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Jean-Michel Othoniel, né le à Saint-Étienne en France[1], est un artiste sculpteur. Il vit et travaille à Paris.

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Jean-Michel Othoniel
Jean-Michel Othoniel à Versailles.
Biographie
Naissance
(58 ans)
Saint-Étienne
Nationalité
Française
Activités
Sculpteur, graveur
Autres informations
Membre de
Académie des beaux-arts
Représenté par
Galerie Emmanuel Perrotin (d)
Site web
Distinction
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()
Œuvres principales
Le Kiosque des noctambules

Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le au fauteuil no 5 en remplacement d'Eugène Dodeigne (1923-2015)[2].


Biographie


Né en 1964, il est diplômé de l'École nationale supérieure d'arts de Cergy-Pontoise en 1988. Sa notoriété commence par ses œuvres exposées à la documenta de Cassel en 1992, des sculptures en soufre. Il privilégie les matériaux aux propriétés réversibles, par goût pour les métamorphoses, sublimations et transmutations[3],[4].

En 1992, lors d'un voyage sur les îles Éoliennes pour voir du soufre natif, un volcanologue lui explique l'obsidienne, le verre naturel des volcans en lui précisant que celui qui arriverait à faire fondre de la pierre ponce en obtiendrait de l'obsidienne. Revenu en France, Jean-Michel Othoniel coopère avec le «centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques» (cirva) pendant deux années de recherches[5].

À partir de 1993, il introduit le verre dans son travail et en expérimente les propriétés; transformations, mutations de la matière et passages d’un état à un autre font écho à un autre rite fondamental dans l’œuvre de l’artiste, celui du voyage et du souvenir. Il participe en 1994 à l’exposition «Féminin/Masculin» au Centre Pompidou. En 1996, la villa Médicis à Rome l'accueille en tant qu'artiste pensionnaire[6].

En 1997, il crée Le Collier Cicatrice, petit collier de verre rouge qu’il offre à qui veut le porter avec fierté[7]. En 1996, il suspend des colliers de géants dans les bambous du jardin de la villa Médicis, puis aux arbres du jardin vénitien de la collection Peggy Guggenheim (1997), ainsi qu’à l’Alhambra et au Généralife, à Grenade (1999)[6].

En 2000, un siècle après Hector Guimard, Jean-Michel Othoniel transforme, dans le cadre de sa première commande publique, la station de métro parisienne, Palais Royal-Musée du Louvre, en Kiosque des noctambules[6]; deux couronnes de verre et d’aluminium dissimulent un banc destiné aux rencontres fortuites dans la ville[8].

À l'occasion de l’exposition «Crystal Palace» à la Fondation Cartier pour l'art contemporain à Paris en 2003 et au musée d’art contemporain de North Miami en 2004, il fait réaliser à Venise et au Centre international de recherche sur le verre et les arts plastiques de Marseille (cirva) des formes de verre soufflé, destinées à devenir d’énigmatiques sculptures, entre bijoux, architectures et objets érotiques.

Fin 2004, Le Petit Théâtre de Peau d’Âne[9] est présenté sur la scène du Théâtre de la Ville de Rochefort puis au théâtre du Châtelet à Paris. C’est une installation composée de quatre dressoirs de bois laqué, de trente-cinq maquettes en verre filé, d’autant de globes et d’énormes vertugadins brodés d’or et de paillettes. L’artiste, qui a retrouvé dans la maison de Pierre Loti les petites marionnettes fragiles de l’enfance du célèbre écrivain français, leur offre ici son œuvre comme décor.

La même année, Othoniel investit les salles mésopotamiennes du musée du Louvre[6] dans le cadre de l’exposition «Contrepoint». Ses sculptures monumentales de verre et d’aluminium, réalisées spécialement pour l’histoire des lieux, prennent là une dimension calme et intemporelle. La grande Rivière Blanche aux perles constellées de pointes de seins a été acquise par le musée d'art moderne de la ville de Paris en 2004. À l’occasion de Art Unlimited 2005, il expose Le Bateau de larmes dans le bassin situé devant l’entrée de Art Basel. L’artiste, dont le travail lie souvent l’intime au politique, a récupéré et utilisé une barque abandonnée par des boat-people cubains sur les plages de Miami. Une couronne, des chaînes et des colliers, tous de verre coloré, se transforment en leurs extrémités en d’énormes larmes de cristal limpide.

En 2006, il propose Peggy’s Necklace, un monumental collier de verre bleu sur la façade de la collection Peggy Guggenheim à Venise. Puis en 2008 et 2009, il expose à la galerie Perrotin à Paris, chez Sikkema Jenkins & Co à New York ainsi qu'à la galerie Karsten Greve de Cologne et Saint-Moritz.

Kin no Kokoro, Tokyo, 2013.
Kin no Kokoro, Tokyo, 2013.

« My Way», la première rétrospective qui lui est consacrée, est présentée en 2011 au Centre Pompidou à Paris[8] et au Plateau / Samsung Museum of Art à Séoul, puis en 2012 au musée d'art contemporain de Hara à Tokyo, au Macao Museum of Art à Macao et enfin au Brooklyn Museum à New York[10].

En 2012, une invitation du musée Delacroix à Paris lui permet de dialoguer avec ce lieu chargé d’histoire à travers une série de sculptures inspirées de l’architecture des fleurs et de planches de son Herbier Merveilleux. Au printemps 2013, le Mori Art Museum de Tokyo lui commande, pour son 10e anniversaire, Kin no Kokoro, une œuvre monumentale installée de façon pérenne dans le jardin japonais Mohri Garden.

Les Belles Danses, Versailles, 2015.
Les Belles Danses, Versailles, 2015.

Pour l'aménagement des Rives de Saône[Note 1], l'artiste a imaginé sur l'ancienne écluse de Caluire un belvédère constitué de perles de verre coloré qui répond à des lanternes installées sur l'île Barbe. L’œuvre a été inaugurée en .

Dans le cadre d'une nouvelle commande publique, il investit le parvis de l'hôtel-Dieu du Puy-en-Velay en 2014 et crée une sculpture monumentale, conçue spécifiquement pour ce lieu, Le Cœur de l'hôtel-Dieu. En , Jean-Michel Othoniel inaugure «Secret Flower Sculptures» au musée Isabella Stewart Gardner, à Boston. Cette exposition voyage ensuite, à l’automne, à San Francisco. En à Versailles, l'artiste dévoile Les Belles Danses[8], trois sculptures fontaines installées sur les bassins du nouveau bosquet du Théâtre d’Eau réaménagé par le paysagiste Louis Benech.

En septembre 2016, Jean-Michel Othoniel dévoile une œuvre d'art totale et monumentale, Le Trésor de la Cathédrale d'Angoulême, sur laquelle il a travaillé pendant plus de huit ans.[11]

C'est en 2018 qu'il réalise Alfa pour le Nouveau Musée national du Qatar, conçu par l'architecte Jean Nouvel, un projet conçu à l'échelle monumentale du bâtiment. L'œuvre comprend 114 sculptures fontaines dont les jets d'eau évoquent les formes fluides de la calligraphie arabe [12].

En 2019, Jean-Michel Othoniel expose au Musée du Louvre une nouvelle série de peintures spécialement créées pour les 30 ans de la pyramide sur les murs de la cour Puget, que le musée décide de faire rentrer dans ses collections de façon pérenne l'année suivante[13].

En 2021, le Petit Palais invite l'artiste à investir le jardin et les salles des collections permanentes afin de présenter une exposition jouant avec l'architecture du lieu. Avec Le Théorème de Narcisse, il offre un parcours d'émerveillement au visiteur. Au même moment, Jean-Michel Othoniel inaugure sa Tour d'Or Blanc, à Amboise, nouvelle œuvre d'art publique, réalisée en collaboration avec les vignerons de la Loire. L'année 2021 est également marquée par son installation officielle à l'Académie des beaux-arts (France), qui s'attache à promouvoir et encourager la création artistique et veiller à la défense du patrimoine culturel français.[14]


Décoration



Expositions (sélection)



Expositions personnelles


  • 1990 :
    • Das Lapidarium, Künstlerhaus Bethanien, Berlin ;
    • Jean-Michel Othoniel, Institut français de Naples, Naples ;
    • Othoniel, Galerie Ghislaine Hussenot, Paris.
  • 1992 :
    • Le Ballet immobile, installation pour Rideaux ou les trois jours de décembre, La Ferme du Buisson, Marne-la-Vallée ;
    • (Trois étoiles) passe au fumoir, Galerie Ghislaine Hussenot, Paris ;
    • Portrait du torero mort, Carré d’art, Musée d’art contemporain de la Ville de Nîmes, Galerie des Arènes, Nîmes.
  • 1993 :
    • L'Hermaphrodite, Musée d'Art moderne de Saint-Étienne métropole, Saint-Étienne ;
    • Autoretrato morboso, Museu d’Història de la medicina de Catalunya, Barcelone ;
    • Jean-Michel Othoniel, Galería Senda, Barcelone ;
    • Jean-Michel Othoniel. Œuvres récentes, Michael Kohn Gallery, Los Angeles ;
    • Shooting Gallery, Nicole Klagsbrun Gallery, New York.
  • 1994 :
    • Le Jaune de Soufre, Galerie d'art de Mourenx, Mourenx ;
    • Il était beau comme la rencontre fortuite d'un parapluie et d'une machine à coudre sur une table de dissection, (film-performance), ARC, Musée d'art moderne de la Ville de Paris.
  • 1995 :
    • Le Ballet de l’Innommable [performance], Les Soirées Nomades, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris ;
    • Les Innommables, Galerie Ghislaine Hussenot, Paris ;
    • My Beautiful Closet [installation-performance], "Féminin-Masculin, le sexe de l’art", Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris ;
    • Œuvres récentes, Michael Kohn Gallery, Los Angeles ;
    • Le Ballet de l’Innommable, Proton ICA, Amsterdam ;
    • Scratch and Tits Paintings, Galerie Barbara Farber, Amsterdam ;
    • The Gramercy International Art Fair, Galerie Ghislaine Hussenot, Gramercy Park Hotel, New York.
  • 1996 :
    • Jean-Michel Othoniel, Villa Médicis, Prix de Rome, Rome ;
    • The Wishing Wall, Galerie Arndt & Partner, Berlin.
  • 1997 :
    • Œuvres récentes, Musée des Arts Décoratifs, Paris ;
    • Obra recent, Galería Senda, Barcelone ;
    • Jean-Michel Othoniel, Peggy Guggenheim Collection, Venise.
  • 1998 :
    • P.S.1, P.S.1 Contemporary Art Center, New York ;
    • Exhibition Jean-Michel Othoniel, 88 Wooster Street, Yves Saint Laurent, New York.
  • 1999 :
    • Jean-Michel Othoniel, Sala de Exposiciones Rekalde, Bilbao ;
    • Les Amants Suspendus, Galerie Clara Rainhorn, Bruxelles ;
    • Trésors, Yerba Buena Center for the Arts, San Francisco ;
    • A Shadow in Your Window, Bibliothèque nationale de France, Paris.
  • 2000 :
    • Le Kiosque des Noctambules, Métro Palais-Royal- Musée du Louvre, Place Colette, Paris ;
    • Jean-Michel Othoniel, Diputación de Granada, Palacio de los Condes de Gabia, Grenade.
  • 2001 :
    • La Fontaine du plaisir et des larmes, Galerie Pièce Unique, Paris ;
    • Colliers, Museum Dhondt-Dhaenens, Deurle, Belgique ;
    • Parade, Newcomb Art Gallery, Woldenberg Art Center, Newcomb College, Tulane University, La Nouvelle-Orléans.
  • 2002 :
    • Pluie d'Or, Sala La Gallera, Valence, Espagne ;
    • Lágrimas, Museo del Vidrio, Monterrey, Mexique.
  • 2003 :
    • L’Arbre aux Colliers, The Sidney and Walda Besthoff Sculpture Garden, New Orleans Museum of Art, La Nouvelle Orléans, États-Unis ;
    • Black is Beautiful, Galerie Perrotin, Paris ;
    • Crystal Palace, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris ;
    • Lágrimas, Musée d'art moderne de Saint-Étienne, Saint-Étienne ;
    • Le Tombeau de Jean, Domaine Jean Lafont, Le Cailar.
  • 2004 :
    • Le Petit Théâtre de Peau d'Âne, Théâtre de la Coupe d'Or, Rochefort ;
    • Le Petit Théâtre de Peau d’Âne, Musée-Atelier départemental du Verre de Sars-Poteries, Sars-Poteries ;
    • Crystal Palace, Museum of Contemporary Art, Miami.
  • 2005 :
    • Le Grand Collier Blanc, Chanel, Hong-Kong ;
    • Candélabres, Villa Amistà, Vérone ;
    • Le Petit Théâtre de Peau d'Âne, Théâtre du Châtelet, Paris.
  • 2006 :
    • Peggy's Necklace, Peggy Guggenheim Collection, Venise ;
    • Dessins, Galerie Perrotin, Paris ;
    • Épée de l'Académicien de Marc Ladreit de Lacharrière, Musée des Arts Décoratifs, Paris.
  • 2007 :
    • Les Larmes de Couleurs, Parvis du Collège Arthur-Rimbaud, Amiens ;
    • Le Confident, Square Docteur Lépine, Nice ;
    • Rivière d’Or, Chanel, Beverly Hills, Los Angeles, États-Unis ;
    • Le Petit Théâtre de Peau d’Âne, 10e Biennale d'Istanbul, Palais de Dolmabahçe, Istanbul ;
    • Le Coffre à Secrets, Musée des arts décoratifs de Paris.
  • 2008 :
    • Jean-Michel Othoniel, Galerie Karsten Greve, Cologne ;
    • La Fontaine des cœurs renversés, Jardin Pontevès, Musée International de la Parfumerie, Grasse ;
    • L’Herbier merveilleux, Chapelle Saint Martin du Méjan, Arles ;
    • Le Feu de la Saint-Jean, Galerie Saint-Séverin, Paris ;
    • L’Édredon cellulique, Musée du Feutre, Mouzon ;
    • Diary of Happiness, Galerie Perrotin, Miami ;
    • Secret Americana, Sikkema Jenkins & Co. Gallery, New York.
  • 2009 :
    • Les Nœuds de Janus, Galerie Perrotin, Paris ;
    • Un cœur abstrait, Pavillon Bosio, École supérieure d’Arts Plastiques de la Ville de Monaco ;
    • Othoniel, New Sculptures, Galerie Karsten Greve, Saint-Moritz, Suisse.
  • 2010 :
    • The Precious Stonewall, Lalit Kala Akademi, New Delhi ;
    • Jean-Michel Othoniel, Kukje Gallery, Séoul.
  • 2011 :
    • My Way, Leeum Samsung Museum of Art, Séoul ;
    • My Way, Galeries du Musée, Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris ;
    • Le Réel merveilleux, Galerie des Enfants, Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris ;
    • L'Herbier merveilleux, Château royal de Provence, Tarascon.
  • 2012 :
    • Othoniel, L&M Gallery, New York ;
    • My Way, Brooklyn Museum, New York ;
    • Othoniel, Musée Frieder Burda, Baden-Baden ;
    • My Way, Museum of Art of Macao, Macao, Chine ;
    • À bruit secret, Galerie Karsten Greve, Cologne ;
    • My Way et Le Réel Merveilleux, Hara Museum of Contemporary Art, Tokyo.
  • 2013 :
    • Les Nœuds de Lacan, Café Beaubourg, Paris ;
    • River Movie (Le belvédère et Les Lanternes de l'île Barbe), Caluire, Grand Lyon ;
    • Othoniel, Jewels Boxes, Savannah College of Art and Design, Savannah ;
    • Les Nœuds de Babel, Galerie Perrotin, Paris.
  • 2014 :
    • DNA of Love, Karuizawa New Art Museum, Karuizawa ;
    • Jean-Michel Othoniel, Hôtel-Dieu, Le Puy-en-Velay ;
    • Monumental Sculptures, Galerie Perrotin, Hong Kong.
  • 2015 :
    • Jean-Michel Othoniel : Secret Flower Sculptures, musée Isabella Stewart Gardner, Boston ;
    • 836M Gallery, San Francisco.

Expositions collectives


  • 2011 :
    • Éclats ! Le musée se met au verre… contemporain, Musée Würth, Erstein ;
    • Le Temps, Institut Culturel Bernard Magrez, Centre d’Art du Château Pape Clément, Bordeaux ;
    • La Fabrique Sonore, Expérience Pommery #9, Domaine Pommery, Reims ;
    • Paris Première s’expose, soirée pour les 25 ans de Paris Première, Grand Palais, Paris ;
    • Le Château de Versailles raconte le mobilier national, 4 siècles de création, château de Versailles ;
    • Le Surréalisme, c’est moi ! Homage to Salvador Dalí, Glenn Brown, Louise Bourgeois, Markus Schinwaldsco Vezzoli, Kunsthalle, Vienne ;
    • Paris-Delhi-Bombay..., Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris ;
    • Help !, Galerie Premier Regard, Paris.
  • 2012 :
    • Eugène Delacroix. Des Fleurs en hiver : Othoniel, Creten, Musée Eugène Delacroix, Paris ;
    • Chambres à part VI : Trajectoires poétiques, La Réserve, Paris ;
    • Regards croisés sur la Beauté : La Belle et La Bête, Institut Culturel Bernard Magrez, Centre d'Art du Château Pape Clément, Bordeaux ;
    • Présomption d'insouciance, Maison Guerlain, Paris ;
    • Pommery : 10 ans d'expérience, Domaine Pommery et Villa Demoiselle, Reims ;
    • Fernerlmont Contemporary Art, Festival d'Art Contemporain, Château de Fenerlmont, Belgique ;
    • Lumière réfléchie, Galerie Cat Berro, Paris ;
    • Group Show, Galerie Perrotin, Paris ;
    • Plaisirs de France, Museum of Modern Art, Bakou, Azerbaïdjan ; Fine Arts Museum, Almaty, Kazakhstan.
  • 2013 :
    • La Licorne et le Bézoard, une histoire des cabinets de curiosités d'hier et d'aujourd'hui, musée de Poitiers ;
    • Trésors de Beisson, Musée Granet, Aix en Provence ;
    • André Le Nôtre en perspectives 1613-2013, château de Versailles ;
    • Happy Birthday Galerie Perrotin 25 ans !, Tri Postal, Lille ;
    • La science des rêves - collection Odermatt, Arsenal art contemporain, Montréal ;
    • Dans la Roue de l'Art, Musée Fesch, Ajaccio ;
    • Quartiers d'été, Villa Les Roches Brunes, Dinard ;
    • Dinard, l'Amour Atomique, Palais des Arts et du Festival, Dinard ;
    • Je désire l'illisible - Part 1, Ma Galerie, Paris ;
    • Tresses 13, Maison des Tresses et Lacets, La Terrasse sur Dorlay ;
    • L'île de Montmajour, Abbaye de Montmajour, Arles ;
    • All You Need Is Love, Mori Art Museum, Tokyo, Japon ;
    • Rêves de Venise, Institut Culturel Bernard Magrez, Bordeaux ;
    • Fragile, Musée Maillol, Paris ;
    • Nouvelles impressions de Raymond Roussel, Palais de Tokyo, Paris.
  • 2014 :
    • One way : Peter Marino, Bass Museum of Art, Miami ;
    • Pizzuti Collection, Colombus ;
    • Mémoires Vives - 30 ans de la Fondation Cartier pour l’art contemporain, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Paris ;
    • « G I R L » curated by Pharell Williams, Galerie Perrotin, Paris ;
    • Tresses 13 & 14, Musée des tresses et lacets, La Terrasse-sur-Dorlay ;
    • Les Peintres et le vitrail, Centre International du Vitrail, Chartres.

Œuvres in situ



Commandes publiques


  • 2007 :
    • Les Larmes de couleurs, Parvis du collège Arthur-Rimbaud, Amiens ;
    • Le Confident, Square Doyen-Lépine, Tramway de Nice, Nice.
  • 2014 :
    • Le Cœur de l’Hôtel Dieu, Parvis de la Cathédrale, Le Puy-en-Velay ;
    • La Rose des vents, Cité Beisson, Aix-en-Provence.
  • 2015 :
    • Les Belles Danses, Bosquet du Théâtre d’Eau, Jardins du Château de Versailles, Versailles ;
    • Le Trésor, Cathédrale Saint-Pierre d’Angoulême, Angoulême ;
  • 2021 :
    • La Tour d'Or Blanc, Amboise.

Commandes privées (sélection)


  • 2003 :
    • Le Tombeau de Jean, Le Cailar ;
    • L’Arbre aux Colliers, The Sidney and Walda Besthoff Sculpture Garden, New Orleans Museum of Art, La Nouvelle-Orléans.
  • 2008 :
    • La Grande Croix rouge, Château de La Coste, La Coste ;
    • Vitraux de Saint-Martin, Chapelle Saint-Martin-du-Méjan, Arles.
  • 2013 :
    • Les Nœuds de Lacan, Café Beaubourg, Paris ;
    • Kin no Kokoro, Mori Art Museum, Morhi Garden, Tokyo.
  • 2014 :
    • Kokoro-Ai, Mori Art Museum, Tokyo ;
    • Le Cœur d’obsidienne, Lover’s Park, Erevan, Arménie ;
    • Le Nœud rouge, Paragon, Singapour.

Collections



Collections françaises



Collections étrangères


Amériques
  • États-Unis :
    • MoCA, Museum of Contemporary Art, Miami ;
    • MoMA, The Museum of Modern Art, New York ;
    • Museum of Glass, Tacoma, Washington ;
    • Pizzuti Collection, Colombus ;
    • New York Public Library, New York ;
    • The Brooklyn Museum, New York ;
    • The Corning Museum of Glass, New York ;
    • The Sidney and Walda Besthoff Sculpture Garden, New Orleans Museum of Art, La Nouvelle Orléans.
Asie
  • Corée du Sud :
    • 313 Art Project, Séoul ;
    • Leeum samsung museum of art, Séoul.
  • Japon :
    • Mori Art Museum, Tokyo ;
    • Hara Museum ARC, Tokyo.
Europe
  • Espagne :
    • Diputación de Granada, Colección de la Diputación de Arte Contemporáneo, Grenade ;
    • Filmoteca de la Generalitat de Catalunya, Barcelone.
  • Italie :
    • Peggy Guggenheim Foundation, Venise ;
    • François Pinault Foundation, Palazzo Grassi, Venise.

Bibliographie



Notes et références


Note
  1. « River Movie », commissariat Jérôme Sans.
Références
  1. « Jean-Michel Othoniel | Cnap », sur Cnap (consulté le ).
  2. « Jean-Michel Othoniel », sur Académie des beaux-arts, (consulté le ).
  3. Jérémie Glaize, « Jean-Michel Othoniel élu à l’Académie des Beaux-Arts », Journal des Arts, (lire en ligne).
  4. « Jean-Michel Othoniel, l'artiste aux colliers de lumière », L'Express, (lire en ligne).
  5. Annick Colonna-Césari et Christine Kerdellant, « Jean-Michel Othoniel : Réenchanter la vie est un acte poétique et politique », L'Express, , p. 12-15.
  6. Thomas Guillemyn, « Jean-Michel Othoniel élu à l’Académie des beaux-arts », Connaissance des Arts, (lire en ligne).
  7. Élisabeth Couturier, « Le collier cicatrice de J.-M. Othoniel », Journal des Arts, (lire en ligne).
  8. Marie-Anne Kleiber, « Les mues du plasticien Jean-Michel Othoniel », Le Journal du dimanche, (lire en ligne).
  9. Le Point magazine, « Le monde enchanté de Jean-Michel Othoniel, Peter Pan de l'art contemporain », sur Le Point, (consulté le )
  10. [PDF] Communiqué de presse de clôture de l'exposition, Centre Pompidou.
  11. « Découvrez le Trésor de la cathédrale Saint-Pierre d’Angoulême en vidéo », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
  12. (en) « Jean-Michel Othoniels ALFA at the National Museum of Qatar », sur Whitewall (consulté le )
  13. « Lumière sur la sculpture », sur Le Louvre (consulté le )
  14. (en-US) Elaine Sciolino, « A Glittering Honor for a Master of Glass », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  15. « Légion d'honneur : la liste des promus du 1er janvier 2022 », sur Le Figaro, (consulté le ).
  16. « Jean-Michel Othoniel | MAMC, Musée d'art moderne et contemporain, Saint-Étienne Métropole », sur mamc.saint-etienne.fr (consulté le ).
  17. « Le Théorème de Narcisse », sur Petit Palais, (consulté le ).
  18. « Les Pépites du Salon de Montreuil », sur Ricochet (consulté le ).

Liens externes


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На других языках


[de] Jean-Michel Othoniel

Jean-Michel Othoniel (* 27. Januar 1964 in Saint-Étienne) ist ein französischer Bildhauer, der vorwiegend mit Glas arbeitet.[1]

[en] Jean-Michel Othoniel

Jean-Michel Othoniel (born 1964) is a French contemporary artist. He lives and works in Paris.
- [fr] Jean-Michel Othoniel



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