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Marie Denise Marcella Maltais est une peintre canadienne née à Chicoutimi le 9 octobre 1933[1] et morte à Québec le 19 septembre 2018[2].

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Marcella Maltais
Marcella Maltais, Hydra, 1996
Naissance

Chicoutimi
Décès
(à 84 ans)
Québec
Nom de naissance
Marcella Maltais
Nationalité
Canadienne
Activité
Peintre
Formation
École des beaux-arts de Québec
Site web

Biographie



La formation


Marcella Maltais est née à Chicoutimi en 1933. En 1937, la famille déménage à Rivière-du-Loup, Marcella y passe une enfance heureuse cependant assombrie par le décès de sa sœur cadette. En 1943, nouveau déménagement, la famille s'établit à Québec.

En 1953, avec deux amies artistes, elle loue un atelier au 7 de la rue des Remparts[3] et expose quelques œuvres au Café de la Paix, lieu fréquenté par les intellectuels et les artistes de la ville. À l'été, elle plante son chevalet dans la région de Charlevoix et à l'île d'Orléans en compagnie de ses amis François Soucy, Claude Picher, Edmund Alleyn et J. Leboeuf. En mars 1955, dans le foyer du Palais Montcalm de Québec, elle participe à une première exposition de groupe avec Pierrette Fillion, Jeanne Belleau, Élyane Roy et Micheline Drouin.


Hydra et le retour à la figuration


En 1960, lors de son premier voyage en Grèce, elle découvre l'île d'Hydra, sa lumière et sa faune artistique[4]. Elle y fait la rencontre du peintre grec Tzaroukis et développe de nouvelles amitiés avec des peintres et écrivains dont Leonard Cohen, Marios Loizides, Margarita Liberaki, Mélusine Claudel, Adreas Phocas.

Elle y achète une maison en ruine qu'elle restaure peu à peu afin de s'y faire un atelier. Désormais, elle y séjournera plusieurs mois par année, ses tableaux deviennent alors plus clairs, mais l'abstraction la mène à un mur, elle en a fait le tour et se retrouve dans une impasse[3],[5],[6].

En 1971, invitée par Hydro-Québec à Manic 5 elle y réalise un grand diptyque du barrage. Lors d'un voyage à Matonipi, en 1995, elle est éblouie par la vue aérienne du paysage nordique et la lumière qui s'en dégage. L'année suivante, elle termine une série de 20 toiles intitulée « Taïga ». Ce polyptyque, ainsi que plusieurs autres, où la lumière est l'objet principal, se retrouvent dans des collections privées. Mentionnons, entre autres, « La marche du soleil », polyptyque de sept tableaux peint en Grèce, de même que « Au quai de Jemmapes, triptyque de trois tableaux, sur sa vision de Paris et la Seine.

Se situant à contre-courant des tendances picturales du moment, sa peinture et ses écrits[7] ouvrent un débat sur la place de la figuration dans l’art actuel[8],[9],[10],[11]. Convaincue de la pertinence de sa démarche artistique, elle poursuit son œuvre qui ne cesse d'évoluer dans la touche et la couleur[12]. Dans cette recherche, sa nouvelle peinture est appuyée par de nombreux mécènes et collectionneurs.

Ses œuvres se retrouvent dans un grand nombre de collections corporatives et privées, ainsi que dans des musées et institutions publiques.


Expositions



Expositions de groupe



Collections publiques



Écrits de l'artiste



Prix



Entrevues à la télévision



Entrevues à la radio



Notes et références


  1. « Acte de baptême de Marie Denise Marcella Maltais de l'année 1933 » [archive], sur Ancestry, 9 octobre du registre des baptêmes, mariages et sépultures de la paroisse Saint-François-Xavier de Chicoutimi 1933. Marcella Maltais a été baptisée le 9 octobre 1933 et est née ce même jour. », sur ancestry.ca (consulté le )
  2. Catherine Lalonde, « Décès de la peintre Marcella Maltais », Le Devoir, (lire en ligne)
  3. Bernard Lamarre (préface), Marcella Maltais, Mon itinéraire, Galerie d'Art Lavalin, .
  4. Nathalie Petrowski, « Marcella Maltais, De St-Isidore à l'île d'Hydra », Le Devoir,
  5. Michel Camus, « Entretiens avec Marcella Maltais », Obliques, no 16-17,
  6. Marcella Maltais, Notes d'atelier, Beauport, Éditions du Beffroi, , 127 p.
  7. Jean Royer, « Marcella Maltais, Les états de la lumière », Le Devoir,
  8. Jacques Dufresne, « Les arts coincés entre Duplessis et Borduas », La Presse,
  9. Jacques Dufresne, « Un « rack à viande » subventionné », La Presse,
  10. Jean-Claude Leblond, « Arts visuels : De la grande noirceur à l'opaque grisaille de nos jours », La Presse,
  11. Marcella Maltais, « Lettre ouverte aux imposteurs de la modernité, », La Presse, 16 décembre 1991.
  12. Jacques de Roussan, « Avec Marcella Maltais : la sublimation de la lumière », Vie des arts, vol. 33, no 134, , p. 41–43 (ISSN 0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
  13. « Maltais, Marcella | Collection Musée national des beaux-arts du Québec », sur Collections | MNBAQ (consulté le )
  14. « Marcelle Maltais | Collection Musée beaux-arts du Canada », sur www.beaux-arts.ca (consulté le )
  15. Maltais, Marcelle, 1933-, L'hôtel crève-coeur, Éditions du Lac, (ISBN 2-9804544-0-0 et 978-2-9804544-0-0, OCLC 32393433, lire en ligne)
  16. Maltais, Marcelle, 1933-, Rivière-du-Loup couleur sépia, Éditions du Lac, (ISBN 2-9804544-1-9 et 978-2-9804544-1-7, OCLC 36992400, lire en ligne)

Liens externes





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