Lucien Cahen-Michel (né le à Paris et mort le à La Genevraye, en Seine-et-Marne)[1], est un peintre français du XXe siècle.
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Lucien Cahen-Michel est né le à Paris[2].
Élève à l'École des beaux-arts de Paris et à l'Académie Julian de Gabriel Ferrier, Jules Adler et François Flameng, Lucien Cahen-Michel s'est installé à Montigny-sur-Loing en 1920 et y a peint de nombreux paysages de style impressionniste.
Plusieurs de ses œuvres figurent dans les musées de la région, en particulier celui de Moret sur Loing. Un square porte son nom à Veneux-les-Sablons, ainsi que la rue de La Genevraye où se trouvait sa maison. Membre de la Société des Artistes Français, il a exposé au Salon des artistes français pendant plusieurs années avant la Seconde Guerre mondiale ainsi qu'au Salon des indépendants, au Salon d'automne et à la Galerie Carmine (1929) et obtient en 1928 une mention honorable au Salon des artistes français et, en 1929 une médaille d'argent et le Prix Paul Liot[3].
En 1938, il enseigne le dessin (nommé Officier de l'instruction publique, J.O. du ).
Il meurt le [2].
Lucien Cahen-Michel figure au Benezit/Akoun. Un de ses paysages a été reproduit dans L'Illustration.
Une de ses œuvres a été achetée par l'État, auprès de Lucien Cahen-Michel le , et ce pour la somme de 800 francs. L'œuvre est alors portée sur l’inventaire du Fonds national d'art contemporain (FNAC) sous le numéro FNAC 12572. Ce tableau est ensuite envoyé en dépôt au consulat de France à Kaunas en 1933. L’œuvre a disparu pendant la guerre.
Gustave Kahn mentionne par deux fois Lucien Cahen-Michel dans son compte-rendu de visite du Salon des artistes français de 1934, pour des dessins et une vue du village de Larchant (77). (Mercure de France - 1-VI-1934, p.390-391).(Gallica)
Dans Le Figaro du , Arsène Alexandre mentionne un nu exposé au Salon des artistes français. (Gallica)