) : Le Aragon ; p. 25, (ISBN 2740419651) et (ISBN 978-2740419656)
  31. Voir reproduction et commentaire : la couleur des larmes les peintres dans la grande guerre
  32. reproduit dans L'Illustration du 13 mai 1922 - no 4122
  33. reproduit dans L'Illustration du 12 mai 1923 - no 4184
  34. "... qui ne représente rien moins que le tableau de la Victoire et le portrait d'une armée" - Louis Gillet - Le Gaulois (France) mai 1924
  35. reproduit dans L'Illustration du 12 mai 1928 - no 4445
  36. Antonin Brocard par Pierre Brocard, Éditions Atout Livres, octobre 2008 - (ISBN 978-2918023005)
  37. voir photo sur le site de l'École nationale supérieure de chimie de Paris :
  38. reproduit dans L'Illustration du 9 mai 1931 - no 4601
  39. Ouvrage L’Ambassade d’Italie à Paris - Hôtel de La Rochefoucauld-Doudeauville - auteurs : Erminia Gentile Ortona - Maria Teresa Caracciolo - Mario Tavella - Patrizia Mussa - Éditions Skira, 2009. (ISBN 978-8857201085) ; Article de Jacques Foucart p. 188 et 189. Tableau reproduit p. 190 et 191 (double page en couleur)
  40. Pierre Quarré et Monique Geiger : Musée des beaux-arts de Dijon. Catalogue des peintures Françaises, Dijon, 1968
  41. dernière étude du panneau avant exécution définitive : collection particulière
  42. le panneau définitif dans la salle du restaurant : sur un site consacré aux Messageries maritimes
  43. le panneau central est reproduit dans L'Illustration du 13 mai 1933 - no 4706
  44. panneau dans le fumoir du paquebot: sur un site consacré aux Messageries maritimes
  45. reproduit dans L'Illustration du 11 mai 1935 - no 4810
  46. Reproduit dans L'Illustration 14 mai 1938 - no 4967
  47. reproduit dans l'ouvrage de Béatrice Fontanel et Loïc Le Gall (Album - 10 mars 2006) : Le Aragon ; p. 15 (ISBN 2740419651) et (ISBN 978-2740419656)
  48. Laurent Gervereau, Claire Constans, Collectif : Le Musée révélé : L'histoire de France au Château de Versailles, Robert Laffont (30 septembre 2005) ; (ISBN 2221102959) et (ISBN 978-2286017262) reproduit p. 145 ; courte analyse p. 133
  49. Jérémie Benoit, site : l'Histoire par l'image, RMN, analyse du tableau de Georges Paul Leroux, Aux Eparges, soldats enterrant leurs camarades au clair de lune. Avril 1915.
  50. reproduit et commenté dans : La Peinture des XIXe et XXe siècles par Madeleine Vincent. , catalogue du Musée des Beaux-Arts de Lyon - 1956
  51. reproduit dans L'Illustration du 10 mai 1941 - no 5122 Le Salon de printemps à Lyon
  52. Historique sur la base Joconde du Ministère de la Culture : L'Annonciation, pour laquelle le musée Rolin conserve 3 projets préparatoires (deux études pour l'ensemble, une pour la Vierge) rassemble deux genres fréquemment traités par l'artiste: la scène mystique et le paysage. Très marqué par la grande guerre, Leroux a produit de nombreuses scènes mystiques comme "Les Pèlerins d'Emmaüs" (Musée de St Quentin); de même les paysages méditerranéens lui ont inspiré de nombreuses toiles où l'on retrouve un rendu de la végétation, notamment des cyprès, et des constructions, analogue à celui de ce tableau. On remarquera le goût du peintre pour les aplats de couleurs dérivés de l'esthétique nabi qu'il adopte au contact de Maurice Denis ; Version finale des 3 esquisses possédées par le musée Rolin (H.V. 416, 417 et 418)
  53. reproduit dans la Biographie de Charles Terrasse : Paul Jouve, Éditions du Livre de Plantin, 1948.
  54. reproduit dans l'ouvrage de Félix Marcilhac, "Paul Jouve" page 276 - Les Éditions de l'amateur, 2005. (ISBN 978-2-85917-409-5) et (ISBN 2859174095).
  55. peinture faisant la couverture du livre de Béatrice Fontanel L’odyssée des musées, Éditions de La Martinière, 10/2007 (ISBN 2732436550) et (ISBN 978-2732436555)
  56. Pierre Fresnault-Deruelle, « Photographie peinte », Musée critique de la Sorbonne, analyse du tableau de Georges Paul Leroux, Dans la Grande Galerie du Louvre
  57. Ouvrage L’Ambassade d’Italie à Paris - Hôtel de La Rochefoucauld-Doudeauville - auteurs : Erminia Gentile Ortona - Maria Teresa Caracciolo - Mario Tavella - Patrizia Mussa - Éditions Skira, 2009 (ISBN 978-8857201085). Article de Jacques Foucart p. 192. Tableau reproduit p. 193 (en couleur)
  58. reproduit dans l'ouvrage de Félix Marcilhac, "Paul Jouve" page 24 - Les Éditions de l'amateur, 2005 (ISBN 978-2-85917-409-5) et (ISBN 2859174095).
  59. Paul Ziégler :le Figaro Illustré: numéro spécial [Rome], no 216, mars 1908
  60. voir sur le site du Musée Pasteur : et
  61. « Etudes classiques de la peinture », sur Cat'zArts
  62. Emmanuelle Brugerolles (dir.), Le dessin en partage, Beaux-Arts de Paris éditions, (ISBN 978-2-84056-347-1), p. 107
  63. Bridgeman - la Grande Lunette de 1900 la Grande Lunette de 1900
  64. consulter le catalogue Byrrh l'Affiche Imaginaire - Réjane Bargiel (Conservateur du Musée de la Publicité), 1992, PERNOD S.A. mécénat.
  65. Voir notice et reproduction : Notice de "Projet d'affiche pour armes et sports" sur le site RMN
  66. voir la fiche détaillée : sur le site du Ministère de la Culture
  67. Jean Ajalbert : Les peintres de la Manufacture Nationale de Tapisseries de Beauvais. Georges-Paul Leroux, Madeleine Luka. - Louise Pascalis. - Jean Camille Bellaigue. - Eric Bagge. - Jean Lurçat. - Louis Valtat. - Ch. A. Edelmann. - Achille Laugé ; Paris : Eug. Rey, 1933 ;
  68. Catalogue d’exposition : Elégance et modernité : 1908-1958 : Un renouveau à la française page 18 ; Olivier Kaeppelin (Auteur), Yves Badetz (Auteur), Marie-Hélène Massé-Bersani (Auteur), Collectif (Auteur), Bernard Schotter (Préface); Éditeur : RMN (20 mai 2009) (ISBN 2711856100) et (ISBN 978-2711856107)
  69. Exposition "Beauvais, les années 25" - 1992 - Galerie nationale de tapisserie à Beauvais (catalogue par Chantal Gastinel-Coural, reprod. no 22. (ISBN 2868950361)
  70. Catalogue d'exposition : Exposition Georges Leroux. Paysages d'Italie et de Sicile : Du 8 au 22 janvier 1913 - Préface d' Henry Bérenger - Exposition. Paris. Galerie Devambez. 1913 [Paris] : Galerie Devambez, [s. d. ?] 8 p. ; 16
  71. voir Catalogue Exposition : Première Exposition Des Artistes Français Du Groupe De l'Erable. Preface De Pul Gsell. Paris, 1924, petit in-4, 116 pages, 28 reproductions. Paris, Impr. par Louis Kaldor
  72. Catalogue d'exposition : Exposition. Paris. Galerie Adolphe Le Goupy. 1924 - Georges Leroux par Louis Hautecœur Dessins aquarelles et peintures par Georges Leroux : exposition à partir du 14 mai 1924, Chez Le Goupy, Bd de la Madeleine.
  73. Lire sur cette exposition la critique de R.Chantereine dans Le Figaro - supplément artistique du 15 mars 1928 no 185, p. 345
  74. Texte critique de M. Gérard Morisset paru dans : L'Ordre, Montréal, 11 mai 1935, p. 6 - mis en ligne le 30 janvier 2003, par Robert Derome Texte critique de M. Gérard Morisset paru dans : L'Ordre, Montréal
  75. Plaquette de l'exposition très bien documentée par Mme Lecuyer-Champagne (conservateur du Musée du Château Saint-Jean à Nogent-le-Rotrou)
  76. sur le site du Musée d’Art Moderne de Rome
  77. Galleria d'arte moderna di Roma capitale. Artisti dell'Ottocento temi e riscoperte, par Cinzia Virno, Éditeur : De Luca Editori d'Arte (1er octobre 2014)- (ISBN 8865572094) et (ISBN 978-8865572092)
  78. //www.chartres.fr/sortir-a-chartres/culture/musee-des-beaux-arts/expositions-temporaires/georges-leroux
  79. Les collections du XXe siècle du musée départemental de l’Oise - Tome II - « De Thomas Couture à Maurice Denis » - p. 159, 160, 161 et 162 Editions d'Art Monelle Hayot - (ISBN 2-903824-29-0)
  80. ces 120 portraits sont tous reproduits dans : Le Tableau d'honneur de la grande guerre, tome 3, Éditeur : Archives & culture (1er juillet 2002) - (ISBN 2-911665-57-0) et (ISBN 978-2-911665-57-8)
  81. David Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord : peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, Québec, Presses de l’Université de Laval, , 962 p. (ISBN 2-7637-7235-8 et 9782763772356, lire en ligne), p. 505
  82. dans la collection en ligne du Centre Pompidou sur le site du musée national d’art moderne
  83. Notice de la base Joconde
  84. Notice de la base Joconde
  85. Notice de la base Joconde
  86. Notice de la base Joconde
  87. Notice de la base Joconde
  88. Notice de la base Joconde
  89. Notice de la base Joconde

Annexes



Bibliographie



Liens externes



На других языках


[de] Georges Paul Leroux

Georges Paul Leroux (* 3. August 1877 in Paris; † 16. Februar 1957 in Meudon) war ein französischer Maler.
- [fr] Georges Paul Leroux



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