Marie-Claude Bugeaud, née en à Paris, est un peintre français[1].
Cet article est une ébauche concernant un peintre français et l’art contemporain.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Pour les articles homonymes, voir Bugeaud.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Activité |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
Agrégée d'arts plastiques, Marie-Claude Bugeaud enseigne à l'École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art à Paris.[2]
« Dans ses tableaux, des figures, des motifs, des signes apparaissent et se jouent de la ligne et du découpage. Carrés irréguliers, points, fleurs, nœuds, arabesques, entrelacs. Ces motifs empruntent des signes abstraits ou symboliques aux traditions primitives ou aux systèmes décoratifs : un détail pour le tout, une forme ondulée pour la chevelure, un pli pour la robe. Dans les œuvres récentes la couleur revient : des rouges carmin, des jaunes acides, des bleus lavés. Cette couleur constitue le support des signes, qui par ligne ou par masse, traversent le tableau.
Marie-Claude Bugeaud est un peintre de l'oscillation. Entre ligne et couleur, entre abstraction et allusion à quelques motifs — chevelure, bouche, ... — son travail avance. Des forces s'affrontent et trouvent, dans cet affrontement même, leur juste place. La légèreté des arabesques combat la noirceur des points. La concentration, la pesanteur des points viennent, contre cette légèreté-là, rappeler à l'ordre tragique du monde. »
— Pierre Wat, catalogue de l'exposition de la Maison des arts de Malakoff, p. 4