Zevs, né Aguirre Schwarz le à Saverne, est un artiste contemporain français connu depuis les années 1990.
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Aghirre Schwarz nait le 17 novembre 1977 à Saverne. Il est le fils de Robert Schwarz et de Nadia Schwarz, tous deux artistes peintres, et le petit fils de Marcel Schwarz décorateur de théâtre.
ZEVS débute comme graffeur à Paris dans les années 90, il se fait alors passer pour divers personnages tels que The Shadow Flasher et The Serial Ad Killer. Son imitation, la plus récente et la plus connue, est celle d’Aguirre Schwarz, l’homme derrière les bas en peau de léopard. D’après l’histoire, il doit son prénom au conquérant espagnol joué par Klaus Kinski dans Aguirre, la colère de Dieu, qui se perd en Amazonie à la recherche de l’Eldorado.
Le pseudonyme de ZEVS - prononcer Zeus - doit son nom à un train qui a failli l’écraser alors qu’il réalisait un tag dans un tunnel du RER A ZEUS, en 1992. Une interprétation complémentaire fait du pseudonyme un acronyme: Zone d'Expérimentation Visuelle et Sonore.
En 1998, âgé de vingt ans, Aguirre Schwarz, téléphone à toute une série de galeries d’art parisiennes pour leur poser une seule et même question: «Comment deviens t’on artiste?». Les conversations sont enregistrées à l’insu des galeristes et donneront lieu à la première installation sonore de l’artiste sur le questionnement de l’artiste, son identité et sa pratique artistique.
À partir de l’année 1997, Zevs crée ses «ombres électriques»: Pour cette série, l’artiste utilise une peinture réfléchissante industrielle conçue pour le balisage routier. Travaillant la nuit, il dessine les ombres portées par le mobilier urbain. Il fige la scène comme une nature morte. En raison de la qualité́ phosphorescente de la peinture, les ombres semblent plus profondes, comme si elles étaient peintes. De jour, seulement le contour demeure. Cette période est documentée dans le film de Banksy Faites le mur!
À la fin des années 1990, il forme avec Space Invader, un mini collectif, les @nonymous. Duo réalisant de petites vidéos, ils co-envahissent ensemble la ville de Montpellier en août 1999. Aux mosaïques de son partenaire, Zevs répond par des «surlignages» d’ombres électriques en ville dont l’ensemble des emplacements une fois reliée entre eux dessine une manière de blason-monogramme sur la ville (un nuage orageux dont deux éclairs jaillissent où se lisent le Z, le E, le V et le S). Une présentation du film @nonymous, au cinéma la Clé pour les vingt ans du collectif aura lieu en décembre 2019, à Paris.
Dès 2001, l’artiste travaille ses «Visual Attacks». Il intervient sur une série de panneaux publicitaires dans différentes villes. En vidant une bombe de peinture rouge entre les yeux des mannequins, omniprésents dans les rues, il donne au modèle l’impression d’avoir été exécuté, «liquidé». Ce travail prendra une nouvelle forme en 2015, sur un buste en bronze de Louis XIV, grâce aux techniques du four solaire du laboratoire Français du CNRS, qui par une concentration de rayons solaires, liquideront le Roi Soleil. Cette œuvre sera notamment présentée lors de sa grande exposition Noir Éclair au Château de Vincennes en 2016.
A Berlin, en 2002, Il prend en otage l’égérie des cafés Lavazza en kidnappant l’affiche de 10 mètres de haut qui trône sur l’AlexanderPlaza. L’otage sera libéré en 2005, donnant lieu à une remise de rançon au Palais de Tokyo à Paris.
Cette œuvre est le point de départ d’une des séries les plus connues de l’artiste: les «Liquidated Logos». Pour ce faire, l’artiste liquide des logos dans l’espace public, puis peu à peu sur des supports plus traditionnels (toiles, caissons en bois, plaques de métal). L’excès de peinture s’égoutte de chaque lettre en coulure. Graphiquement, ces gouttes produisent un effet «saignant» qui fait écho au jeu de mot «je t’ai liquidé». Chaque liquidation crée ainsi un récit spécifique, lié au contexte associé, à la marque ainsi qu’a la forme originale du logo.
Plus tard ces Liquidated Logos seront déclinés en sculptures de bronze ou d’acier.
ZEVS est également connu depuis les années 2000 pour ses œuvres dites «Proper Graffiti» réalisées sur les murs sales de différentes villes. Il peint au karcher des messages en nettoyant les surfaces polluées. Deux œuvres in situ au Château de Vincennes (2016) et au musée de Ny Glypotheck (2008) sont encore actuellement visibles.
En 2003, Zevs photographie des portraits célèbres à l’aide d’un puissant flash. Les images sont brulées et les visages effacés, mais les personnes restent reconnaissables. En surexposant l’image de la personne surexposée, l’artiste s’interroge sur ce qui est et ce qui reste en mémoire. Qu’en est-il alors de l’artiste, du personnage en question et du droit d’auteur?
En 2006, Zevs travaille sur une série d’interventions dans l’espace public et/ou intérieures à partir d’un pigment luminescent, invisible à la lumière du jour mais dont le graffiti se révèle à la lumière noire. Travail à contre-courant du traditionnel frénétique graffiti crée pour être vu par tous et de loin. Si les œuvres sont multiples, les premières œuvres s’attachent à remplir de pigment les fissures des bâtiments. Une fois allumée, la scène dystopique révèle une ville de science-fiction.
À partir de 2007, débute un travail sur la question de l’original et la copie. Avec sa Joconde et son sac à main, Zevs cherche à recréer les conditions de monstration de l’œuvre originale, au musée du Louvre, tout en nous proposant une réflexion sur la notion de reproduction. Conçue comme une installation, dans une vitrine tendue de velours rouge, renvoyant à la muséographie du XIXe siècle, cette Joconde, peinte par un copiste à l’échelle 1 et pourvue d’un cadre ancien, est présentée avec une sculpture, le moulage en bronze doré d’un sac à main de la marque Vuitton. A la fois unique, par la copie manuelle du tableau, mais multiple, par son tirage en bronze, l’œuvre se présente comme un oxymore. Poussant plus loin sa réflexion sur l’authenticité, l’artiste urbain, qui aime à liquéfier dans la rue les logos des marques de luxe pour dénoncer notre dépendance à leur égard, vient nous révéler l’origine du fameux monogramme de Louis Vuitton. Car celui qui s’affiche sur le sac est, en réalité, forgé d’après le monogramme créé par Léonard de Vinci en 1478: «LDV».
Parallèlement, Zevs, toujours présents dans les rues, crée un pinceau «arc en ciel». Un outil spécifique lui permettant d’utiliser sept bombes de peintures à la fois afin de réaliser une peinture dans un geste rapide directement sur les panneaux d’affichages électriques des Abribus parisiens.
En 2008, il est invité à réaliser sa première exposition personnelle dans un musée: " Electroshock ", au Ny Carlsberg Glypotheck de Copenhagen, au Danemark.
C’est au cours d’un procès à Hong Kong en 2009 qu’Aguirre Schwarz, pris sous les flashs des paparazzis locaux, fait sa première apparition publique, à la suite d'une intervention artistique illégale sur la façade de l’immeuble Armani.
En 2012 il s’attache à se ré approprier la peinture ancienne dans une série intitulée «Old Masters». Usant de la sculpture, la peinture et la performance, Zevs revient sur les notions du droit d’auteur et de la paternité d’une œuvre d’art. Une performance au Cabaret Voltaire de Zürich sera le point d’orgue de cette monstration. Les Liquidated Logos et les éclairs dorés s’inscrivent sur ces nus d’Ingres, Rubens … A la fois Hommage et détournement, en jouant avec les notions de la mythologie et son éclair de Zevs en signature.
Parallèlement, il construit une nouvelle entité picturale: «Les Hockney Paintings». Présentées en 2015, notamment au centre d’art contemporain de Majorque, et à la galerie Rive Gauche, Marcel Strouk à Paris, ces œuvres déclinent le fameux Bigger Splash de David Hockney. Zevs introduit les logos liquidés des compagnies pétrolières sur les villas. La peinture coule et les piscines paradisiaques se substituent à des marées noires. Plus tard, l’équation des Nénuphars apparaitra dans ses eaux usées évoquant l’inextricable croissance exponentielle de l’être sur Terre.
En 2014, sort sa première monographie écrite par Toke Lykkeberg, Zevs: L'exécution d'une image aux éditions Gallimard dans la collection Alternatives.
En 2016, il est invité par le Château de Vincennes à exposer. «Noir Eclair» est la plus importante exposition de l'artiste en France qui a eu carte blanche pour installer ses œuvres dans la forteresse. La même année, il devient le deuxième sponsor artistique de l'AS Velasca.
En 2018, Dans le cadre de la Nuit Blanche, ZEVS investit la Tour Eiffel avec une œuvre originale, Eiffel Phœnix, accessible à tous de minuit à 7h. Dans le prolongement de la Constellation Invalides et du Super Kilomètre mis en place pour la Nuit Blanche, ZEVS s’empare de la Tour Eiffel, symbole de «Paris, ville lumière» pour en faire un propos d’art public et monumental. L’artiste fait du plus célèbre monument au monde son «objet d’art». En s’accaparant le chef d’œuvre de Gustave Eiffel ainsi que son système d’éclairage, ZEVS dans son projet Eiffel Phœnix redistribue le temps, la lumière électrique de la Tour Eiffel et détourne, à dessein, la fonction spectaculaire. Un remake de cette intervention est prévu pour avoir lieu sur la réplique de la tour Eiffel située à Las Vegas et ainsi parachever le projet en questionnant de nouveau le statut de l’original et de la copie.
En 2019, l’artiste est invité à exposer à la cité Radieuse, à Marseille. L’exposition prend la forme d’une réflexion sur l’homme et son habitat propre: OIKOS LOGOS. Tout en travaillant in situ avec l’œuvre de Le Corbusier, l’artiste crée une exposition multiforme ou sculpture et peintures s’entrecroisent. Deux ans de travail seront nécessaires à la réalisation de cette exposition qui débutera fin 2021.
En Février 2020, en plein confinement la galerie Collaborations à Copenhague présente «The Last Cowboy is Dead». Au travers d’un nuage de fumée dans l’enceinte de la galerie, les œuvres uniquement visibles de l’extérieur donnent à voir la mise en bière du Last Malboro Cowboy. Ce corpus artistique débute à Berlin le 24 décembre 200 par un tir de paintball sur le personnage publicitaire qui surplombe l’usine de Philips Morris. Début 2021, à Majorque, l’artiste crée la chambre funéraire dans l’enceinte du CCA, destinée à accueillir le défunt cowboy. La clé d’entrée de l’exposition, sous la forme d’un QR code sera dévoilée le soir du vernissage.
La performance sera retransmise simultanément par les vitrines de la galerie Collaborations et en direct dans le monde entier via Instagram, le neuf février 2021, en dix-sept épisodes. Comme autant de mini-séries qui composent la mise à mort du cowboy sacré, l’entité artistique est dévoilée, laissant le spectateur face à une réflexion sur son propre espace-temps, dans une société mondialement confinée.
Il vit et travaille entre Paris et Berlin.
Principales œuvres
Urban Shadows[1] 2000 où Zevs peint sur le sol, à la manière des silhouettes de cadavres, l'ombre portée par les réverbères du mobilier urbain[2].
Visual Attacks (2001): Zevs exécute des icônes d'affiches publicitaires en bombant un point rouge dégoulinant au milieu du front de ses victimes[3].
Visual Kidnapping 2004. Le résultat de ses attaques visuelles étant rapidement détruit par les annonceurs, Zevs décide d'aller plus loin en prenant en otage l'image de l'égérie des cafés Lavazza, qu'il découpe d'une affiche 15 × 15 m sur la Alexanderplatz à Berlin, en y laissant le message «VISUAL KIDNAPPING PAY NOW!!!»[4]. Il présente alors pendant trois semaines la vidéo de l'enlèvement à la Rebell Minds Gallery de Berlin, de laquelle l'affiche découpée est visible. Pendant plusieurs mois, il va tantôt cacher, tantôt exhiber l'otage visuelle, menaçant de l'exécuter. Il va finalement lui couper un doigt qu'il envoie enveloppé de coton au PDG de la société, lui demandant une rançon symbolique de 500 000 euros, du coût approximatif de la campagne publicitaire. Une mise en scène de l'artiste a pu faire croire que Lavazza accepta de la payer sous forme de mécénat auprès du Palais de Tokyo, permettant ainsi à Zevs d'y présenter son œuvre. La cérémonie a eu lieu un premier avril[5].
Liquidated Logos[6] (depuis 2006), où il fait fondre ou couler les logotypes de marques omniprésentes en milieu urbain[7]. Cette série d´œuvres est assimilable à du culture jamming. Il est incarcéré à Hong-Kong le pour avoir peint un liquidated logo Chanel sur une boutique Armani[8]. Après une première audience le , il est jugé pour dégradation de propriété le , et condamné à deux semaines de prison avec sursis après avoir nettoyé le mur de la boutique[9],[10].
Le choc de Vénus. En 2010, consécutivement au renversement accidentel de la copie de la Vénus d'Arles, une statue située place Zeus à Montpellier, l'auteur s'est emparé de l'évènement pour une mise en scène fluorescente sur les lieux mêmes de l'accident[11].
Invisible graffiti 2012. Peintures invisibles à l’œil nu et que seul la lumière noire[12] (ultraviolette) est capable de révéler.
Eiffel Phœnix, Nuit Blanche 2018 Détournement du système d’éclairage de la structure dans le but de «redistribuer le temps, la lumière électrique de la tour Eiffel»[13]
Expositions Personnelles
2021
OIKOS LOGOS, Centre d'art de la Cité Radieuse Le Corbusier, MAMO, Marseille
Still Life Locked Room, CCA Andratx Mallorca, Îles Baleares
The Last Cowboy Is Dead, Collaboration, Copenhagen
2019
Post Contemporary, Museum of Contemporary art, Shanghai
Aguirre Schwarz savoure le rouge, New Galerie, Paris
Biennale de Lyon (group show)
2018
Art From The Streets, Artscience Museum, Singapore , Collective: Curated by Magda Danysz
Supreme même, OTI Gallery, Hong Kong
Eiffel Phoenix, Tour Eiffel, Paris
2017
What's up doc?, New Galerie[14], Collective: Curated by Pierre-Alexandre Mateos and Charles Teyssou, Paris
ESPOIR 94 - M.J.C. Les hauts de Belleville - Paris MURAL - 105 rue de Charonne, Paris
Voir aussi
Articles connexes
Art urbain
Culture jamming
Bibliographie
Paul Ardenne, Un art contextuel, Paris, Flammarion, coll.«Champs arts / Art» (no911), (1reéd. 2002), 256p. (ISBN978-2-08-122513-8 et 2-08-122513-1, OCLC999425455, présentation en ligne), p.84.
Toke Lykkeberg (trad.de l'anglais), Zevs: L'exécution d'une image, Paris, Gallimard, coll.«Alternatives», , 264p. (ISBN978-2-86227-799-8 et 2-86227-799-1, présentation en ligne).
Dominique Baqué, Pour un nouvel art politique, Flammarion (présentation en ligne), p.107-109 et 112.
Christian Hundertmark, The art of rebellion, Berlin, C100 studio, .
Markus Mai et Arthur Remke, Writing, beyond art, DGV.
Tristan Manco, Street Logo, Thames & Hudson, p.15.
Cultural Hacking, Wien New York, Springer (présentation en ligne), p.204, 205 et couverture.
La Rue aux artistes, Guillaume Garouste.
Super Xmédia combine, first point production, p.196, 197.
Dominique Aris (dir.), Université Paris Nanterre, Oxymores III: État de l'art urbain (actes du colloque - 13 et 14 octobre 2016), Paris, Ministère de la culture et la communication, , 158p. (ISBN978-2-11-151898-8, présentation en ligne), p.14, 48.
Catalogues d'expositions
Biennale de Sharjah, 2003 catalogue (ISBN9948-04-765-6)
L'Art Emmêlé catalogue éditeur : Au-delà du Sport, Paris & Liège, 2003
Outside-in, catalogue
(fr + en) Elisabeth Couturier, Judicaël Labrador, Alain Broders et Toke Lykkeberg, Aguirre Schwarz au pays de l'or noir, Paris, Galerie Rive Gauche, (OCLC950996561, lire en ligne [PDF]).
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