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Michèle Sylvander, née en 1944, est une artiste française.

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Michèle Sylvander
Biographie
Naissance
Nationalité
Française
Activité
Artiste contemporaine

Elle vit et travaille à Marseille[réf. nécessaire]. Elle présente en France et à l'étranger, des expositions monographiques ou collectives. Elle a enseigné à l’École des Beaux-Arts de Marseille-Luminy.

Michèle Sylvander développe un travail artistique qui s’appuie principalement sur la photographie, mais déploie également ses formes dans l’installation, le dessin ou la vidéo.

L’autoportrait et la vie de famille y occupent une place centrale ; à travers eux, l’artiste affirme le point de vue suivant lequel la proximité de l’expérience personnelle contient une certaine forme d’universalité. Ils[Qui ?] disent aussi qu’il y a là le nœud de la construction sociale (le « moi » dans le petit jeu de la cellule familiale comme métonymie du « moi » sur la grande scène du monde[1]).


Biographie


Après une enfance passée en Allemagne, au Maroc et en Algérie, Michèle Sylvander fait ses études à l’École des Beaux-Arts de Marseille - Luminy où elle rencontre son mari, l’architecte Harald Sylvander.

Elle rejoint la galerie Roger Pailhas, à Marseille, en 1989 conjointement avec la galerie Luis Serpa, à Lisbonne, avant de travailler avec la galerie de Marseille et la Gandy Gallery, à Bratislava.

François Bret, alors directeur de l'école des Beaux-Arts, lui consacre sa première exposition, Le Passe-Parole en 1971. D'ores et déjà le portrait de famille est présent, la relation amicale ou familiale étant déterminante dans son travail. Elle abandonne progressivement une peinture « narrative » pour se tourner vers la photographie en 1993. La question de l'autoportrait occupe tout d'abord sa pratique. C'est une fille et La Fautive sont les deux œuvres emblématiques de cette période. À ce propos, Jean-Christophe Royoux cite Montaigne qui disait que ce sujet était la matière première de ces livres[2]. Dans un entretien avec Jérôme Sans en 2000, elle dira qu'il est pratique de se servir de soi[3].

Parallèlement aux photographies qu'elle sacralise en les exposant, Michèle Sylvander « photographie son monde en toutes occasions, des plus anodines, aux plus sociales aux plus mondaines. Elle cadre son entourage de l'obsession de son regard. Il en résulte des centaines de tirages, classés, répertoriées, conservés et envoyés aux intéressés. Au-delà du plaisir et du déplaisir de recevoir des images de soi, ces envois sont terrifiants. Les clichés sans pitié, sans concessions pour les sujets photographiés d'une part. D'autre part, ils pointent, après quelques envois successifs le caractère incestueux et clos d'une société[4]. »

Sa première vidéo insomnie relève de la performance. Elle se servira plus tard d'archives familiales[5] pour construire de nouvelles vidéos comme pourquoi tu pars ou la convocation. Only you est une vidéo dédiée à sa mère.


Expositions



Choix d'expositions individuelles et collectives



Œuvres dans l’espace public


Michèle Sylvander a réalisé de nombreuses œuvres dans l’espace public, dont une station de métro à Marseille.


Catalogues



Catalogues individuels



Catalogues collectifs



Notes et références


  1. Extrait du texte de Guillaume Mansart dans Documents d'Artistes
  2. Jean-Christophe Royoux, Nathalie Quintane, Michèle Sylvander, [Mac] Galeries Contemporaines des Musées de Marseille, , 144 pages, p.2 à 13.
  3. Jérôme Sans, Philippe Vergne, Une femme sous influence in Droit de visite, Villa Noailles, .
  4. Jérôme Sans, Philippe Vergne, J'ai pas sommeil, entretien avec Philippe Vergne in Droit de visite, Villa Noailles,
  5. http://www.journalzibeline.fr/wp-content/uploads/pdf/zibel86.pdf

Liens externes





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