René Maxime Choquet, né le à Douai et mort le à Saint-Jean-de-Luz, est un artiste peintre, connu en particulier en tant que peintre animalier, et un sculpteur français.
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Naissance | Douai |
---|---|
Décès |
(à 85 ans) Saint-Jean-de-Luz |
Nationalité |
Française |
Activité |
Artiste peintre, sculpteur |
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René-Maxime Choquet naît le à Douai[1], il est issu d'une famille aisée de Douai (Nord) : son père possédait une usine d'huiles. Élève de Jules Lefebvre, Tony Robert-Fleury et Hermann-Léon aux Beaux-Arts de Paris puis à l'Académie Julian, il expose annuellement au Salon des artistes français (Champs-Élysées) où il présente en 1929 les toiles Le marché aux mulets (Espagne) et Coin de marché en Espagne et dont il reçoit en 1914 une médaille d'argent. En 1919, il remporte aussi le Prix Rosa Bonheur[2].
Après avoir épousé Albertine Buche, en premières noces, en 1906 à Paris, il épouse, en secondes noces, le à Bordeaux, Alice Arnould[1], et découvre le Pays basque. Il s'installe en 1912 dans une grande villa, Oberena, sur la route de Ciboure à Olette, et devient l'un des représentants de la peinture de cette région. Il fait partie du Groupe des Neuf dont le centre était Ciboure.
Une rue porte son nom à Ciboure (Pays Basque), sous l’impulsion de Jean Paul Goikoetxea (chercheur en Histoire de l’Art) et sa thèse sur la naissance de la peinture régionaliste Basque à Ciboure.