Jean-Michel Othoniel, né le à Saint-Étienne en France[1], est un artiste sculpteur. Il vit et travaille à Paris.
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Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le au fauteuil no5 en remplacement d'Eugène Dodeigne (1923-2015)[2].
Biographie
Né en 1964, il est diplômé de l'École nationale supérieure d'arts de Cergy-Pontoise en 1988. Sa notoriété commence par ses œuvres exposées à la documenta de Cassel en 1992, des sculptures en soufre. Il privilégie les matériaux aux propriétés réversibles, par goût pour les métamorphoses, sublimations et transmutations[3],[4].
En 1992, lors d'un voyage sur les îles Éoliennes pour voir du soufre natif, un volcanologue lui explique l'obsidienne, le verre naturel des volcans en lui précisant que celui qui arriverait à faire fondre de la pierre ponce en obtiendrait de l'obsidienne. Revenu en France, Jean-Michel Othoniel coopère avec le «centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques» (cirva) pendant deux années de recherches[5].
À partir de 1993, il introduit le verre dans son travail et en expérimente les propriétés; transformations, mutations de la matière et passages d’un état à un autre font écho à un autre rite fondamental dans l’œuvre de l’artiste, celui du voyage et du souvenir. Il participe en 1994 à l’exposition «Féminin/Masculin» au Centre Pompidou. En 1996, la villa Médicis à Rome l'accueille en tant qu'artiste pensionnaire[6].
En 1997, il crée Le Collier Cicatrice, petit collier de verre rouge qu’il offre à qui veut le porter avec fierté[7]. En 1996, il suspend des colliers de géants dans les bambous du jardin de la villa Médicis, puis aux arbres du jardin vénitien de la collection Peggy Guggenheim (1997), ainsi qu’à l’Alhambra et au Généralife, à Grenade (1999)[6].
En 2000, un siècle après Hector Guimard, Jean-Michel Othoniel transforme, dans le cadre de sa première commande publique, la station de métro parisienne, Palais Royal-Musée du Louvre, en Kiosque des noctambules[6]; deux couronnes de verre et d’aluminium dissimulent un banc destiné aux rencontres fortuites dans la ville[8].
À l'occasion de l’exposition «Crystal Palace» à la Fondation Cartier pour l'art contemporain à Paris en 2003 et au musée d’art contemporain de North Miami en 2004, il fait réaliser à Venise et au Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques de Marseille (cirva) des formes de verre soufflé, destinées à devenir d’énigmatiques sculptures, entre bijoux, architectures et objets érotiques.
Fin 2004, Le Petit Théâtre de Peau d’Âne[9] est présenté sur la scène du Théâtre de la Ville de Rochefort puis au théâtre du Châtelet à Paris. C’est une installation composée de quatre dressoirs de bois laqué, de trente-cinq maquettes en verre filé, d’autant de globes et d’énormes vertugadins brodés d’or et de paillettes. L’artiste, qui a retrouvé dans la maison de Pierre Loti les petites marionnettes fragiles de l’enfance du célèbre écrivain français, leur offre ici son œuvre comme décor.
La même année, Othoniel investit les salles mésopotamiennes du musée du Louvre[6] dans le cadre de l’exposition «Contrepoint». Ses sculptures monumentales de verre et d’aluminium, réalisées spécialement pour l’histoire des lieux, prennent là une dimension calme et intemporelle. La grande Rivière Blanche aux perles constellées de pointes de seins a été acquise par le musée d'art moderne de la ville de Paris en 2004. À l’occasion de Art Unlimited 2005, il expose Le Bateau de larmes dans le bassin situé devant l’entrée de Art Basel. L’artiste, dont le travail lie souvent l’intime au politique, a récupéré et utilisé une barque abandonnée par des boat-people cubains sur les plages de Miami. Une couronne, des chaînes et des colliers, tous de verre coloré, se transforment en leurs extrémités en d’énormes larmes de cristal limpide.
En 2006, il propose Peggy’s Necklace, un monumental collier de verre bleu sur la façade de la collection Peggy Guggenheim à Venise. Puis en 2008 et 2009, il expose à la galerie Perrotin à Paris, chez Sikkema Jenkins & Co à New York ainsi qu'à la galerie Karsten Greve de Cologne et Saint-Moritz.
Kin no Kokoro, Tokyo, 2013.
«My Way», la première rétrospective qui lui est consacrée, est présentée en 2011 au Centre Pompidou à Paris[8] et au Plateau / Samsung Museum of Art à Séoul, puis en 2012 au musée d'art contemporain de Hara à Tokyo, au Macao Museum of Art à Macao et enfin au Brooklyn Museum à New York[10].
En 2012, une invitation du musée Delacroix à Paris lui permet de dialoguer avec ce lieu chargé d’histoire à travers une série de sculptures inspirées de l’architecture des fleurs et de planches de son Herbier Merveilleux. Au printemps 2013, le Mori Art Museum de Tokyo lui commande, pour son 10eanniversaire, Kin no Kokoro, une œuvre monumentale installée de façon pérenne dans le jardin japonais Mohri Garden.
Les Belles Danses, Versailles, 2015.
Pour l'aménagement des Rives de Saône[Note 1], l'artiste a imaginé sur l'ancienne écluse de Caluire un belvédère constitué de perles de verre coloré qui répond à des lanternes installées sur l'île Barbe. L’œuvre a été inaugurée en .
Dans le cadre d'une nouvelle commande publique, il investit le parvis de l'hôtel-Dieu du Puy-en-Velay en 2014 et crée une sculpture monumentale, conçue spécifiquement pour ce lieu, Le Cœur de l'hôtel-Dieu. En , Jean-Michel Othoniel inaugure «Secret Flower Sculptures» au musée Isabella Stewart Gardner, à Boston. Cette exposition voyage ensuite, à l’automne, à San Francisco. En à Versailles, l'artiste dévoile Les Belles Danses[8], trois sculptures fontaines installées sur les bassins du nouveau bosquet du Théâtre d’Eau réaménagé par le paysagiste Louis Benech.
En septembre 2016, Jean-Michel Othoniel dévoile une œuvre d'art totale et monumentale, Le Trésor de la Cathédrale d'Angoulême, sur laquelle il a travaillé pendant plus de huit ans.[11]
C'est en 2018 qu'il réalise Alfa pour le Nouveau Musée national du Qatar, conçu par l'architecte Jean Nouvel, un projet conçu à l'échelle monumentale du bâtiment. L'œuvre comprend 114 sculptures fontaines dont les jets d'eau évoquent les formes fluides de la calligraphie arabe [12].
En 2019, Jean-Michel Othoniel expose au Musée du Louvre une nouvelle série de peintures spécialement créées pour les 30 ans de la pyramide sur les murs de la cour Puget, que le musée décide de faire rentrer dans ses collections de façon pérenne l'année suivante[13].
En 2021, le Petit Palais invite l'artiste à investir le jardin et les salles des collections permanentes afin de présenter une exposition jouant avec l'architecture du lieu. Avec Le Théorème de Narcisse, il offre un parcours d'émerveillement au visiteur. Au même moment, Jean-Michel Othoniel inaugure sa Tour d'Or Blanc, à Amboise, nouvelle œuvre d'art publique, réalisée en collaboration avec les vignerons de la Loire. L'année 2021 est également marquée par son installation officielle à l'Académie des beaux-arts (France), qui s'attache à promouvoir et encourager la création artistique et veiller à la défense du patrimoine culturel français.[14]
1988: FIAC, galerie Antoine Candau, Grand Palais, Paris;
1989: À travers le grand vide critique, Galerie Antoine Candau, Paris.
1990:
Das Lapidarium, Künstlerhaus Bethanien, Berlin;
Jean-Michel Othoniel, Institut français de Naples, Naples;
Othoniel, Galerie Ghislaine Hussenot, Paris.
1991: ¡ Capotes!, Centre d’édition contemporaine, Genève.
1992:
Le Ballet immobile, installation pour Rideaux ou les trois jours de décembre, La Ferme du Buisson, Marne-la-Vallée;
(Trois étoiles) passe au fumoir, Galerie Ghislaine Hussenot, Paris;
Portrait du torero mort, Carré d’art, Musée d’art contemporain de la Ville de Nîmes, Galerie des Arènes, Nîmes.
1993:
L'Hermaphrodite, Musée d'Art moderne de Saint-Étienne métropole, Saint-Étienne;
Autoretrato morboso, Museu d’Història de la medicina de Catalunya, Barcelone;
Jean-Michel Othoniel, Galería Senda, Barcelone;
Jean-Michel Othoniel. Œuvres récentes, Michael Kohn Gallery, Los Angeles;
Shooting Gallery, Nicole Klagsbrun Gallery, New York.
1994:
Le Jaune de Soufre, Galerie d'art de Mourenx, Mourenx;
Il était beau comme la rencontre fortuite d'un parapluie et d'une machine à coudre sur une table de dissection, (film-performance), ARC, Musée d'art moderne de la Ville de Paris.
1995:
Le Ballet de l’Innommable [performance], Les Soirées Nomades, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris;
Les Innommables, Galerie Ghislaine Hussenot, Paris;
My Beautiful Closet [installation-performance], "Féminin-Masculin, le sexe de l’art", Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris;
Œuvres récentes, Michael Kohn Gallery, Los Angeles;
Le Ballet de l’Innommable, Proton ICA, Amsterdam;
Scratch and Tits Paintings, Galerie Barbara Farber, Amsterdam;
The Gramercy International Art Fair, Galerie Ghislaine Hussenot, Gramercy Park Hotel, New York.
1996:
Jean-Michel Othoniel, Villa Médicis, Prix de Rome, Rome;
The Wishing Wall, Galerie Arndt & Partner, Berlin.
1997:
Œuvres récentes, Musée des Arts Décoratifs, Paris;
[1995]Marie-Laure Bernadac et Bernard Marcadé, Féminin masculin: le sexe de l'art, Paris, Editions du Centre Pompidou / Gallimard-Electa, , 400p. (ISBN2-85850-827-5).
[2002]Jacques Beauffet et Emilio Flores Siller, Othoniel, Lágrimas, Saint-Étienne/Monterrey, Musée d'art moderne de Saint-Étienne/Galeria del Museu Vidrio de Monterrey, , 18p.
[2004](fr + en) Collectif, Le Petit Théâtre de Peau d’Âne, Pierre Loti/Jean-Michel Othoniel, Rochefort-sur-Mer, Mairie de Rochefort-sur-Mer, .
[2004]Marie-Laure Bernadac, Henri Loyrette et Francis Mayer, Contrepoint, L'art contemporain au Louvrel, Paris, Connaissance des arts, Hors-série, .
[2005]Jean-Michel Othoniel, Le Petit Théâtre de Peau d’Âne, Pierre Loti/Jean-Michel Othoniel, Arles, Mairie de Rochefort-sur-Mer, , 127p. (ISBN978-2-9508943-2-8).
[2006]Laurent Boudier, Ma bibliothèque, Paris, Héritage Architectural, , 40p. (ISBN2-915096-08-2).
[2007]Françoise Guichon et Mona Thomas, L'artiste, l'atelier, le verre, Tacoma, Editions Xavier Barral, CIRVA, , 246p. (ISBN978-2-915173-14-7).
[2007]Laurent Le Bon et Marcel Tavé, Quinette à Ankara, Ankara, Ministère des Affaires Etrangères/Ambassade de France à Ankara Turquie/Institut Français d'Ankara, .
[2007](tr + en) Collectif, Le Petit Théâtre de Peau d'Âne: Pierre Loti/Jean-Michel Othoniel, Istanbul, .
[2007]Juli Cho Bailer, Mining Glass, Tacoma, Museum of Glass, , 36p. (ISBN978-0-9726649-3-6).
[2008]Jean-Michel Othoniel, L'édredon cellulique, Mouzon, Musée du Feutre, Mouzon, , 40p. (ISBN978-2-914882-07-1 et 2-914882-07-6).
[2008]Jean-Michel Othoniel, L'Herbier Merveilleux: Notes sur le sens caché des fleurs dans la peinture, Arles, Actes Sud, coll.«Arts plastiques», , 144p. (ISBN978-2-7427-7622-1).
[2009]Jean-Michel Othoniel, Les Nœuds de Janus, Paris, Éditions Dilecta, , 24p. (ISBN978-2-916275-60-4).
[2009]Bernard Marcadé (trad.Sandra Reid, ill.Jean-Michel Othoniel), Un cœur abstrait, Arles, Actes Sud & The Monaco Project for the Arts/Othoniel Studio, coll.«Arts plastiques», , 142p. (ISBN978-2-7427-8453-0).
[2010] Jean-Michel Othoniel, Why Glass?, Paris, Éditions Jannink, 2010, accompagné d’un miroir en obsidienne, 48 p. (ISBN978-2-916067-44-5). Édition courante sans l’œuvre (ISBN978-2-916067-45-2).
[2010]Catherinel Grenier, Othoniel: ouvrage accompagnant l'exposition… présentée au Centre Pompidou, [Paris], Galeries du Musée et Galerie des enfants, du 3 mars au 23 mai 2011, au Leeum Samsung Museum of art, Séoul, Corée du Sud, à l'été 2011, au Hara Museum of contemporary art, Tokyo, Japon, à l'automne 2011, et au Brooklyn Museum, New York, États-Unis, au printemps 2012, Paris, Centre Pompidou, , 258p. (ISBN978-2-84426-459-6).
[2011]Jean-Michel Othoniel, Comme à l’atelier, Paris, Centre Pompidou, , 19p. (ISBN978-2-84426-498-5).
[2011]Jean-Michel Othoniel et Marie Desplechin, Mon petit théâtre de Peau d'Âne, Paris, Editions courtes et longues, , 72p. (ISBN978-2-35290-075-7).
Pépite du Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil: Pépite du livre d’art (création francophone) 2011[18].
[2011](en) Collectif, Paris-Delhi-Bombay… l’exposition, Paris, Centre Pompidou, , 60p. (ISBN978-2-84426-527-2).
[2011]Sophie Duplaix, Paris-Delhi-Bombay…, Paris, Centre Pompidou, , 364p. (ISBN978-2-84426-526-5).
[2012]Sim Eunlog, L'île dans ma tête, Séoul, Jaimimage, , 50p. (ISBN978-89-86565-63-8).
[2012]Christophe Leribault, Delacroix, Othoniel, Creten. Des fleurs en hiver, Paris, Le Passage/Musée du Louvre, , 159p. (ISBN978-2-84742-199-6).
[2013]Fumio Nanjo, All you need is love, Mori Art Museum, Japon, Heibonsha Ltd. Publishers, , 212p. (ISBN978-4-582-20671-5).
[2013]Rosa Barovier Mentasti et Cristina Tonini, Fragile, Murano, chefs-d'œuvre de verre de la Renaissance au XXIesiècle, Paris, Edition Gallimard, , 228p. (ISBN978-2-07-014060-2).
[2013]Ashok Adicéam, Rêves de Venise, Bordeaux, Édition Institut Culturel Bernard Magrez, , 90p.
[2013]Sylvie Mallet, Dinard, l'Amour Atomique, Dinard, Production de la ville de Dinard, , 155p.
[2013] Christian Lacroix, Mon île de Montmajour, Arles, Actes Sud, 2013, 114 p.
[2013]Yves Sabourin, Tresses 13, La Terrasse sur Dorlay, Editions lyrics 21 / nonpareilles, (ISBN979-10-90248-03-8).
[2013] Dominique Janvier, La Pionnière, revue, no3, Paris, La Pionnière, 2013, 56 p. (ISBN2-908092-63-8).
[2013] Collectif, Trésors de Beisson, Marc Couturier - Jean-Michel Othoniel, Aix-en-Provence/Paris, Musée Granet & Beaux-Arts de Paris, 2013, 182 p.
[2015] Marie Desplechin, œuvres de Jean-Michel Othoniel, Les Belles Danses, Éditions Courtes et longues, 2015.
[2015] Jean-Michel Othoniel, Herbier merveilleux, Paris, Co édition Actes Sud / musée Isabella Stewart Gardner, 2015, 192 p.
[2016]Jean-Michel Othoniel, Le Trésor de la cathédrale d'Angoulême, Paris, a.p.r.e.s éditions, 2016, 144 p. et DVD du film Le Trésor d'Angoulême de Gilles Coudert et Damien Faure (a.p.r.e.s production / 52min).
[2017] (fr + en) Othoniel, Édouard Aujaleu, Nicole Kerangueven, Numa Hambursin (Commissaire d'exposition) et al., Carré Sainte-Anne (Montpellier), Géométries amoureuses - Se collectionner soi-même, 1992-2016, le verre, vol.2, Paris, Lienart éditions, , n.p.-31, 24 cm (ISBN978-2-35906-205-2 et 2-35906-205-0, OCLC1003643625, SUDOC20379995X, présentation en ligne).
[2019] Jean-Michel Othoniel, L'Herbier merveilleux. Notes sur le sens caché des fleurs du Louvre, Paris, Co édition Actes Sud / musée du Louvre, 2019, 208 p.
[2019] Gay Gassmann, Catherine Grenier, Robert Storr, Jean-Michel Othoniel, Paris, Phaidon, 2019, 160 p.
[2020] Jean-Michel Othoniel, Le Théorème de Narcisse, Paris, Co-édition Actes Sud / Perrotin, 2020, 64 p.(ISBN978-2-330-15645-9)
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