Jacob Levecq naît en à Dordrecht dans les Provinces-Unies[1]. Jacob Levecq bénéficie d'un héritage à la mort de ses parents, qu'il utilise pour prendre soin de lui-même, de ses deux sœurs non mariées et de son demi-frère aveugle[2].
Il devient actif comme peintre à Amsterdam en 1653, où il devient l'élève de Rembrandt[1]. Il adopte son style au point que plusieurs de ses tableaux ont été attribués à Rembrandt[3].
En 1655, il revient s'installer à Dordrecht[1] où il intègre la guilde de Saint-Luc[3].
Après 1660, séjourne un temps à Paris[3] puis à Sedan, en France, où il peint des portraits: Jacob Levecq aurait, selon Arnold Houbraken réalisé le portrait d'un ecclésiaste après que ce dernier n'a pas été satisfait de celui que lui avait fait Antoine Van Dyck[4].
À son retour à Dordrecht en 1655, il devient un portraitiste à la manière de Jan de Baen[2].
Il prend Arnold Houbraken comme élève lors des derniers mois de sa vie[1]. Ce dernier ne se rappelle pas, lorsqu'il rédige la notice de Levecq dans Le Grand Théâtre des peintres néerlandais, le style de Levecq, celui-ci étant la plupart du temps malade et ne peignait plus de façon active[2].
Il meurt en et est enterré le [1]. Houbraken hérite d'un tiers des estampes de sa collection, mais regrette qu'il était alors trop jeune pour les apprécier à leur juste valeur: en effet, il ne prend que celles de Lucas van Leyden et Albrecht Dürer, et délaisse les estampes de maîtres français à d'autres, même s'il était ravi d'en avoir conservé une de Charles le Brun[2].
Œuvre
Portrait de Mattheus Eliasz van den Broucke (1665)
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